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Souvenirs de guerre d'Algérie. Un intellectuel sur le terrain face à la répression

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Dossier

La SCELF face à la lecture publique : la redevance qui indigne

Denis Bocquet, CC BY 2.0

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Dossier

La guerre de Vladimir Poutine contre l'Ukraine ou la Russie impériale

En fond historique, la place Maïdan, d’où était partie la révolution de 2014 qui avait conduit au soulèvement contre le gouvernement. Mais depuis le 24 février, la Russie de Vladimir Poutine a décidé d’une invasion du territoire ukrainien. Une force militaire en marche qui soulève l’indignation internationale et provoque des réactions de soutien partout dans le monde. Les organisations littéraires avec des mots pour armes grossissent les rangs de cette opposition.

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée. Chaque année, au mois de janvier, toute la ville d'Angoulême, mais aussi la France, découvre et redécouvre des œuvres du neuvième art. Avec son lot de dédicaces, d'événements, d'expositions, de débats, de récompenses et de mises en avant, le FIBD est ce moment spécial dans l'année où la bande dessinée est au cœur de l'espace médiatique.

Créé en 1974, reconnu dans le monde entier, le FIBD est aussi l'occasion de placer la création hexagonale en avant, même si toute la francophonie, et plus largement toutes les nations, sont accueillies sur place. 

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Dossier

Coronavirus : l'industrie du livre face à l'épidémie

Cela avait commencé avec quelques cas en Chine, mal recensé et des perturbations dans l’économie du pays. Et rapidement, le coronavirus est devenu l’invité tragique de l’année 2020. Les cas se sont multipliés et les décès sont survenus peu après. Avec des conséquences diverses dans l’industrie du livre, à travers le monde.

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Dossier

L'oiseau moqueur de Harper Lee, un chef d'oeuvre à la peau dure

L’histoire que raconte Jean Louise Finch, alors âgée de six ans, est devenue l’un des plus grands classiques de la littérature américaine. To Kill a Mockingbird, prix Pulitzer Littérature 1961, un an après sa sortie, est réputé pour son humour et sa chaleur, alors qu’il traite de viol et d’inégalité raciale.

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Dossier

Nouveautés, actualités : les livres et romans de Kamel Daoud

Kamel Daoud, né le 17 juin 1970 à Mostaganem, en Algérie, est un écrivain et journaliste algérien francophone. Il est particulièrement connu pour son roman Meursault, contre-enquête, qui lui a valu une reconnaissance internationale.

Extraits

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Histoire de France

Souvenirs de guerre d'Algérie. Un intellectuel sur le terrain face à la répression

La guerre d'Algérie (1954-1962) fut une guerre asymétrique, une guerre civile et une guerre d'opinion. Elle dura longtemps et se déroula il y a longtemps. Les souvenirs vécus personnellement en Algérie par l'auteur concernent 1957 et 1958 ; mais il évoque aussi les échos qu'il a eus avant et après. Intellectuel, il était partisan de la décolonisation et profondément hostile à la torture. Patriote critique mais discipliné, il refusa d'envisager autre chose que d'accomplir les fonctions auxquelles il fut employé. Son arrivée en Algérie et la lecture de la presse algéroise pendant la " bataille d'Alger " lui fit considérer l'étendue des haines et la brutalité systématique de la répression. Après son détachement à l'état-major divisionnaire de Bône, sa présence dans un bureau chargé administrativement de l'application des " pouvoirs spéciaux " lui fit observer de plus près cette brutalité. L'année 1958 à Bône lui fit aussi voir depuis cet état-major les incidents militaires et politiques de l'année : bombardement en Tunisie de Sakiet et ses conséquences avec le putsch algérois du 13 mai, le retour du général de Gaulle et le passage à la Ve République. L'auteur replace dans un contexte plus large les anecdotes, qu'il raconte non sans ironie (la " fraternisation " à Bône). Ce récit est aussi une étude sur la variabilité de l'opinion.

03/2014

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Religion

Conversions. De Gandhi à Fanon : Un religieux face à la guerre d'Algérie

Un itinéraire individuel n'a d'intérêt historique que s'il est l'empreinte d'un itinéraire collectif ; l'on a ainsi pu parler d'ego-histoire. La seule justification à l'obscénité du "Je" est d'expliciter en historien, le lien entre l'histoire que l'on a faite et l'histoire qui vous a fait, de révéler qu'un itinéraire de vie est l'expression de nombreuses rencontres et la manifestation d'une pensée qui, même si elle était minoritaire, appartenait à une vision collective du monde. Le lecteur découvrira dans le témoignage de Jacques Pous un parcours spirituel et politique, individuel et collectif : de Jésus à Marx, de Gandhi à Fanon ; l'ignominie du colonialisme : du Sri Lanka à l'Algérie, de l'Algérie à la Palestine. Et lorsque la guerre d'Algérie façonnait toute une génération : le parcours d'un religieux de l'insoumission à la désertion, de la désertion à la résistance et à la solidarité et de la solidarité à la révolte.

09/2012

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Histoire de France

Guerre et "Guerre" d'Algérie. Notes de guerre d'un Maquisard Algérien et Souvenirs de "guerre" d'un Appelé, Réflexions sur ce passé et ses conséquences sur l'actualité

D'UN INSOUMIS : " J'ai été emprisonné pour insoumission et Georges est allé en Algérie comme l'immense majorité des jeunes de notre génération. Au début de l'été 2001, il me fit part de son intention de porter à la connaissance publique les carnets de route d'un combattant de l'ALN et de tenter de retrouver leur auteur. Avec une fidélité de bénédictin, il a transcrit ces carnets, tout en les commentant. C'est un travail de mémoire ; à ma connaissance, un des très rares à donner directement accès à la parole d'un maquisard algérien. Ces carnets témoignent d'un jeune homme, père de famille, possédant une maîtrise parfaite de l'orthographe et qui, manifestement, ne rêvait que d'une chose : que soit reconnue la dignité de son pays. La relation que Georges établit à travers ce qu'il nomme les " pauses " des carnets m'a renvoyé à ma propre mémoire, lorsque j'étais infirmier parachutiste. Durant mes pérégrinations à Pau, Toul, Mourmelon puis à la prison militaire de Metz, j'ai entendu bien des confessions, bien des récits à faire frémir mais aujourd'hui la " france " a amnistié et Monsieur Aussaresses revendique le droit à la torture. Dans les années 1963-1964, j'eus la chance de travailler en Algérie, dans le cadre de la réforme agraire, avec une équipe de dix anciens maquisards dont l'un d'eux avait survécu à la célèbre opération " Jumelle ", terré dans un trou pendant dix jours, en buvant son urine. C'est en souvenir de tels témoignages, restés ignorés, que j'ai accepté la proposition de Georges d'écrire la IVe de couverture de son livre. Comme je lui faisais remarquer qu'il pourrait trouver une personnalité plus en vue pour aider au renom de Guerre et " Guerre " d'Algérie, il me répondit qu'il préférait l'avis d'un insoumis. Ainsi à la dernière page du livre de Georges se côtoient, par-delà leurs différences, l'Appelé, le Maquisard et l'insoumis. Hier, 1954-1962 : maintien de l'ordre en Algérie. Aujourd'hui : maintien de l'ordre en Palestine. En pensant au refus de quatre cents militaires israéliens d'y participer (lettre publiée par le journal HAARETZ du 1er avril 2002 et LE MONDE du 5 avril 2002), j'ai apprécié le commentaire de Georges citant Prévert : " Quelle connerie, la guerre ". Celle des puissants ; les autres, telle la lutte pour l'indépendance de l'Algérie ou d'un état palestinien, étant le combat légitime des " Fells ", des " Rebelles ", des " Hors-la-loi " et des Insoumis. " Pierre Boisgontier, Chercheur universitaire à la retraite. Appelé de la 59 ²/a qui déposa l'uniforme après avoir eu connaissance du rôle que l'Armée faisait tenir à des infirmiers dans la réanimation de prisonniers torturés.

05/2002

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Histoire de France

Un jeune kabyle face aux horreurs de la guerre d'Algérie

1956 dans le massif du Babor, la guerre atteint le village de Beni Dracene. Attachés à leurs coutumes kabyles, les habitants de ce village ont d'abord coopéré avec les Djounouds kabyles de la wilaya 3. En 1957, ceux-ci sont remplacés par des Arabes de Djidjelli dits Jouajels, qui s'imposent par la terreur. En 1959, les hommes du village se révoltent et s'engagent comme harkis. La moitié d'entre eux sera massacrée en 1962. L'auteur se souvient.

09/2013

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Littérature française

Cité du souvenir. De la Seconde Guerre mondiale à la Guerre d'Algérie

Mon enfance et mon adolescence auront pour décor la guerre et ses ravages. Ces événements resteront marqués par des images et des sons. En particulier ceux émanant d'une HLM au nom évocateur de Cité du Souvenir. C'est par ces mots que l'auteur nous invite à entrer dans le récit des vingt premières années de sa vie – entre Seconde Guerre mondiale et guerre d'Algérie – passées au cœur d'une des premières cités ouvrières de Paris. A travers quelques portraits d'une famille nombreuse, qu'elle appellera le clan, elle nous raconte comment les valeurs transmises par ces êtres chers, l'aideront à surmonter les aléas d'un avenir peu prometteur. Nous la suivons plongée dans un voisinage socialement démuni, sur les bancs de l'école, le dimanche en toutes saisons, parfois malade, ou encore à la recherche d'un emploi. Avec pour toile de fond le poids de l'économie, de la politique et de la religion… Autant d'instants dans un pays en guerre, générant une société en mutation, que l'on découvre ou redécouvre non sans une certaine émotion.

06/2016

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Critique littéraire

Engagements et déchirements. Les intellectuels et la guerre d'Algérie

Ce catalogue paraît dans le cadre d'une grande exposition conçue et réalisée à l'occasion du cinquantenaire de la signature de l'Indépendance algérienne (5 juillet 1962) du 15 juin au 15 octobre 2012 à l'Abbaye d'Ardenne. Au-delà des tabous et des silences, au-delà des partis pris, il est temps, grâce à des documents inédits, d'écrire une autre histoire de la guerre d'Algérie. Cette autre guerre, c'est celle des intellectuels. On oublie le plus souvent les débats, les causes et les combats qui les agitèrent alors, comme si tous avaient été, d'emblée et unanimement, anticolonialistes, comme si "le sens de l'histoire" s'était imposé, à moins que l'on ne cautionne l'opposition manichéenne et réductrice d'une gauche indépendantiste et d'une droite pro-Algérie française. Seul le manifeste des 121 (si tardif) reste dans les mémoires. Et pourtant, dès 1954, les esprits se mobilisent. Très vite, les dénonciations sont argumentées et les débats s'enflamment. Groupes, solidarités, réseaux, le paysage intellectuel français se reconstitue et recommence à croire en son pouvoir d'action. Textes visionnaires de Camus, de Mounier, de Ricoeur...détermination des protagonistes - de Sartre à Domenach, Vidal-Naquet ou Paulhan, de Fanon à Jeanson, de Petitjean à Rodenbach...engagement des revues, combats des éditeurs... Dans cette guerre des idées, le choix des mots fut crucial. Pour compléter cette approche originale de la guerre d'Algérie, un cycle de conférences et de rencontres sera programmé en juin 2012, avec de grandes figures d'intellectuels. 350 documents extraits des collections de l'IMEC mais aussi de fonds privés, vont permettre enfin une autre approche de l'histoire de ces engagements.

06/2012

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