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Thierry Guilabert

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Littérature française

Thierry

"En écrivant ces deux textes et en les proposant dans un ordre de lecture aléatoire, j'ai cherché à illustrer ce qu'à mon sens le nom propre d'un autre comprend du nom commun du monde et inversement, ou encore, tenté de montrer que c'est sur un tel nom que s'épanouit en première instance et se referme en bout de course, sans pour autant qu'il le contienne cependant qu'il en esquisse chaque fois, dans son déploiement, une forme dynamique - selon laquelle il semblerait aller d'une origine à une fin -, ce que nous évoquons, consciemment ou non et à des degrés divers de clarté et de distinction, lorsque nous invoquons, en y prêtant plus ou moins d'attention, en paroles ou en pensée, le monde".

05/2006

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Critique littéraire

Thierry Maulnier

Né en 1909, élève de l'Ecole Normale Supérieure avec Robert Brasillach, Simone Weil et Georges Pompidou, Thierry Maulnier meurt en 1988, académicien et grand éditorialiste au Figaro. Disciple de Charles Maurras, engagé à l'Action française, il traverse les années trente ivre de connaissance, à la découverte de Malraux, Aragon, Breton, et adule Dostoïevski et Sophocle. C'est en jeune nationaliste irrigué par des préoccupations sociales et économiques qu'il participe aux manifestations de 1934. Alarmé très tôt par la montée du nazisme, refusant tout embrigadement, il ne s'abîme pas comme tant d'autres dans la collaboration. Son talent de polémiste se réveille plus tard, après la Guerre, dans le combat intellectuel mené contre le communisme et Jean-Paul Sartre. Il crée alors avec François Mauriac, La Revue de la Table ronde. Critique littéraire, homme de théâtre, moraliste et journaliste, Thierry Maulnier demeure, à la manière de Raymond Aron, la parfaite illustration, dans une certaine tradition de la droite française, d'une conscience libre et brillante, celle qui sait si bien saisir les battements de coeur d'une époque. Sa silhouette déglinguée de funambule a marqué les mémoires mais sa pensée et son oeuvre (sur la poésie du XVIe, Racine et Nietzsche) est largement oubliée : peu habile à se faire valoir, enclin à la paresse des surdoués et d'une nonchalance fiévreuse, Thierry Maulnier est également un grand esprit marqué par l'obsession métaphysique à l'ironie clairvoyante, oscillant toujours entre canular et tragédie.

04/2013

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Grands couturiers

Thierry Mugler

Livre accompagnant l'exposition présentée au musée des Arts décoratifs à Paris du 2 juin 2021 au 9 janvier 2022

09/2021

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Lecture 6-9 ans

Thierry le ver de terre Tome 2 : Thierry, président !

Le président de la République est très inquiet : d'adorables chatons disparaissent et la population est terrifiée. Si le kidnappeur n'est pas arrêté, le président ne sera jamais réélu. Voilà une affaire pour Thierry le ver de terre !

02/2016

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12 ans et +

La fois où j'ai écouté ma mère

Les menaces, les cris, les coups, ce soir c’en est trop. Une course à pied dans la nuit, un bus, un train, un car, et puis encore de la marche, une longue marche dans des sentiers de montagne… Et les voilà arrivées au refuge. Mila n’est pas vieille et sa mère n’est pas veuve. Pourtant c’est là, avec Catherine, Mado, Marguerite, Clémence et les autres qu’elles vont trouver leur place. Loin de tout. Loin des hommes. Loin de leur violence. Ici, aux Ouches, des vieilles femmes blessées ont décidé de vivre en communauté, de restaurer les bâtisses, de partager l’essentiel, de se serrer les coudes, de se panser le cœur. La mère de Mila connaît l’une d’entre elles, et l’appelle « nourrice ». La vie s’organise, rude et douce. Mila étudie, fait la lecture, se découvre des forces inconnues et un amour inattendu pour la montagne et sa sauvagerie. Elle se surprend à espérer que cette vie peut durer. Elle se trompe. Là-bas, en ville, dans les brumes de l’alcool, son père rumine une vengeance atroce.

04/2014

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Littérature française

Les ruines d'Auschwitz ou la journée d'Alexandre Tanaroff

Pourquoi un livre consacré à la Shoah et plus particulièrement à Auschwitz aux Editions libertaires ? Qu'on me permette de citer ici notre camarade Pierre Sommermeyer : "Une grande tristesse me prend quand je constate que la pensée dont je me sens le plus proche - l'anarchisme - est, semble-t-il, incapable de produire la moindre réflexion sur la Shoah [... ], quand son existence même remit en cause - et pour l'humanité entière, auquel s'accorde le projet libertaire - la possibilité de vivre debout". Nous autres, libertaires, sommes imbattables pour évoquer longuement la guerre d'Espagne, le bel été de l'anarchie, la Retirada, la lutte contre Franco, cette période est notre fonds de commerce, notre page de gloire. Elle exerce sur nous une fascination inépuisable depuis bientôt quatre-vingt ans. C'est sans doute pourquoi nous sommes passés au travers d'une réflexion sur la Seconde Guerre mondiale, au travers de la Résistance, au travers de la Shoah. Nous n'avons rien su dire de l'événement le plus essentiel du XXe siècle. Mais, la guerre d'Espagne n'est pas l'unique raison, il faut y ajouter, chez certains d'entre nous, un vieux fonds d'antisémitisme qui s'est nourri d'amalgames et de confusions, de clichés malveillants et même parfois de combats généreux comme la lutte pro palestinienne. Parce qu'être juif, ne veut pas dire obligatoirement être pratiquant ou même croyant, parce qu'être juif peut être simplement le signe d'appartenance à une communauté culturelle et le fruit d'une origine familiale, j'ai choisi en parallèle de cette évocation personnelle de la Shoah et d'Auschwitz de raconter la vie et le destin d'un Juif ukrainien, athée et anarchiste mort à Birkenau : Alexander Tanaroff.

10/2015

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