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Tuer est un art

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Tuer est un art

Point de repos pour Hippolyte Salvignac ! Alors que l'antiquaire profite des premiers jours du printemps à l'Auberge de la Vierge, tenue par la compagne de son ami l'inspecteur Jules Lerouet, l'arrivée impromptue de Clemenceau va remettre en selle le duo d'enquêteurs. Un mystérieux cadavre vient d'être découvert à Giverny, à deux pas de la maison du peintre Claude Monet. Voilà les deux complices plongés au coeur d'une intrigue où l'on ne compte plus les crimes extraordinaires : assassinat du peintre Steinheil, époux de l'ancienne maîtresse du président de la République Félix Faure, meurtre du beau-frère de Claude Monet dans son hôtel particulier... Accompagné de Maurice Leblanc, dont les théories sur ces crimes semblent tout aussi farfelues que son désormais célèbre Arsène Lupin, Hippolyte tente de démêler l'écheveau de ces crimes. De la Normandie au Limousin, il devra élucider bien des mystères, au péril de sa propre vie.

03/2020

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Tuer est un art

Point de repos pour Hippolyte Salvignac, l'antiquaire rentré au service de la police de Clemenceau. Un mystérieux cadavre vient d'être découvert à Giverny, à deux pas de la maison du peintre Claude Monet. Flanqué de son inséparable complice, l'inspecteur Lerouet, le voilà plongé au coeur d'une intrigue où l'on ne compte plus les crimes extraordinaires : assassinat du peintre Steinheil, époux de l'ancienne maîtresse du président de la République, meurtre du beau-frère de Claude Monet dansson hôtel particulier... Aidé par Maurice Leblanc, le créateur d'Arsène Lupin, Hippolyte tente de démêler l'écheveau de ces multiples intrigues. Une enquête captivante et haletante, où une nouvelle fois s'entremêlent les monde de l'art, de la politique et du crime.

03/2021

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Littérature Italienne

Tuer ou mourir

Qu'est-ce qui a bien pu pousser le héros de cette singulière aventure à se rendre, sans trop réfléchir, à la Lavaharie, petite principauté méconnue qui le passionna lorsqu'il était jeune homme ? C'est ce qu'il se demande en parcourant les rues de sa capitale, effaré et amusé de croiser des habitants, prolixes et chicaneurs en diable, qui semblent avoir la particularité de dialoguer sans fin au moindre prétexte. En commettant l'imprudence de s'assoupir quelques instants dans un temple, il découvre avec stupeur qu'il a commis un crime ou un blasphème bien plus important qu'il ne le soupçonne. Sauf qu'il ignore lequel... et qu'il ne mesure pas que le système judiciaire de cet état n'est pas seulement exotique, il peut se révéler mortel. D'autant qu'il n'a qu'un droit : celui de se taire et d'écouter accusateur et avocat. Entre sidération et franche angoisse, notre voyageur va être confronté au plus terrible choix de son existence. Avec ce court roman, Libero Bigiaretti révèle au public français toute sa science du récit, son art très particulier de nous ébranler et de nous rappeler que choisir, c'est souvent éliminer...

08/2024

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Paranormal, Bit-lit, Science-f

Tuer la reine

Evie, femme de la cour, ne peut plus reculer : elle va se transformer en guerrière redoutable pour vaincre sa cousine meurtrière, venger sa famille et sauver son royaume. Dans un monde où le pouvoir magique d'un individu détermine sa valeur, l'absence notoire de capacité de Dame Everleigh la relègue dans l'ombre de la cour de Bellona, un royaume imprégné des traditions des gladiateurs. Pourtant, des forces obscures rôdent au sein du palais. Lorsque sa cousine Vasilia, la future héritière de la couronne, assassine sa mère et s'empare du trône de force, Evie est prise en chasse avec le reste de la famille royale. Heureusement pour elle, son immunité secrète à la magie lui permet d'échapper au massacre. Forcée de se cacher pour survivre, elle rejoint une compagnie de gladiateurs. Bien qu'ils utilisent leurs talents pour divertir et amuser les foules, les gladiateurs sont avant tout de véritables guerriers qui manient avec finesse l'art de la guerre, particulièrement Lucas Sullivan, un mage puissant aux mystérieux secrets. Face à son avenir incertain, Evie démarre un entraînement aux côtés de la troupe. Alors que Vasilia exerce son emprise sanguinaire sur Bellona, poussant le royaume au bord d'une terrible guerre, le destin d'Evie se précise. Elle doit devenir une redoutable gladiatrice... afin de tuer la reine.

02/2023

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Ecrits sur l'art

Art brut et créateurs d'Art Brut

L'Art Brut est "? farouche et furtif comme une biche ? ", écrivait Jean Dubuffet, au contraire de "? l'art coutumier ? ", dont on parle le plus souvent quand on parle d'art, qu'il soit classique, romantique, baroque, moderne... Le second est du côté de l'empaillé, de l'ordonné. Le premier est du côté du sauvage, de l'insaisissable. Il est difficile cependant d'en dire plus de l'Art Brut, sans "? le tuer presque ? ". Pour qu'il ne se retrouve pas à son tour pris dans l'étau des normes culturelles imposée par l'élite sociale, Jean Dubuffet voulait inventer une manière de ne pas définir l'Art Brut. Il insiste sur cela dès 1947, avec son sens de la provocation ? : "? Formuler ce qu'il est cet Art Brut, sûr que ce n'est pas mon affaire. Définir une chose - or déjà l'isoler - c'est l'abîmer beaucoup. C'est la tuer presque. ? " Les façons de ne pas définir l'Art Brut, pour Dubuffet, sont nombreuses, prolixes, parfois contradictoires, de façon revendiquée. C'est ce que le présent volume donne à comprendre, rassemblant l'ensemble de ses écrits sur la question, de 1947 et 1982. Réflexions pour la Compagnie de l'Art Brut qu'il fonde en 1948 à Paris, lettres à André Bretons, aux personnalités du monde psychiatrique Jean Oury ou Jacqueline Porret-Forel, mais aussi hommages aux oeuvres de Paul End, Clément, Jospeh Heu, Berthe U, Aloïse, Laure- : multiples sont les directions de sa pensée, qui se veut toujours ouverte. Si l'on ne peut affirmer ce qu'est l'Art Brut, il reste qu'on peut se mouvoir théoriquement sur les traces d'une pluralité de pratiques. "? N'importe quelle affirmation, si on la maintient sur un long parcours, se change en absurdité. Je crois que la pensée n'obtient de fruits utilisables qu'en se constituant en circulation plurielle, par étages qui se superposent, comme le sens des voitures sur les voies étagées de Tokyo ? ", disait encore Dubuffet. C'est bien de cette manière non univoque qu'il envisage l'Art Brut, comme les voies rapides qui traversent une métropole, se croisent, bifurquent, spiralent, portant attention au flux incessant de lueurs dans la nuit et à chaque "? déchaînement d'ingéniosité et d'innovation ? " dans sa singularité.

10/2023

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Joe Hartfield, l'homme qui voulait tuer Donald Trump

Toute cette histoire n'aurait jamais vu le jour si Jean Duchêne, le jour de ses 77 ans, n'avait eu une inspiration aussi soudaine qu'inattendue. Il allait écrire un roman. Le héros serait Joe Hartfield, un ami noir rencontré à Omaha (Nébraska) en 1960 et, à la fin du livre, en 2020, Joe essayerait de tuer Donald Trump. Le découpage de l'histoire se fait par grappes de personnages et par tranches de vie. On remonte ainsi au voyage de Jean aux Etats-Unis puis on suit, pas à pas, les parcours de vie des quatre personnages principaux, Joe, Jean, Marlene et Marcus et de leurs proches, des personnages ordinaires à qui il arrive des choses extraordinaires. On suit leurs itinéraires, parallèles mais variés. Ils surmontent les épreuves et les coups durs de la vie grâce à leur courage et à leur créativité. Ils se remettent en question, se renouvellent et se réinventent sans cesse. Deux fils rouges dans ce premier roman. Le premier est l'amitié inébranlable qui lie les personnages principaux : leurs rencontres, leurs retrouvailles et leurs déboires. Le second, l'évolution lente de Joe de 'jeune photographe nonchalant et inconnu' jusqu'à 'vieux sage déconnecté mais débordant de vie' en passant par 'activiste radical et meurtrier en puissance'. Au terme de péripéties multiples, marquées du début à la fin par l'humour de Jean et des autres protagonistes, les clins d'yeux et les surprises, les personnages s'expriment sur les éléments purs et toxiques de l'amour, sur l'art, sur le racisme et les injustices, sur la futilité de la quête d'argent, sur les vraies valeurs, partagées, transmises ou menacées. Le jazz, Derek Hartfield (l'écrivain stérile), Hugh Hefner (le patron de Playboy), la Négresse Blonde, les cités jardins et les bouquettes liégeoises (dégustées au Montana ! ) sont omniprésents et apportent des espaces de respiration bienvenus dans un récit riche étalé sur plus de soixante ans.

12/2020

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