Shakespeare Hamlet

La couronne britannique commémore, elle aussi, à façon, les 400 ans de la mort de William Shakespeare. Ce week-end, le Prince Charles a décidé de réciter le célèbre monologue d’Hamlet, aidé par une troupe d’acteurs. 

C'est connu, Chuk Norris est capable de tout, et ce dont il n'est pas capable, c'est simplement que personne ne l'a encore inventé. D'ailleurs, n'oubliez pas : « Dieu voulait faire le monde en 10 jours. Chuck Norris lui en a donné 6... » Dans tous les cas, citer Hamlet est une chose que l'on n'avait pas encore entendue chez Norris : évidemment, ce n'était qu'une question de temps.

Le Canadien Ryan North, créateur de Dinosaur Comics, vient de lancer une version choose-your-own-adventure du Hamlet de Shakespeare. Une création qui permet au lecteur de se placer dans la tête du protagoniste central de la tragédie, que ce soit au cours de sa jeunesse comme à l'âge adulte, ou encore d'incarner le personnage d'Ophélie ou le fantôme du défunt roi. Un projet créatif financé via la plateforme

Fleurs, mandalas, paysages ou encore personnages de dessins animés : la perspective de la fin du confinement est encore loin et vous avez passé en revue tous les types de coloriages ? Voici un nouvel ouvrage à mettre en couleur, composé de 35 illustrations des pièces de William Shakespeare. L’occasion de se détendre tout en déambulant dans l’œuvre du dramaturge anglais.

Le polar Haider de Vishal Bhardwaj est sorti en octobre dernier en Inde, après quelques déboires pour obtenir son autorisation de diffusion. Et pour cause : le long-métrage adapte Hamlet de Shakespeare, en le transposant à l'année 1995 et au conflit entre l'Inde, le Pakistan et le Cachemire. Ce dernier est une véritable poudrière, partagée entre trois nations qui l'administrent, les deux citées et la Chine.

Voilà deux ans, une petite bande d'allumés de Nashville avait lancé une campagne Kickstarter, pour financer et produire une parodie, William Shakespeare Presents : Terminator the Second. Le Jackal Theater Husky avait pour projet de réécrire le film de James Cameron, en s'appuyant strictement sur des textes de Shakespeare... Pari gagné. 

Consacré prince des procrastinateurs par certains, meurtriers pour d'autres - ce qui n'est pas incompatible - Hamlet passait devant la cour improvisée de justice de l'université de Southern California, à Los Angeles.

On ne lira pas demain l’histoire de l’ingénieux hidalgo, assis sur le bord d’une rivière danoise, un moulin dans la main, et se demandant « Être ou ne pas être, telle est la question. » Peut-être est-ce d’ailleurs là ce qu’il y a de pourri au Royaume de Danemark... Mais en attendant, plusieurs auteurs de langue anglaise et espagnole se sont donné la main pour une anthologie, réunissant Cervantès et Shakespeare.

Gillian Flynn, prix des lectrice Elles 2013, pour Les apparences, va rendre son hommage au Barde. Pour le 400e anniversaire de la naissance de Shakespeare, elle met sa plume au service de William, en écrivant une nouvelle version de Hamlet, dans le cadre du Projet Hogarth, qui vise à la réécriture des chefs d'oeuvres du maître.

C’est son fils Horatio qui aurait tué le vieux roi pour avoir abusé de lui, et non pas son frère par bête et méchante envie d’avoir la couronne. Ce n’est pas la première fois que cette version recolorée paraît, mais elle a eu droit à une critique ravageuse dans la revue Rain Taxi qui a mis le feu aux poudres.

Nelson Montfort n'aurait sûrement pas désavoué la comparaison, tant le commentateur sportif conserve un goût de la langue, au point de la partager sous la forme de manuels d'apprentissage de l'anglais, par exemple.

Tout a commencé lors d'une « blague » entre le dessinateur Zach Weinersmith et la designer Katie Sekelsky : être tellement bibliophile que le marque-page d'un livre serait... un petit livre. Et le tout… a pris forme.

Comment sonneraient à nos oreilles Hamlet, Richard III ou Le Roi Lear dans leur prononciation initiale, au siècle de Shakespeare ? La question intéresse linguistes et chercheurs, qui tentent d'apporter leur réponse. Ici, l'acteur, metteur en scène et auteur Ben Crystal livre une lecture du célèbre passage du monologue d'Hamlet « Être ou ne pas être ? », dans la langue originale de Shakespeare. 

La rétrospective consacrée à Akira Kurosawa ressort Le Château de l’araignée, une autre adaptation de William Shakespeare, à travers sa pièce Macbeth. Kurosawa s’était déjà inspiré du Hamlet de Shakespeare, avec Les Salauds dorment en paix. 

Les insultes font légion dans Shakespeare, avec un art qui pourtant, les garde toujours de tomber dans la vulgarité. C'est bien souvent un condensé de métaphores et d'allitérations qui prête à rire. À côté de nos jurons contemporains, ces poétiques vindictes pourraient nous sembler bien désuètes. C'est sans compter sur la fascination qu'elles exercent encore sur les amateurs de joute verbale. 

Pour ceux qui n'ont jamais eu l'occasion d'avoir de cours de littérature sur le plus grand maître des lettres anglaises, le site

Illustrateur britannique de livres, John Archibald Austen a laissé des pièces magnifiques en s’emparant des grandes œuvres de la littérature classique. Jusqu’au milieu des années 20, son style reflétait les merveilles de l’Esthétisme, mouvement prédominant dans la fin du XIXe siècle. Et ses illustrations de Hamlet le démontrent amplement. 

Hamlet... affligeante créature dépassée par les événements, devenu fou à force de parler à des crânes, capable de tuer le père de sa promise... Désespérant. D'ailleurs, s'il était donné de pouvoir intervenir dans l'histoire, que ne lui ferait-on pas faire, à ce Hamlet. D'abord, un grand coup de pied dans le postérieur, pour le remuer un peu !

Du contenu violent dans Hamlet ? On a peine à la croire. Et pourtant, un utilisateur de la British Library s'est vu refuser l'accès à la pièce de Shakespeare, pour des problèmes qui dépassent de loin l'entendement. Ou comment un filtrage assuré par le fournisseur d'accès à internet décide de ce qui est lisible ou non...

Comme c'est le cas pour Entre le ciel et l'enfer, Les Salauds dorment en paix d’Akira Kurosawa ressort en salles dans le cadre d'une rétrospective. Un de ses films noirs les plus engagés contre la corruption qui minait le milieu des affaires dans le Japon de la fin des années 50. C'est l'occasion de revoir plusieurs oeuvres du réalisateur des Sept Samouraïs et de le voir revisiter le genre du thriller à sa façon. 

Les étudiants anglophones ont un nouvel ami : Cliff. Et pourquoi Cliff serait leur ami ? A-t-il publié une hilarante vidéo sur Facebook ? Les a-t-il pokés jusqu'à la lie ? Du tout : Cliff raconte les grandes histoires de la littérature, depuis 1958, et propose un résumé simple, accessible... et indispensable, quand on n'a pas lu l'oeuvre.

Figure emblématique de la littérature anglo-saxonne, William Shakespeare a toujours intrigué ses contemporains : n'a-t-il jamais composé un seul vers ? Avec le film Anonymous, un peu à la manière du Da Vinci Code, le réalisateur Rolland Emmerich remet tout en cause.

Macbeth, l'adaptation de la tragédie de William Shakespeare, est rentré bredouille du Festival de Cannes, mais le roi d'Écosse n'abandonne pas la partie pour autant. Le film sera en salles le 4 novembre 2015, signé Justin Kurzel (Les Crimes de Snowtown, un segment de The Turning).

Sur le blog No sweat Shakespeare a été publiée une nouvelle infographie illustrant une analyse en chiffres de l'oeuvre du plus célèbre dramaturge d'outre-Manche. L'occasion pour les passionnés et autres curieux d'en apprendre un peu plus sur les habitudes de l'auteur, que ce soit en termes de mots couchés sur vélin, de ses registres de prédilection à ses protagonistes les plus bavards, ou encore de son influence sur la langue anglaise... communément dénommée la sienne.

L'acteur anglais Riz Ahmed, récemment primé aux Emmys, vient de passer un accord avec Netflix pour un rôle dans une adaptation contemporaine d'Hamlet que la plateforme américaine va produire et diffuser. « Être ou ne pas être », telle n'est plus la question de Riz Ahmed pour ce rôle shakespearien qu'il déclare préparer depuis des années.

William Shakespeare, Le Barde de son petit surnom, fait partie de ce panthéon des auteurs connus dans le monde entier. Et, en même temps, reste l'un des plus mystérieux, puisque son existence reste une énigme pour de nombreux spécialistes. Il est désormais possible de redécouvrir son œuvre au complet, entrée dans le domaine public, en le téléchargeant au format numérique.

Coup d'éclat... raté, de la part du candidat PS en pleine campagne. Pas de « bravitude » ou autres distorsions de la langue, non, mais une mauvaise citation.