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Sophie Fontanel

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Les fables de la Fontanel

A quoi riment nos vies sexuelles ? La fable de la femme qui voulait que sa bouche ait du génie. La fable de l'homme qui savait simuler aussi bien qu'une femme. La fable de la peau de vache qui était cruelle sur Tinder. La fable du producteur qui croyait vraiment tout possible. La fable de la femme qui rêvait d'un peu de douceur. La fable de l'homme qui saoulait tout le monde avec ses clichés. La fable de la fille qui n'aimait pas qu'on lui présente des garçons. La fable de l'homme mené par son imprévisible engin. La fable de la femme qui en avait par-dessus la tête des fantasmes des autres. La fable de l'homme qui voulait changer ses habitudes. La fable de la jeune doublée par une vieille. La fable de l'homme qui se trompait sur les femmes. La fable de la femme qui voulait rire même au lit. & autres histoires

06/2020

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Littérature française

L'envie

Parce qu'elle a trop dit oui sans désir. Parce qu'il arrive, parfois, que le corps se lasse. Un jour comme un autre, elle a décidé qu'on ne l'aurait plus. Sa vie sexuelle s'arrêterait ici. Ne plus faire l'amour ? jamais ? Aux yeux de son entourage, l'idée parait aberrante, ridicule, scandaleuse. Pourtant, elle est heureuse. Que signifie au fond ce soudain refus d'obstacle ? Rien de grave. C'est peut-être même tout le contraire. Et si cette héroïne était la plus sensuelle qui soit, avec son corps retrouvé. Avec la paix de son corps. Puis, un jour comme un autre, la voilà qui revient, silencieuse comme une onde. C'est elle. C'est l'envie. Fulgurante.

07/2022

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Grandir

Et puis un jour, il faut grandir. Que faire lorsque, l'âge et la dépendance venant, entre une fille et sa mère les rôles s'inversent ? Lorsque, si vulnérable et pourtant si belle, la vieillesse devient une chute irrépressible ? La question, pour la narratrice, ne se pose pas longtemps. Elle a tant reçu, tant d'amour, de cette femme à la peau d'abricot. Il est temps de donner. De se vouer. D'" écrire " sa mère pour refuser sa mort, et la rendre éternelle. Et ce faisant, grandir. Accepter ces cadeaux qu'elle nous tend, les derniers : la tendresse et l'acceptation, sereine, du temps qui passe. " Un livre plein de grâce et de pudeur. " Olivia de Lamberterie - ELLE

01/2021

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Grandir

Et puis un jour, il faut grandir. Que faire lorsque, l'âge et la dépendance venant, entre une fille et sa mère les rôles s'inversent ? Lorsque, si vulnérable et pourtant si belle, la vieillesse devient une chute irrépressible ? La question, pour la narratrice, ne se pose pas longtemps. Elle a tant reçu, tant d'amour, de cette femme à la peau d'abricot. Il est temps de donner. De se vouer. D'" écrire " sa mère pour refuser sa mort, et la rendre éternelle. Et ce faisant, grandir. Accepter ces cadeaux qu'elle nous tend, les derniers : la tendresse et l'acceptation, sereine, du temps qui passe. " Un livre plein de grâce et de pudeur. " Olivia de Lamberterie - ELLE

03/2011

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Grandir

Rien ne prépare à cela : grandir. Les parents se montrent forts et insubmersibles, une fausse image, en somme. La réalité, c'est la vieillesse inéluctable. Sophie Fontanel parle d'amour et de filiation, parle de l'ironie de la vie quand, entre une mère et sa fille, les rôles s'inversent. "Grandir, c'est bien après la croissance, on dirait."

05/2012

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Grandir

La longue histoire d'amour d'une fille pour sa mère. "A 8 heures du matin, ça y est, j'avais accepté. Je me levai, je filai chez ma mère. je m'assis sur une chaise près du lit: "Maman, je lui disais pour la première fois depuis l'enfance: je t'aime. Tu es ma vie. Et comment, si je t'aime. toi qui es ma vie. je pourrais te laisser là dans ce lit, à l'abandon? Je ne le pourrais pas. Ecoute, je veux que tu me donnes l'autorisation d'appeler le docteur. qui appellera l'ambulance, et tu seras dans un hôpital mais tu seras soignée, et je t'aime. Et je te donnerai du courage, je le pourrai. Tu veux bien ?" La seconde inoubliable où je fus suspendue à sa réponse. "Oui à tout", elle avait annoncé. Et plus tard, dans l'ambulance, le sublime sourire retrouvé malgré les souffrances qu'elle endurait: "Sophie. tu me surprends." Grandir, c'est bien après la croissance, on dirait."

08/2010

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