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Super Mums. Parfaitement imparfaites !

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Dossier

Comics et super héros : Marvel, pilier historique de l'édition

Marvel : un nom qui incarne à lui seul le concept de super héros. Créée en 1939, la maison d’édition a connu plusieurs identités avant de devenir le groupe multimédia que l’on connaît aujourd’hui. D’abord Timely Comics, puis Atlas Comics, Marvel prend ce nom au début des années 1960, une décennie décisive dans l’histoire de la bande dessinée américaine…

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Dossier

DC Comics, la place forte de Batman, Superman et la Ligue des Justiciers

Batman, Superman, Wonder Woman, Green Lantern, Aquaman, et les vilains Harley Quinn, Lex Luthor, Ra's al Ghul ou encore le Joker... La galerie des personnages de DC Comics donne le vertige tant les identités sont fortes et les profils variés : la maison d'édition américaine, créée en 1934 par Malcolm Wheeler-Nicholson, un ancien militaire, n'était pourtant pas spécialisée dans les super-héros à ses débuts.

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Dossier

27es Rendez-vous de la BD d'Amiens : 2023

L’édition 2023 offrira durant le mois de juin aux plus de 20.000 visiteurs attendus un condensé de ce qui fait la richesse de la BD à travers 10 expositions scénographiées, 3 librairies, des espaces de rencontres avec les 150 auteurs invités, des espaces consacrées au jeune public... La manifestation sera comme enrichie d’une programmation hors-les-murs qui émaille le territoire et fait rayonner le festival en dehors des murs de la Halle Freyssinet. 

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Dossier

Game of Thrones, des livres de George R.R. Martin à la série HBO

Né en 1948 aux États-Unis, George R.R. Martin écrit au départ pour créer de nouvelles histoires mettant en scène les super-héros Marvel, puis pour tuer le temps, alors qu'il peine à trouver un emploi dans le secteur du journalisme. Petit à petit, il devient un auteur confirmé de nouvelles de science-fiction. Après avoir commencé une carrière comme scénariste de séries télévisées, il commence, au début des années 1990, à rédiger une saga de type fantasy, intitulée A Song of Ice and Fire et traduite en français sous le titre Le Trône de Fer.

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Dossier

Salon du livre de Genève 2019 : la Belgique à l'honneur

La 33e édition du salon du livre de Genève se déroulera du 1er au 5 mai dans le Halle 2 de Palexpo. Sous la double présidence de Lydie Salvayre et Éric Fottorino, la manifestation littéraire accueille la Belgique Wallonie-Bruxelles, comme hôte d’honneur. Et dans le même mouvement européen, convie le patrimoine littéraire de Barcelone en ses murs.

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Dossier

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2021

Crise sanitaire oblige, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême (FIBD) de l'année 2021 ne sera pas du tout comme les précédentes éditions. L'organisation a ainsi annoncé un diptyque, avec un événement du 28 au 31 janvier 2021, une manifestation à Angoulême et des réalisations « hors les murs », puis un événement plus « présentiel », dans la période printemps-été.

Extraits

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Littérature française

Super Mums. Parfaitement imparfaites !

Une amitié indéfectible unit Ninon, flic et divorcée, Delilah, éditrice dont le mari est très absent, et Lynéa, agent littéraire mariée à un aristocrate. Au détour d'une affaire, Ninon rencontre Shiloh, réceptionniste à la morgue, et décide de l'intégrer à leur groupe de copines. Après tout, on a toujours besoin de soutien, d'oreilles w attentives et de verres de vin, surtout en cas d'événements a inopinés ! Entre une grossesse inattendue, un baby-sitter de 20 ans un peu trop sexy et des problèmes de coeur en tout genre, elles vont en voir de toutes les couleurs ! Quatre femmes toutes différentes, mais liées par une amitié puissante, des soirées déjantées, des conseils sentimentaux et l'amour qu'elles portent à leurs enfants (surtout quand Ils dorment ! ).

06/2019

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Théâtre

Imparfaits

Les invités vont arriver pour diner mais ils ne seront pas reçus, car le frigo ne fonctionne plus. Myriam et Philippe ne savent pas comment ils en sont arrivés là A ce moment précis. Ils sont chez eux, le poulet est en train de cuire et la table est mise, mais ils sont perdus et ils vont devoir se forcer à regarder et à avouer. Quand la veilleuse rouge s'éteint, tout explose. Car l'amour n'est pas infini et ils doivent accepter d'abandonner le leur qui était parfait, mais qui devient du passé. C'est l'histoire de la première fois. Premier sourire, première engueulade. Le premier regard vers l'autre, pour l'autre. C'est l'histoire du coeur brisé, de l'espérance et de la réalité. C'est l'histoire de la dernière fois. Tout cela à l'abri des regards extérieurs. Un huis clos amoureux où l'homme et la femme s'acceptent eux-mêmes au péril de l'autre. Conversation intime mais aussi passion publique, Imparfaits est un instant entre deux personnes, une rencontre avec l'Amour.

04/2019

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Littérature française

Imparfaite

Dans le miroir de la salle de bains, Mia observe le reflet d'un corps qu'elle hait. Elle a quinze ans et ses formes lui paraissent trop arrondies, son visage trop joufflu, ses jambes bien plus épaisses que celles des modèles des magazines. Le premier régime qu'elle s'impose est un succès et lui donne l'impression d'exercer un contrôle sur son apparence. Alors, pourquoi ne pas continuer ? A mesure que les kilos disparaissent, que son regard s'altère et son jugement s'égare, une voix s'élève en Mia et lui dicte quoi faire. Tantôt fardeau, tantôt unique compagnon de son calvaire, ce monstre intérieur la ronge, pendant des années, et l'éloigne de plus en plus de ses proches, spectateurs impuissants. Mia a désormais vingt ans, son coeur bat trop vite, son corps ne lui obéit plus et elle est fatiguée. Entre elle et le monstre, qui sifflera la fin de la partie ? Dans un style juste et abrupt, Ludivine Grétéré s'attache à montrer l'annorexie et la boulimie dans toutes leurs vérités, aussi brutales soient-elles. Imparfaite nous confronte à cette ombre qui sommeille en nous, pour lui demander sans détour : Parle-moi de toi.

01/2024

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Policiers

Des morts imparfaites

Mes amies et moi, on a fait une fête du tonnerre, le week-end de la Pentecôte ! On s'est retrouvées à Trouville, on a papoté, on a rigolé, on s'est régalées, on s'est baladées, on s'est même baignées ! Et puis on a croisé deux blaireaux qui prétendaient nous draguer, mais je les ai vertement remis à leur place, d'ailleurs c'est ma spécialité, la répartie cinglante. Et puis on est rentrées, enfin moi, on ne sait pas, j'ai disparu. Il m'est arrivé une histoire de dingue ! Ca tombe bien, dirait Marion, parce que je suis interne en psychiatrie. Mais tout le monde sait que les plaisanteries les meilleures sont les plus courtes, et c'est bien vrai parce que je n'ai pas franchement rigolé. Plus personne d'ailleurs n'a eu l'idée d'en rire, ce fut une période horrible. Et le pire, c'est qu'on se demande encore aujourd'hui si ce n'est pas cette fameuse répartie cinglante qui a tout déclenché. C'est ballot !

11/2019

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Psychologie, psychanalyse

Les séparations imparfaites

La personne aimée qui s'en va ou que l'on quitte, un ami qui s'éloigne, le roman que l'on termine à regret : en écho aux séparations ordinaires de la vie, on envisage ici les séparations intérieures que la cure analytique exige du patient et du psychanalyste. Us doivent se séparer de ce à quoi ils tiennent et qui les tient : le patient - qui est plus attaché à ses liens qu'à lui-même - pour ne pas couler, comme le capitaine Achab, avec ce qui le détruit ; le psychanalyste, qui dépend de ses systèmes familiers de pensée et doit rompre avec eux pour inventer du nouveau, des mots vivants, de la vie. C'est ainsi, en se séparant d'eux-mêmes, que tous deux se rencontreront et que plus tard ils pourront se séparer l'un de l'autre, cette fois. Dans ces pages, l'auteur, psychanalyste, essaie de voir ce qui se passe en lui dans le temps des séances, et par là même d'en rendre sensible l'étrangeté jamais apprivoisée. Les situations cliniques sont toujours présentes, et elles mettent en évidence une clinique de l'analyste que l'on n'a guère l'habitude d'évoquer et qui est infiniment plus complexe et riche que le classique " contre-transfert ", si souvent réducteur. Pas plus que celles du monde extérieur, les séparations intérieures ne sont parfaites. Heureusement, pense l'auteur qui les déteste.

04/2002

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Littérature étrangère

Désaccords imparfaits

Trois courtes nouvelles de Coe datant des années 1990 - les seules qu'il ait jamais écrites - sont publiées dans ce petit recueil, ainsi qu'un article sur Billy Wilder, " Journal d'une obsession ", écrit pour un numéro des Cahiers du cinéma. " Ivy et ses bêtises " voit un narrateur adulte revenir sur un épisode de son enfance, lors d'une soirée de Noël, où il fut convaincu d'avoir vu le fantôme d'un homme tué par sa femme, au procès de laquelle la grand-mère du narrateur avait participé. La fin de la nouvelle laisse planer un doute sur l'existence réelle de ce fantôme. " 9e/13e " est une sorte d'exercice de style : un pianiste de bar new-yorkais, à laquelle une séduisante jeune femme demande où elle peut loger ce soir-là, imagine ce qui ce serait passé s'il l'avait invitée à dormir chez lui... ce qu'il n'a bien sûr pas fait. " Version originale " est la nouvelle la plus longue et la plus aboutie ; elle manifeste le goût de Coe pour les intrigues complexes : lors d'un festival du film d'horreur dans une ville de la Côte d'Azur, un compositeur de musique de films, qui fait partie du jury, découvre qu'un des films en compétition a été écrit par une ancienne amie, qui était tombée amoureuse de lui mais que le narrateur avait un peu brutalement éconduite. Le souvenir de cette histoire lui revient à la vision du film, qui en offre une réécriture, et entre en écho avec le flirt qu'il ne peut s'empêcher d'entretenir avec une journaliste présente sur le festival. En peu de pages, Coe évoque les tentations, les opportunités ratées, les souvenirs qui hantent et une certaine mélancolie. " Journal d'une obsession ", dans un tout autre genre, évoque l'obsession, au sens littérale, de Coe pour un film mal-aimé de Billy Wilder, La vie de Sherlock Holmes, et plus précisément pour sa musique composée par Miklós Rózsa. Coe raconte, sous forme de journal intime, comment, à différentes étapes de sa vie, il a rencontré ce film, souvent par hasard. Il raconte aussi ses recherches pour mettre la main sur un enregistrement de cette musique, devenue introuvable. Dans l'introduction du recueil, Coe affirme que la nouvelle est loin d'être sa forme de prédilection, lui préférant la longueur et la complexité qu'offre le roman. Il n'empêche que ce recueil est une réussite, et offre un concentré de son écriture et de ses thèmes favoris : le mélange d'ordinaire et d'étrange dans la première nouvelle, les anti-héros un peu ratés, passant à côté de leur vie, dans les deux autres, et, toujours, un humour pince-sans-rire, mêlé à une tonalité mélancolique. Dans l'article sur Billy Wilder, particulièrement touchant, Coe adopte un mode plus autobiographique : derrière le prétexte de son obsession pour ce film, il évoque de façon assez émouvante un certain rapport à l'enfance, au passé, au temps qui passe. Ses différentes " rencontres " avec ce film et sa musique, scandées par l'évolution des technologies (du livre à la cassette vidéo et au DVD, du 33 tours au CD...) dessinent une sorte de portrait de l'artiste des années 1970 à nos jours. Les quatre textes, sous des dehors assez différents, sont ainsi unis par des thèmes ou des motifs récurrents, en particulier le rapport à la musique, véhicule de souvenirs et d'émotions. Ce recueil démontre s'il le fallait l'évidence du talent de Jonathan Coe, qui atteint en très peu de pages une densité et une émotion exceptionnelles.

03/2012

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