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Thierry Gillyboeuf, Henry David Thoreau

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Autres philosophes

La Vie sans principe

"Si je devais vendre mes matinées et mes après-midis à la société, je suis certain qu'il n'y aurait plus rien qui vaille la peine d'être vécu à mes yeux". Prenant l'exemple de sa propre vie, Thoreau démontre que les besoins matériels entravent l'épanouissement de l'esprit. Son éloge de l'oisiveté en communion avec la nature nous invite à explorer les "provinces de l'imagination" pour nous émanciper du matérialisme. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Thierry Gillyboeuf

09/2023

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Myrtilles

Dans cet essai, Thoreau célèbre la gloire de la nature à travers la beauté des " petites choses ". En s'arrêtant sur les myrtilles, simples baies sauvages, Thoreau se livre également à une charge contre le capitalisme et l'exploitation de la terre par l'homme. Il propose un manifeste écologique heureux, accessible pour peu que nous consentions à la lenteur et à la simplicité.

03/2022

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Un monde plus large

Cet ouvrage regroupe une trentaine d'essais inédits de Henry David Thoreau, qui vont de la prime enfance aux tous derniers mois de sa vie. Loin d'être des textes de second ordre, ils viennent élargir notre compréhension de son oeuvre, en abordant des thématiques que l'on associe moins à l'auteur de Walden, et sur lesquelles il n'a pourtant cessé de revenir. Si l'on connaît ses essais traitant de l'histoire naturelle ou de l'engagement politique, on découvre sous sa plume des écrits de critique littéraire et d'exégèse dévolus aux grands textes sacrés orientaux, ainsi que le seul essai achevé qu'il a eu le temps de rédiger sur les Indiens d'Amérique. La diversité des essais réunis dans ce volume vient tisser le portrait d'un homme dont la multiplicité des tropismes intellectuels fait la singularité, et contribue à appréhender la richesse d'une pensée aussi mobile que vivace.

04/2021

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Récits de voyage

Sept jours sur le fleuve

Diplômé de Harvard à l'âge de vingt ans, Henry David Thoreau renonce à enseigner dans l'école publique de Concord, sa ville natale du Massachusetts. Pour gagner sa vie, il choisit le métier de géomètre, mais l'essentiel est ailleurs : dans la nature et dans la poésie. Son oncle l'a initié très jeune aux promenades dans la campagne et les bois qui entourent la ville. Avec son frère John, il décide à la fin de l'été 1840 de fabriquer un canoë et de faire un périple de sept jours sur la rivière Concord et le fleuve Merrimack. Lorsqu'il perd son frère en 1842, il entreprend d'exorciser sa douleur et son chagrin par l'écriture. En racontant leur expédition tranquille, il livre ses réflexions sur la littérature et la philosophie, sur les Indiens et l'histoire puritaine de la Nouvelle-Angleterre, sur les grands textes sacrés. Voyage intérieur autant qu'excursion fluviale, ce tout premier récit, inédit jusqu'ici en français, porte en germe ce qui fera la particularité de son livre le plus fameux, Walden. Grâce à lui, l'écrivain Thoreau a trouvé sa voix.

10/2012

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Littérature anglo-saxonne

Sur la Concord River

En 1839, quelques années avant de s'installer près de l'étang de Walden, Henry David Thoreau construit une barque en bois avec son frère et engage à ses côtés la descente de deux cours d'eau vive. Ce voyage, mené au gré du courant, sera l'occasion d'une contemplation attentive de la nature, des poissons et de la flore qui vivent dans les remous de ces rivières ou sur leurs rives. Un voyage dans la wilderness qui commence sur la Concord River, ou "Rivière Herbeuse"... "Observer le cycle de la vie et la plénitude des poissons, que rien ne vient déranger, leur bonheur qui est un fruit régulier de l'été, renforce notre sentiment de sécurité et de sérénité régnant dans la nature".

04/2024

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Autres philosophes

La Vie sans principe

" Pouvoir regarder le soleil se lever ou se coucher chaque jour, afin de nous relier à un phénomène universel, préserverait notre santé pour toujours. " Auteur de La Désobéissance civile, Henry David Thoreau prolonge sa pensée séditieuse dans La Vie sans principe (1863). Prenant l'exemple de sa propre vie, il montre que les besoins matériels et les contingences quotidiennes sont dérisoires et qu'ils constituent une entrave à l'épanouissement de l'esprit. En exaltant l'individualisme et une certaine forme d'oisiveté dans la communion avec la nature, Thoreau nous invite à explorer les " provinces de l'imagination ".

09/2004

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