Recherche

Sophie Divry

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Quand le diable sortit de la salle de bain

A Lyon, une trentenaire, Sophie, chômeuse en fin de droits, souvent affamée, est soucieuse d'écrire son livre. Avec fracas et drôlerie, ce roman nous entraîne dans les turpitudes de la vie d'une jeune femme qui subit son isolement, et il soulève la question de la place du chômeur dans notre société. Ce diable ne laisse rien passer aux personnages et pointe avec malice et cruauté les besoins de chacun de se fondre et de se distinguer dans la société, la famille et le travail. Facétieuse, Sophie Divry jongle avec la langue, les mots qu'elle manie avec maestria.

02/2017

ActuaLitté

Non classé

Cinq mains coupées

" Je m'appelle Gabriel, j'ai 22 ans. Je m'appelle Sébastien, j'ai 30 ans. Je m'appelle Antoine, j'ai 27 ans. Je m'appelle Frédéric, j'ai 36 ans. Je m'appelle Ayhan, j'ai 53 ans. C'était le samedi 24 novembre. C'était le 1er décembre. C'était le 8 décembre. C'était à Bordeaux. C'était à Tours. C'était place Pey-Berland. C'était place Jean-Jaurès. C'était sur le boulevard Roosevelt dans le XVIe arrondissement. Ca s'est passé le 9 février devant l'Assemblée nationale, à Paris. " Dans ce livre, pas une phrase n'est de Sophie Divry. Toutes sont issues d'entretiens réalisés entre septembre 2019 et février 2020 avec les cinq manifestants mutilés de la main lors du mouvement des Gilets jaunes. Ils étaient tous droitiers, ils ont tous perdu la main droite. Il travaillait à l'usine, il amarrait des bateaux, ils étaient plombier, étudiant ou apprenti chaudronnier. Un samedi de manifestation, leur main a été arrachée par une grenade bourrée de TNT, et leur vie n'a plus jamais été la même. Chacun a raconté son histoire à l'autrice, qui en a fait un choeur. Parce que c'est une seule et même histoire, celle de manifestants démembrés alors qu'ils formaient un même corps.

10/2020

ActuaLitté

Littérature française

La condition pavillonnaire

Un mari aimant, des enfants adorables, une maison confortable : M. -A. mène une vie parfaite, ou tout du moins une vie parfaitement ennuyeuse. A l'instar du poisson rouge dans son bocal, elle a l'impression de tourner en rond et multiplie les exutoires : adultère, humanitaire, yoga... sans qu'aucune de ces activités la satisfasse vraiment. Mais pouvons-nous jamais trouver ce qui nous comble ? Avec cette Emma Bovary moderne, Sophie Divry offre un roman profond, sensible et ironique sur la condition féminine, la condition humaine.

11/2024

ActuaLitté

Littérature française

La condition pavillonnaire

La condition pavillonnaire nous plonge dans la vie parfaite de M-A, avec son mari et ses enfants, sa petite maison. Tout va bien et, cependant, il lui manque quelque chose. L'insatisfaction la ronge, la pousse à multiplier les exutoires : l'adultère, l'humanitaire, le yoga, ou quelques autres loisirs proposés par notre société, tous vite abandonnés. Le temps passe, rien ne change dans le ciel bleu du confort. L'héroïne est une velléitaire, une inassouvie, une Bovary... Mais pouvons-nous trouver jamais ce qui nous comble ? Un roman profond, moderne, sensible et ironique sur la condition féminine, la condition humaine.

08/2014

ActuaLitté

Littérature française

La condition pavillonnaire

Un mari aimant, des enfants adorables, une maison confortable, M. -A. mène une vie parfaite, ou tout du moins une vie parfaitement ennuyeuse. A l'instar du poisson rouge dans son bocal, M. -A. a l'impression de tourner en rond. Elle multiplie les exutoires : adultère, humanitaire, yoga... sans qu'aucune de ces activités ne la satisfasse vraiment. Mais pouvons-nous jamais trouver ce qui nous comble ? Avec cette Emma Bovary moderne, Sophie Divry offre un roman profond, sensible et ironique sur la condition féminine, la condition humaine.

08/2015

ActuaLitté

Non classé

Cinq mains coupées

Entre septembre 2019 et février 2020, Sophie Divry s'est entretenue avec cinq manifestants mutilés lors du mouvement des Gilets jaunes. Ils étaient tous droitiers, ils ont tous perdu la main droite. Il travaillait à l'usine, il amarrait des bateaux, ils étaient plombier, étudiant ou apprenti chaudronnier. Un samedi de manifestation, leur main a été arrachée par une grenade bourrée de TNT, et leur vie n'a plus jamais été la même. Chacun a raconté son histoire à l'auteure, qui en a fait un choeur. Parce que c'est une seule et unique histoire, celle de manifestants démembrés alors qu'ils faisaient corps.

02/2022

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté