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Tout ce que je voulais, c'était courir

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Course à pieds

Tout ce que je voulais, c'était courir

Lorsqu'on lui diagnostique un cancer du sein à l'âge de 24 ans, Anaïs Quemener accuse le coup mais s'obstine : malgré les lourds traitements qu'elle doit subir, elle veut continuer de courir. Pour elle, le sport est une histoire de famille, une passion dévorante et partagée avec son père, qui l'a toujours soutenue et entraînée. Alors, pour combattre la maladie, elle fait de la course à pied sa thérapie. Son arme pour survivre. A tel point qu'à peine sortie d'affaire la Francilienne remporte en 2016 les championnats de France de marathon. Un sacre en guise de revanche sur la vie. Aide-soignante la nuit et athlète de haut niveau le jour, Anaïs Quemener ne cesse depuis d'accumuler les trophées et les records. Elle compte aujourd'hui parmi les meilleures marathoniennes au monde. Avec le naturel et l'incroyable énergie qui la caractérisent, elle raconte ce parcours hors du commun dont la force nous ébranle. Un destin singulier qui l'a conduite à croire encore plus fort à ses rêves et à chasser le temps, la moindre précieuse seconde, sur le bitume comme dans toutes les dimensions de son existence.

04/2024

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Littérature française

Tout ce que je voulais c'était courir

Lorsqu'on lui diagnostique un cancer du sein à l'âge de 24 ans, Anaïs Quemener accuse le coup mais s'obstine : malgré les lourds traitements, elle veut continuer de courir. Pour elle, le sport est une passion dévorante et partagée avec son père, qui l'a toujours soutenue et entraînée. Alors, pour combattre la maladie, elle fait de la course à pied sa thérapie. A tel point qu'à peine sortie d'affaire, elle remporte les championnats de France de marathon. Un sacre en guise de revanche sur la vie.

05/2024

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Je ne voulais pas mourir, juste revivre

" Si j'avais su que j'allais souffrir autant, je referais tout de la même façon " Dans ce témoignage poignant, Luc Rouquette nous conte une vie qu'il a brûlée par les deux bouts : voyages, excès, luxe et volupté... Au bord du danger, cette vie de flambeur a eu un prix : l'addiction, l'anorexie, la dépression. Une spirale infernale dont l'auteur a tenté de sortir par lui-même, mais la vie l'a gardé. Aujourd'hui, il raconte sans fards la vie qui l'a consumé, sans regrets.

04/2021

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La tante qui ne voulait pas mourir

"Ils vont sortir de partout comme des vautours quand ils découvriront que je suis morte. C'est pourquoi je me débarrasse du coffret. Planque-le. Ce sont mes bijoux chéris". Au Bangladesh, la jeune Somlata épouse un homme plus âgé, et de caste supérieure. Elle intègre alors sa maison familiale bondée, où vit la terrifi ante grand-tante Pishima. Un beau jour, celle-ci meurt sous les yeux de Somlata. C'est alors que le fantôme de Pishima lui confi e une mission : récupérer ses bijoux cachés pour que personne ne mette le grappin dessus. En parallèle, Boshon, l'adolescente rebelle de la maison, rejette tous ses prétendants au mariage. Quelle n'est donc pas sa surprise quand elle tombe amoureuse de son voisin, bien plus pauvre qu'elle... Une comédie de moeurs truculente et délicieusement dépaysante qui nous dévoile avant tout l'histoire de trois générations de femmes fortes au sein d'une famille et d'un pays qui ne leur mènent pas la vie facile.

04/2021

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Primaire

Des images me revinrent. Celles de la porte que je frappais, tachée du sang qui coulait de mes mains parce que personne ne venait quand j'en avais besoin. Celles des murs, des quatre murs de ma chambre, qui m'avaient séparé du monde pendant des semaines, des mois ou des années. Celles du lit sur lequel j'étais resté assis des jours et des nuits sans dormir. Celles des repas, froids, qu'on m'apportait sur des plateaux à heures régulières et qu'on me retirait bien vite. Celles de ceux qui m'attachaient quand je criais parce que les voix avaient repris. Ils me sanglaient sur le lit froid, et je continuais de crier parce que tout ce que je voulais, c'était que les voix partent et que je puisse moi-même partir. Je voulais partir ! Je voulais rentrer chez moi ! Je voulais qu'on me laisse tranquille. Mais les voix étaient là, m'assaillaient de mots que je ne comprenais pas. Je voulais mourir. Je ne pensais jamais pouvoir sortir.

04/2023

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L'inconnue du cimetière Saint-Hilaire

C'est en l'église Saint-Etienne de Bar-le-Duc que je rencontrai pour la première fois la duchesse Valentine Pozzo di Borgo. Depuis le matin, je me sentais épié ; j'avais le sentiment que l'on me suivait ; mais, jusqu'à présent, j'avais su conserver mon calme. Alors que le soleil à son déclin patinait de safran les vieilles pierres de la cité, n'y tenant plus, je me pris à courir comme un fou, sans savoir où j'allais, sans même comprendre ce que je fuyais. Les ombres qui me traquaient pouvaient n'être après tout que le fruit de mon imagination. D'ailleurs, lorsque je me retournais, je ne distinguais jamais personne ; mais je voulais à tout prix échapper à ce malaise, fût-il le produit de mon cerveau malade. La porte de l'édifice était ouverte. J'interrompis ma course un bref instant, saisi par la beauté des vitraux surplombant l'autel. Sans pousser plus avant mon examen, j'entrai d'un pas précipité.

04/2022

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