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Simonet et guillaume simonet Marie

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Le Fichu Bleu

Le vendredi 24 novembre 1944 à Cologne, le soldat Robert Bradley, posté en éclaireur du XVIe corps de la troisième armée du douzième groupe américain des armées, pistolet mitrailleur au poing, oreilles en alerte et oeil aux aguets, découvre le corps désarticulé de ce qui lui semble être une jeune fille, la taille plaquée par une large ceinture de cuir à un lit à demi-renversé. La tête chavirée et les bras ballants. Immobile. Le regard creux. Balancé entre l'Ukraine pendant la seconde guerre mondiale et la Provence de nos jours comme toiles de fond, les auteurs invitent le lecteur à plonger dans une singulière destinée où s'entremêlent anecdotes locales et évènements authentiques, jusque dans les profondeurs tourmentées de leurs personnages. Dans cette balade narrative, est-il possible de trancher de qui les coupables sont-ils les victimes ?

10/2016

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Révélez le pouvoir de la Lune

Vous cherchez à vous connecter à votre pouvoir lunaire primaire ? A connaître vos superpouvoirs et votre part d'ombre ? Déterminez votre signe lunaire et écoutez ce que les cieux ont à vous dire. Apprenez à interpréter les messages que la Lune vous renvoie et à agir en conséquence. Ce livre vous propose plus de 125 conseils pour transformer votre vie ! Découvrez les caractéristiques ainsi que le parcours karmique de chaque signe astrologique lunaire. Célébrez la magie de la lune grâce à des rituels de nouvelle lune et de pleine lune. Bénéficiez de conseils pour travailler avec chaque signe au cours de chaque phase de la lune.

09/2021

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Revue Nerval N° 6, 2022

Contributeurs : Iseult Andreani, Olivier Bara, Gabrielle Bornancin-Tomasella, Guillaume Cousin, Simone Dubrovic, Florence Fix, Pierre Fleury, Jean-Nicolas Illouz, Hélène Laplace-Claverie, Marine Le Bail, Sylvain Ledda, Caroline Legrand, Takeshi Matsumura, Sophie Mentzel, Bruno Penteado et Akio Wada.

04/2022

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La fabrique

Deux femmes face à l'Histoire. "Simone van der Vlugt marie les univers d'Emile Zola et de Jane Austen". Le Monde Amsterdam, 1892. Lydia n'espère rien lorsqu'elle se plonge dans les affaires de son père tout juste décédé. Mais la découverte d'un carnet la laisse songeuse : au fil des pages, elle comprend qu'il projetait la création d'une fabrique de fromage moderne, actionnée à la vapeur. Contre toute attente, elle se promet de réaliser ce projet un peu fou. L'époque interdisant à une femme seule de mener une telle entreprise, Lydia trouve de l'aide auprès d'un fermier de la région, Huib. A eux deux, et malgré leurs origines sociales différentes, ils comptent bien construire la plus grande fabrique de fromage de la région, et peut-être trouver en chemin plus que le succès... Anvers, 1914. Nora, fille unique de Lydia, a trouvé refuge en Belgique, dans les bras de son jeune époux. Un départ précipité qui prend toutes les apparences d'une fuite, tandis qu'elle cherche du réconfort loin des siens. Réussira-t-elle à assouvir cette nouvelle soif de liberté, alors que la Première Guerre mondiale frappe aux portes de son pays d'adoption ? PRESSE : "Pour nous plonger dans la première révolution industrielle et ses paradoxes, Simone van der Vlugt marie les univers d'Emile Zola et de Jane Austen. En résulte un roman historique plein de fraîcheur brossant le tableau d'une société foisonnante de vie, avec en son centre, déjà, la question essentielle de la place des femmes". Le Monde. "Impossible de le lâcher". L'Obs.

06/2022

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Littérature française

Madame Corentine

"Connaissez-vous, à Lannion, M. L'Héréec ? " "Parbleu ! M. Guillaume, de la rue du Pavé-Neuf ? " "Oui." "Si je le connais ! Je le vois, plus de trois fois la semaine, qui rentre de l'usine. Un bon homme, sûr ! qui n'a pas eu de chance ! " Il avait dit les derniers mots en sourdine, comme une réflexion intime. Simone rougit jusqu'aux frisons de son cou. "Voulez-vous lui faire une commission ? " demanda-t-elle. Sans attendre la réponse, elle tira de sa poche un carnet long d'un doigt, écrivit au crayon : "Simone, 20 juillet 1891", déchira la page, et la tendit pliée vers le bateau. "Ceci, voulez-vous ? " Déjà la marée avait gagné plus d'un mètre. La jeune fille fit un pas en avant, mouilla sa bottine jusqu'à la cheville, pour remettre le billet au marin, puis se rejeta en arrière. "Merci..." dit-elle. "Puisque vous le voyez, vous, je voudrais savoir... a-t-il beaucoup vieilli ? " Elle le regardait maintenant avec des yeux pleins de larmes. Il comprit vaguement, et leva son béret. "Un peu, mademoiselle, le chagrin, vous savez..." "Tout blanc, peut-être ? " "Oh ! pas encore ! un peu gris, là, aux tempes. Un bien bon homme, M. Guillaume."

10/2024

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Tapis

Sallandrouze de Lamornaix (1801-1878)

La famille Sallandrouze est présente dans la Marche depuis le XVIe siècle. Cette lignée de marchands-fabricants joue un rôle de premier plan au XIXe siècle : elle participe au renouveau industriel de la Creuse en relançant la fabrication des tapis, puis des tapisseries. Trois générations se succèdent aux commandes de l'entreprise, depuis l'aube du Premier Empire jusqu'au lendemain du Second. Jean Sallandrouze de Lamornaix (1760-1826), qui grandit à Folletín au XVIIIe siècle, apprend le métier de dessinateur, se lance dans l'impression sur étoffe sous la Révolution quand la tapisserie ne peut plus le faire vivre, puis revient au tapis en 1801 en choisissant de fabriquer des tapis de luxe à Paris et de s'associer au marchand aubussonnais Guillaume Rogier. A la fin de sa carrière, il aménage la rue Saint-Jean à Aubusson : il fait bâtir la première usine intégrée où l'on trouve des ateliers de fabrication de tapis ras et veloutés, un atelier de dessin et une teinturerie. A sa mort en 1826, son fils Charles Sallandrouze de Lamomaix (1808-1867) lui succède. Jeune et ambitieux, il développe l'innovation, notamment pour la fabrication des moquettes, se lance à la conquête du marché anglais pour y vendre des tapis de luxe, et multiplie les collaborations avec des artistes de talent comme Amédée Couder. Il participe à de nombreuses expositions industrielles qui lui permettent d'obtenir la médaille d'or ainsi que d'importantes retombées médiatiques. Il poursuit également une carrière politique au niveau départemental et national. En 1856, il fonde la Société anglo-française des manufactures d'Aubusson et de Felletin pour développer en France le tapis imprimé. Lorsqu'il décède en 1867, son fils, Octave Sallandrouze de Lamornaix (18341897), associé aux affaires depuis de longues années, reprend l'entreprise. Il hérite cependant des difficultés économiques apparues dans les années 1860, encore aggravées par la Guerre franco-prussienne de 1870-1871. Pris dans les remous de la faillite du banquier aubussonnais Maymat, il doit dissoudre sa société. Il maintient la fabrication jusqu'à l'Exposition universelle de 1878. Puis, vaincu par les difficultés, il arrête la fabrication, démissionne de son mandat de maire et quitte Aubusson. Forte des avancées de la recherche des vingt dernières années et de l'identification de nombreuses oeuvres dans des collections publiques et privées, françaises et étrangères, l'exposition présente un large choix de tapis, de tapisseries et de dessins, fruits des acquisitions récentes de la Cité ou prêts d'institutions prestigieuses et de collectionneurs.

09/2021

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