Recherche

Terre de Brume

Extraits

ActuaLitté

Thrillers

Brume

"Vous êtes censés voir cette histoire en noir et blanc, le bras passé autour de l'épaule de votre nana (ou de votre jules), avec un gros haut-parleur planté sur la fenêtre. C'est à vous d'assurer la deuxième partie". Auteur de nombreux romans adaptés au cinéma (Shining, Cujo, Christine, Firestarter (Charlie), Dead Zone, Stand By Me...), Stephen King nous propose ici en quelque sorte une série de courts et moyens métrages, tous destinés à nous faire éprouver le délicieux frisson de la peur. Dans la longue nouvelle qui donne son titre au recueil, l'horreur surgie de la brume, qui assaille un supermarché, est moins à craindre que celle qui gît au fond des âmes. Dans Mémé, qui clôt ce livre, le tendre récit de la fin d'une vie nous montre comment apprivoiser la mort en dansant dans la neige avec nos chers disparus. Entre ces deux contes, le célèbre auteur américain aura joué sur toutes les cordes de la sensibilité, dans le décor superbe de ce Maine où il vit, alliant un truculent réalisme aux fantaisies inquiétantes de l'imagination. "Maintenant, agrippe-toi à mon bras. Serre fort. Nous allons traverser bien des endroits sinistres. Mais je crois que je connais le chemin". Ce recueil contient : Brume En ce lieu, des tigres Le Singe La Révolte de Caïn Le Raccourci de Mme Todd L'Excursion Le Gala de noces Paranoïa : une mélopée Poème Le Radeau Machine divine à traitement de texte L'Homme qui refusait de serrer la main Sables L'Image de la faucheuse Nona Pour Owen Poème Le Goût de vivre Le Camion d'oncle Otto Livraisons matinales (Laitier n°1 Grandes Roues : Où l'on lave son linge sale en famille (Laitier n°2) Mémé La Ballade de la balle élastique Le Chenal

10/1987

ActuaLitté

Poésie

Poèmes de la brume

La poésie reste la part méconnue de l'oeuvre d'André Suarès (1868-1948), dont la postérité a surtout retenu les portraits littéraires, les essais et les évocations de terres aimées. L'écrivain a pourtant été fidèle toute sa vie à l'écriture poétique, puisque de ses vingt ans à ses quatre-vingts ans, c'est une quarantaine de recueils qu'il rassembla, dont dix seulement ont vu le jour. Les "Poèmes de la brume" constituent un exemple caractéristique de recueil inédit. Suarès y cultive l'esthétique du poème bref, musical, influencé par le symbolisme. Après avoir travaillé la "sonate" poétique dans ses recueils du début des années 1890, Suarès trouve dans le lied une forme d'expression plus dépouillée, propre à transcrire en vers les sentiments mélancoliques qui l'habitent. Ce dernier recueil constitue de ce point de vue l'aboutissement d'un travail effectué sur les rythmes et les schémas métriques, dans le but d'élaborer des textes d'apparence aussi simple qu'ils sont en réalité fort subtils. A la virtuosité formelle répond l'invention d'une atmosphère issue de son inspiration bretonne. Suarès traverse autour de 1900 une crise qui lui fait s'inventer une ascendance armoricaine, propice à créer dans son imaginaire le contrepoint romantique, chrétien et brumeux que réclament le classicisme solaire de sa Provence natale et ses origines juives. Nais nulle couleur locale dans ces poèmes, nulle trace d'une topographie réaliste. L'intention n'est pas dans la peinture fidèle de paysages retenus pour leurs qualités esthétiques ; elle est dans l'évocation, à partir de paysages rendus indécis par la brume, d'un vague à l'âme, ou plus encore d'une inquiétude qui n'est autre que le pressentiment d'une mort à venir. Une "Bretagne état- d'âme", en quelque sorte : ces lieder mélancoliques offrent au lecteur un héritage du spleen baudelairien autant que du lyrisme délicat de Verlaine.

01/2025

ActuaLitté

Non classé

Brumes

"Brumes" est un recueil de dix-huit poèmes qui invite le lecteur à plonger dans l'imaginaire de l'auteur, car on ne rêve bien qu'avec des mots. Les mots de "Brumes" sont les témoins de nos métamorphoses ; ils dissolvent les formes, peignent un espace aux contours flous et masqués, vident notre esprit de nos certitudes. Ces textes sont illustrés par des peintures à l'huile de l'auteur, inspirées, pour beaucoup d'entre elles, par des lieux du Haut Berry, terre d'harmonie qui incite à la rêverie, pays qu'on ne découvre qu'en écartant les branches, où l'on apprend à voir, au-delà du réel, ce que cachent les choses.

12/2016

ActuaLitté

Non classé

Et le feu de la terre brûle

Je danse parmi les murailles. Depuis l'enfance, je danse. Mon corps se meut. Un dépliement des sens et des émotions pour trouver l'équilibre. Mais les murs qui m'entourent deviennent étroits. Il est des règles auxquelles ne pas déroger, des tangentes impossibles. Une rigidité qui entrave l'émergence de convictions renouvelées. Partir. Partir pour voir le monde donc, pour relativiser ma posture, celle des dominants au fond. Partir pour rendre au corps, propre et collectif, l'espace du mouvement. Chant d'insurrection inspiré d'Amérique latine, Et le feu de la terre brûle clame les lignes de rupture qui nous traversent le corps : l'engagement féministe, la défense du vivant, les rapports conflictuels et les dynamiques d'aliénation. Tissé de bruissements et d'éclats, le recueil invite au décentrement de soi, convoque la puissance d'agir. Une célébration sensible de l'existant.

09/2023

ActuaLitté

Non classé

Argent brûlé

Buenos Aires, mercredi 27 septembre 1965, 15h11. Une voiture lancée à toute allure bloque un convoi de fonds. Beretta au poing, Bébé Brignone et le Gaucho Dorda mitraillent le fourgon, s'emparent du magot et laissent trois flics à terre. La cavale commence, de planque en planque... jusque dans la souricière tendue à Montevideo par l'inspecteur Silva. Assiégée mais décidée à résister jusqu'au bout, l'improbable bande de forcenés défie en une nuit tous les jeux de pouvoir et ses propres démons. Argent brûlé élève le "casse du siècle" argentin au rang de mythe. Un roman halluciné, sur fond d'agitation péroniste et de corruption, aussi étourdissant qu'inoubliable.

02/2021

ActuaLitté

Littérature française

Coeur brûle

" Il avait fait chaud cet été-là en Provence, une chaleur tyrannique, menaçante. Vers juillet, Pervenche est partie. Elle ne s'était même pas présentée au bac, à quoi bon ? Elle n'avait rien fait, elle savait bien qu'elle ne pouvait pas réussir. Toute l'année, elle avait traîné, surtout avec " Red " Laurent, dans les bistros, les boîtes, les fêtes, ou simplement dans la rue. Elle buvait des bières, elle fumait. L'après-midi, elle retrouvait Laurent devant un garage abandonné, au pied de la colline. Laurent soulevait le rideau de tôle, et ils se glissaient à l'intérieur. Ça sentait le cambouis, et une autre odeur plus piquante, comme de la paille, ou de l'herbe qui fermente. Ils faisaient l'amour par terre, sur une couverture. "

04/2002

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté