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Serge Doubrovsky

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Serge Joncour

Serge Joncour est l'un des plus importants romanciers français contemporain. Très soutenu par les libraires, il a su, de livre en livre, convaincre un large lectorat tout en étant reconnu par la critique littéraire. Ecrivain des paysages, il développe une œuvre romanesque qui sonde et entrelace, avec force et délicatesse, toutes les nuances de la nature et de la nature humaine.

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Dossier

En série ou en film, les adaptations de livres crèvent l'écran

Le Parrain, Les Dents de la merRaisons et sentiments, Le Seigneur des Anneaux, la saga Harry Potter, Le Nom de la Rose, Orange mécaniqueVol au-dessus d'un nid de coucou, Le GuépardLettre d'une inconnue... Tous ces films ont un point commun, celui d'être des adaptations de romans ou de sagas littéraires...

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Dossier

Game of Thrones, des livres de George R.R. Martin à la série HBO

Né en 1948 aux États-Unis, George R.R. Martin écrit au départ pour créer de nouvelles histoires mettant en scène les super-héros Marvel, puis pour tuer le temps, alors qu'il peine à trouver un emploi dans le secteur du journalisme. Petit à petit, il devient un auteur confirmé de nouvelles de science-fiction. Après avoir commencé une carrière comme scénariste de séries télévisées, il commence, au début des années 1990, à rédiger une saga de type fantasy, intitulée A Song of Ice and Fire et traduite en français sous le titre Le Trône de Fer.

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Dossier

Netflix : quand les livres inspirent films et séries

Fondée en 1997, la société Netflix est devenue le symbole même d’une nouvelle approche de la vidéo sur internet. Son service de streaming, déployé sur une vingtaine filiales, réparties sur 190 pays dans le monde a conquis les utilisateurs. Séries, films, documentaires, on y retrouve une offre qui se diversifie. Et les livres y trouvent de plus en plus leur place.

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Dossier

Saint-Elme, la folie d'un Twin Peaks, quelque part en Europe

« Ici, c’est spécial. » Depuis trois ans, Serge Lehman et Frederiks Peeters nous ont plongés dans une série dont les couleurs folles peinent à rester dans tranquillement dans leurs pages. Un polar percutant, aux personnages franchement décalés : avec la sortie du cinquième tome, Les Thermopyles, les comparses mettent le point final à leur saga au milieu des montagnes…

 

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Dossier

La Petite mort : Faux et usage de faux

Pas commode d'avoir pour paternel La Mort en personne. Pour éviter toute confusion, son fils a été baptisé La Petite Mort – encore que le risque de se mélanger les pinceaux ne soit pas totalement écarté. Cette série de bandes dessinées signées David Mourier est proposée par les éditions Delcourt depuis septembre 2013. Neuf tomes et une web série plus tard, ces aventures sont toujours à mourir... de rire.

Extraits

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Littérature russe

Doubrovski

"Il y a quelques années vivait sur une de ses terres un seigneur russe de vieille famille, Cyrille Petrovitch Troïekourov. Sa richesse, sa haute naissance et ses relations lui donnaient un grand poids dans les provinces où se trouvaient ses biens. Les voisins étaient heureux de contenter ses moindres fantaisies ; son seul nom faisait trembler les fonctionnaires du chef-lieu. [... ] Les occupations de tous les jours de Troïekourov consistaient en tournées à travers ses vastes propriétés, en festins prolongés et en facéties chaque jour inventées à cette occasion, et dont la victime était habituellement quelque nouvelle connaissance ; encore de vieux amis même n'y échappaient-ils pas toujours, à l'exception d'un seul, Andreï Gavrilovitch Doubrovski".

02/2022

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Critique littéraire

Corneille et la dialectique du héros

L'auteur s'est proposé d'utiliser une méthode moderne pour comprendre CORNEILLE, sans négliger l'approche historique. Une lecture systématique lui a permis de dégager les thèmes centraux, de suivre leur articulation et leur développement. Alors surgit et se précise, de pièce en pièce, une silhouette méconnue : le héros cornélien. Loin d'être cet exemple éclatant du triomphe humain, cet exercice souverain de la volonté que nous présente la critique traditionnelle, le dessein de reprise en main totale de notre condition, qui est au cœur du projet héroïque, se révèle, au terme d'une immense dramaturgie, une impossibilité insurmontable. Cet échec, sans cesse repoussé et finalement assumé, dû non aux lois d'un fatum transcendant mais à une autodestruction interne, fait apparaître une figure inattendue de Corneille, contraire à nos habitudes : un auteur tragique. Les contradictions d'une Histoire agrandie aux dimensions d'un drame sacré enferment le héros cornélien et se referment sur lui. Dans son désir impénitent et toujours déjoué de se soumettre les choses et les hommes, il ressemble en frère à celui de ce temps. Jusqu'en son ultime renoncement ironique.

03/1982

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Littérature française

Un homme de passage

"Le passé, justement...... des fragments d'un soi disparu qui se raniment, se rallument par éclairs instantanés. Sans suite, sans ordre. Pas la madeleine de Proust. Des miettes de madeleine. Pas un magique, magnifique déploiement d'une vie restituée en un parfait ensemble, savamment, poétiquement reconstituée... Des moments disjoints qui se frottent au hasard des rencontres, flambent, s'éteignent, retombant dans les ténèbres... Pas le Temps retrouvé, des retrouvailles partielles sporadiques... Et puis on se perd. Impossible de se rassisir à travers ces bribes, parfois fulgurantes, de mémoire. Cher, très cher Proust, je ne me retrouve, je réinvente. Au fil des souvenirs qui éclatent, explosent en instantanés furtifs, je brode. Ma vie pour moi est ma fiction, mon autofiction. Comment on se raconte à soi-même..."S. D.

02/2011

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Littérature française

Le Jour S suivi de Chronique américaine

Des personnages, une intrigue ? Oui. Un récit traditionnel ? Nous ne pensons pas. Le récit traditionnel est, avant tout, une synthèse : une vie, un moment, une expérience rassemblés selon une certaine perspective. Où trouver aujourd'hui une perspective cohérente sur un univers immense et multiple ? Un livre sur l'Amérique donc. Mais non pas un jugement. Le soin de juger revient à ces voyageurs intrépides (nous n'en manquons pas), qui, au bout d'un séjour de quelques semaines, rapportent dans leurs bagages le livre définitif. Des impressions, sans autobiographie. Un Français veut simplement parler de ses années passées sur un continent fuyant et familier, qui le dépasse, mais où il s'inscrit... Raconter sera donc, pour lui, essayer d'offrir des points de repère et de contact, tâcher de faire sentir, sur une variété d'exemples, le goût d'une existence et de ses problèmes, aux jours de crise comme aux jours de repos. On songe alors à une oeuvre où les fils brisés se rejoignent secrètement, où les fils séparés tissent une trame invisible. Un roman discontinu ? Telle serait, en somme, cette nouvelle présentation de l'Amérique. SD (1963). Cinquante ans après sa publication initiale, voici enfin rendu au public Le Jour S, le premier texte de Serge Doubrovsky, un curieux "roman" qui, avant même l'invention de "l'autofiction", inaugurait une rupture sans précédent avec l'autobiographie classique : les premiers "fils brisés" d'une aventure littéraire exceptionnelle, ici ponctuée par un "Post-scriptum 2013" inédit.

04/2013

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Littérature française

Le monstre. Tapuscrit originel inédit

Ce "roman" est , par son contenu, son volume et sa forme, un ouvrage si extravagant, si unique en on genre, qu'il convient d'en rappeler brièvement la généalogie. Au début des années 1970, Serge Doubrovsky commença la rédaction d'un ouvrage monumental qui, selon son auteur, devait jeter les bases théoriques de ce qui sera plus tard défini comme « autofiction ». Une fois achevé, ce manuscrit comptait près de 3000 pages et aucun éditeur ne consentit à le publier en l'état. Une partie, réaménagée, réduite à 450 pages, de ce livre parut néanmoins en 1977, sous le titre de Fils, après quoi son auteur dispersa aux quatre coins du monde le manuscrit non publié. Isabelle Grell, chercheuse et spécialiste de l'oeuvre de Serge Doubrovsky, entreprit de rassembler pieusement ces pages, de recomposer le tapuscrit originel qui, augmenté d'une double préface, est publié ici. L'aspect torrentueux de ce "texte retrouvé" rendait délicate une publication classique: Grasset a donc choisi de reproduire ce manuscrit, tel quel, et ce parti-pris éditorial a semblé d'autant plus légitime qu'il est en affinité avec le projet littéraire de Serge Doubrovsky. Voici donc, à l'état brut, un texte craché, originel, véhément – rigoureusement fidèle aux stratégies de l'autofiction.

09/2014

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Littérature française

L'Après-vivre

L'Après-vivre commence dans l'avion qui, en décembre 1989, ramène à New York Serge Doubrovsky, après l'enterrement d'Ilse, sa jeune femme. Ilse ? L'héroïne tragique du Livre brisé, le roman de Serge Doubrovsky, prix Médicis 1989, qui fit scandale. L'Après-vivre : non pas la suite mais la poursuite du Livre brisé. La mort est une maladie qui vient frapper l'auteur. En plein succès, en plein coeur, en plein amour. Ecrire sa vie n'est pas un acte innocent, c'est un défi qui fait retour dans l'existence et l'écrase au moment où l'homme et la femme rêvaient d'un nouveau départ ensemble. Pour elle, l'ironie tragique se redouble encore. En même temps que son visage est atteint par l'intervention assassine d'un médicastre, elle est assaillie par l'homme aimé qui, redevenu grâce à elle écrivain, s'empare de sa vie à elle pour écrire la sienne. Elle ne se reconnaît plus ni dans le reflet de la glace ni dans le miroir des mots. Elle lutte pour garder son identité. Elle se bat et se débat avec le livre dans le livre. Elle menace de quitter l'homme, si l'écrivain la blesse trop. Tel est L'Après-vivre, dont la fin reste en suspens pour l'auteur comme pour le lecteur. 60 ans pour lui et 33 pour elle, au départ. Euphorie du bain de jouvence, pour lui, joie du renouveau, pour elle. 65 et 38 à l'arrivée : il vit, lui, la décrépitude inexorable d'un sexe vieillissant, elle les tourments intempestifs de sa jeune féminité. Une histoire d'amour, d'écriture, leur jeu, leur enjeu terrible. L'histoire d'un homme, d'une femme et de deux livres, inextricablement scindés et soudés. Une histoire comme aucune autre. La raconter est cruel. Le cruel doit être dit tout cm, mais avec style. Réserve, pudeur, convenances, on a déclaré de Serge Doubrovsky qu'il reculait les limites du dicible. Cette fois, il a franchi toutes les homes. Pour écrire un roman vrai.

03/2011

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