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Tu vivras, mon fils

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Asie du sud-est

Tu vivras, mon fils

Avril 1975 : l'évacuation de Phnom Penh, tombée aux mains des troupes de Pol Pot, aura été pour Pin Yathay, un ingénieur promis à une brillante carrière, le point de départ d'un voyage aux confins de la folie. Avec sa femme, ses enfants et les membres de sa famille, Pin Yathay connaît la déportation, les travaux forcés, la faim, la peur, les séances de " rééducation " où le moindre prétexte peut entraîner une mort immédiate. Pendant plus de deux ans, il lutte pour ne pas sombrer tandis qu'autour de lui ses proches disparaissent un à un. " Tu vivras, mon fils " : sans ces ultimes paroles prononcées par son père, peut-être Pin Yathay n'aurait-il pas trouvé la force de fuir l'enfer khmer rouge... À l'heure où s'ouvre le procès des principaux responsables du génocide - en quatre ans, près de deux millions de Cambodgiens périrent -, ce livre, paru initialement en 1987 et publié dans onze pays, offre un témoignage irremplaçable.

04/2005

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Asie du sud-est

Tu vivras, mon fils

" Tu vivras, mon fils " : sans ces paroles, prononcées par son père sur son lit de mort, peut-être Pin Yathay n'aurait-il jamais survécu à l'enfer khmer rouge. En avril 1975, l'évacuation de Phnom Penh, investie par les troupes de Pol Pot, aura été, pour cet ingénieur que tout destinait à une brillante carrière au service de son pays, le point de départ d'un périple aux confins de la folie. Transporté, avec sa femme, leurs enfants et les membres de sa famille, de camps de rééducation en villages perdus dans la jungle, il connaîtra la faim, la maladie, la peur, luttant pour ne pas sombrer tandis qu'autour de lui, un à un, ses proches disparaissent. Lorsque Pin Yathay décide de fuir avec son épouse à travers la forêt et de gagner la Thaïlande, c'est un homme déchiré : il laisse un fils aux mains des Khmers rouges. Depuis plus de vingt ans, il n'a eu de cesse de le retrouver. Ce récit, qui a paru aux États-Unis et en Angleterre, a été qualifié de " témoignage humain le plus bouleversant de ces dix dernières années " (Good Morning America).

10/2000

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Asie du sud-est

Tu vivras, mon fils

En avril 1975, les troupes de Pol Pot prennent possession de Phnom Penh et obligent la population à évacuer la ville. Pour Pin Yathay, un ingénieur promis à une brillante carrière, commence un périple aux confins de la folie. Avec sa femme, leurs jeunes enfants et les membres de sa famille, il connaît la déportation, les travaux forcés, la faim, la peur et les séances de "rééducation" où le moindre faux-pas peut entraîner une mort immédiate. Durant plus de deux ans, il va lutter pour ne pas sombrer, tandis qu'autour de lui, un à un, ses proches disparaissent, victimes de maladie et d'épuisement. "Tu vivras, mon fils. Reste en vie pour fuir." Sans ces paroles, prononcées par son père mourant, peut-être n'aurait-il jamais survécu à l'enfer khmer rouge. Traduit en douze langues, ce récit est l'un des témoignages les plus forts jamais publiés sur le génocide cambodgien.

09/2019

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