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Souris à la poésie

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Souris à la poésie

Qui préfère ses pixels plutôt que de faire la vaisselle ? Qui fait peur aux voisins en se trouvant malin ? Qui travaille en secret dans le grenier ? Qui a été ensorcelé pour avoir de telles idées ? L'univers de ce recueil est une farandole d'idées folles, modernes et si tendres que l'on s'y laisse prendre. Une ressource pour les enseignants ; Un pas garanti vers la poésie pour la jeunesse ; Un sourire d'enfant, assurément. La police des textes est adaptée aux dyslexiques et aux jeunes lecteurs. L'auteure en a fait une priorité.

03/2020

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La petite souris déménage

Trouver sa maison idéale ce n'est pas de tout repos, surtout quand on est la Petite Souris... Un ouvrage poétique, tout en alexandrins, qui ravira les tout-petits à la recherche de magie, de beaux sentiments, et de doux rêves, mais aussi les lecteurs débutants, friands de jolis mots et poésie.

03/2023

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La petite souris déménage

Trouver sa maison idéale ce n'est pas de tout repos, surtout quand on est la Petite Souris... Un ouvrage poétique, tout en alexandrins, qui ravira les tout-petits à la recherche de magie, de beaux sentiments, et de doux rêves, mais aussi les lecteurs débutants, friands de jolis mots et poésie.

03/2019

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Un thé chez la souris

Les éditions Circé avaient publié au tout début du millénaire une anthologie de dix auteurs du vingtième siècle s'étant illustrés dans un genre qui n'a cessé de connaître une faveur exceptionnelle en Russie : la poésie spécialement écrite pour les enfants. Le nouveau livre élargit considérablement ce choix afin de donner une vision d'ensemble, un panorama aussi vaste que possible, allant de la fin du dix-huitième siècle, sans omettre le folklore enfantin, jusqu'à l'époque actuelle, soit près de soixante-dix poètes dont la plupart demeurent inconnus en francophonie. La préface et les notices en fin de volume permettent par ailleurs de mieux les situer dans le contexte historique et littéraire du pays. Une place centrale revient aux années 1920 et 1930 et à l'époque du dégel, après la mort de Staline, qui connurent une efflorescence particulière de la poésie enfantine, laquelle servait notamment de refuge à des auteurs qui, tels Daniil Harms, Alexandre Vvédenski, Guenrikh Sapguir ou Oleg Grigoriev, faute de pouvoir publier leurs poèmes pour adultes, trouvaient ici le moyen d'aborder les réalités de l'époque, tant "l'univers enfantin est au coeur même des choses par sa naïveté primordiale" , où l'humour rejoint le jeu décapant du son et du sens. On put voir en outre des poètes déjà réputés - Marina Tsvétaïéva, Ossip Mandelstam, Sergueï Essénine, Véra Inber, Vladimir Maïakovski et d'autres - participer à l'élaboration d'un continent inédit qui avait pour organisateur et architecte remarquable Samuel Marchak. La période postsoviétique, malgré certains aléas et difficultés, semble vouloir donner un nouveau souffle à la poésie pour les enfants, notamment avec un apport accru des voix féminines, présentes tout au long du vingtième siècle.

05/2022

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Techniques artistiques

La poésie du végétal

25 créations végétales et leur décodage symbolique pour apprendre à mieux se connaître : petit jardin zen pour cultiver son jardin intérieur, teintures végétales pour se transformer... Des mains à la conscience, les loisirs créatifs comme thérapie de développement personnel. Après l'engouement pour les arbres de ces dernières années, c'est la nature tout entière qui fredonne un appel irrésistible aux oreilles des urbains privés d'un lien dont l'absence grève leur sensation d'harmonie. Revenir au végétal par le biais de réalisations artistiques, c'est retrouver ce contact salvateur qui interroge notre position d'être vivant aussi fragile que lui, soumis aux lois de l'impermanence et de la beauté éphémère. Herbier brodé, empreintes florales, vannerie sauvage, tissages, estampe solaire au jus de pétales... ce livre réunit 25 ateliers insolites et abordables, à base de fleurs, de feuilles ou de branchages, qui offrent l'occasion d'éprouver la matière à pleines mains et d'en nourrir son esprit, selon un parcours initiatique qui va du simple ornement à une régénération intime. Une expérience psychomanuelle de ce que l'on pourrait appeler la " voie verte ".

09/2023

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La poésie du quotidien

Inscrit à l'Académie Julian en 1903 où il fréquente l'atelier de Jules Lefèbvre. Il se lie d'amitié avec Roger de La Fresnaye, Paul Véra et Louis Marcousis. En 1907 il rencontre Robert Delaunay qui lui fera connaître Apollinaire, Gleizes, Metzinger et Léger. Après un court passage à l'Académie Ranson il prend son premier atelier. Ces années d'avant-guerre sont des années d'expérimentations intense. Il hésite encore entre influences impressionnistes, cézanisme géométrique, réminiscences fauves et cubisme tempéré. En 1910, il débute au Salon d'Automne ainsi qu'à celui des Indépendants. Il participe également à d'importantes expositions, entre autres à la deuxième organisée par le "Blaue Reiter" à Munich en 1912. Sa première toile importante Le Tennis lui permet de devenir sociétaire du Salon d'Automne. Après la guerre Lotiron intègre l'importante galerie Marseille où il rejoint Segonzac, Luc-Albert Moreau ou encore André Mare. Son style s'affirme à partir des années 1920 dans une combinaison toute personnelle qui mêle le souvenir de la sincérité ingénue du Douanier Rousseau, le sens de la composition, de l'opposition des formes et du rythme des couleurs hérités de Cézanne avec une palette restreinte mais riche de nuances. Ses oeuvres, généralement de petits formats mais ne manquant jamais de monumentalité, restituent sans emphase et avec sensibilité le climat d'une époque, d'une France au quotidien. Lotiron évite néanmoins tout pittoresque et toute anecdote. En 1921, la galerie Druet lui consacre une première exposition particulière. Lotiron s'impose comme l'un des paysagistes les plus en vue de son époque. Par l'intermédiaire de Paul Guillaume, le collectionneur américain Barnes fait l'acquisition, en 1923, de quatre oeuvres représentatives de son travail. Robert Lotiron sera alors présent dans toutes les grandes expositions mettant en avant l'art indépendant français de cette période. Ses oeuvres sont régulièrement acquises par l'Etat et il bénéficie dans les années 30 de plusieurs commandes de décorations murales. Vers la fin de la décennie, son art se fait plus sévère sans renoncer néanmoins au raffinement de la couleur. Après la Seconde Guerre Mondiale, il enrichit ses recherches en abordant la lithographie. Sa vision se fait de plus en plus directe et dépouillée. Il s'éteint le 18 avril 1966. Farouchement indépendant, Robert Lotiron a accueilli "toutes les libertés qui permettent d'augmenter le pouvoir d'expression, modifiant les éléments du tableau ou l'importance des valeurs sans soucis exagéré de la réalité objective". Ainsi peut-il affirmer au soir de sa vie : "Libre d'engagement, je peins pour mon plaisir et mon tourment".

08/2022

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