Recherche

Septembre 1914 La Marne

Extraits

ActuaLitté

Historique

Septembre 1914 La Marne

1er septembre 1914. L'armée allemande est à 40 km des portes de la capitale. Rien ne semble pouvoir enrayer l'implacable invasion. A Paris, seul le général Gallieni croit qu'il existe une dernière chance : s'engouffrer entre les divisions allemandes et contre-attaquer ! Alors que la France entière recule, qui osera affronter la puissance des armées du Kayser, qui ? sinon les sentinelles !

05/2009

ActuaLitté

Première guerre mondiale

Un Sedanais dans la tourmente de 1914

La guerre est déclarée en août 1914. Théophile, pompier volontaire, est alors incorporé comme infirmier brancardier au sein de la Croix-Rouge à l'hôpital militaire de Sedan. Les forces allemandes arrivent sur Sedan et il tombe aux mains de l'ennemi le 25 août 1914. Il est fait prisonnier ainsi que tout le personnel de l'hôpital militaire. Malgré son statut à la Croix-Rouge, c'est l'embarquement dans un train pour l'Allemagne le 11 septembre 1914. Juste avant son départ, il aura pu dire au revoir à sa femme mais n'aura pas pu embrasser ses deux jeunes enfants. Il sera interné dans un camp à Merseburg (Saxe) pendant 10 mois. Puis viendra le rapatriement en France, en passant par la Suisse, et il arrivera libre à Lyon le 16 juillet 1915. De son arrestation et son internement, Théophile François a fait un récit authentique et poignant. C'est grâce à l'une de ses petites-filles, Béatrice François, qui ne l'a pas connu mais qui a conservé précieusement ce document rare. Elle le tient de son père Jean-Marie François, lequel avait souhaité qu'il soit publié au moment de la célébration du centenaire de la Grande Guerre. Récit de Théophile François Présentation par Jean-Christophe Sauvage

12/2014

ActuaLitté

Ouvrages généraux et thématiqu

Contrevérités sur la Grande Guerre

L'auteur sait de quoi il parle : son grand-oncle Joseph a été tué le 22 mars 1916 à Verdun-Malancourt. D'où ses recherches approfondies et ses découvertes surprenantes. D'abord à propos de la stratégie militaire française de 1871 à 1914. Puis des batailles de Lorraine (d'août-septembre 1914) et de la Marne (du 6 au 15 septembre 1914). Et enfin à Verdun-Malancourt en mars 1916. Terribles batailles où les soldats du Midi du 15e corps (et de sa 29e division) ont été diffamés. En août 1914, diffamation par les généraux Foch et Joffre médiatisée par le ministre Messimy autorisant sa publication dans la presse. Et, en 1916, soldats de la 29e division diffamés par leur propre général. Au total, une trentaine de contrevérités historiques reprises jusqu'à nos jours par des héritiers qui en ont assuré la pérennité dans l'Armée comme dans l'Université et les publications (presse et édition). Leurs articles et ouvrages ont ainsi acquis valeur de référence et ils sont donc cités dans toutes les bibliographies. De ce fait, ils constituent une formidable armature idéologique qui entretient ces contrevérités aux dépens des recherches contribuant à la vérité historique.

04/2024

ActuaLitté

Non classé

MOSELLY - DESCAVES, PERROUT ET PÉGUY

Emile Moselly a consacré à trois de ses amis écrivains une biographie pleine de reconnaissance. LUCIEN DESCAVES, né le 18 mars 1861 à Paris (14e) et mort le 6 septembre 1949 à Paris (16e), est un écrivain naturaliste et libertaire. RENE PERROUT, né à Epinal le 26 janvier 1868, et mort dans la même ville le 11 septembre 1920, est un avocat et un écrivain régionaliste. CHARLES PEGUY, né le 7 janvier 1873 à Orléans et mort pour la France le premier jour de la bataille de l'Ourcq, le 5 septembre 1914 à Villeroy (Seine-et-Marne), est un écrivain, poète, essayiste.

02/2024

ActuaLitté

Non classé

Après l'orage

Septembre 1914. Henri de Maury est précipité au coeur de la bataille de la Marne. Ce jeune officier connait à Vitry-le-François son baptême du feu. Si la France est sauvée par ce " miracle ", Henri de Maury, lui, n'en sortira pas indemne. Après l'orage, comment se remettre et survivre, lorsque l'on a été confronté à l'horreur ? Un récit poignant sur le patriotisme, l'aveuglement et les traumatismes nés de la Grande Guerre.

04/2021

ActuaLitté

Historique

U-9

L'U-9, où quand l'improbable vient bousculer des certitudes. Septembre 1914. La Première Guerre mondiale a embrasé le monde dans un triste jeu de domino. Sur mer, la marine impériale allemande tente de s'opposer à la marine anglaise, première puissance mondiale incontestée sur toutes les mers et les océans. Dans cette guerre maritime qui voit s'affronter de titanesques cuirassés, croiseurs de bataille ou encore croiseurs cuirassés, une arme dénote quelque peu : le torpilleur submersible que l'on nomme plus généralement "sous-marin". L'arme n'est pas nouvelle, on en trouve la trace déjà dans des récits antiques, mais dans les premières heures du conflit mondial, le sous-marin - qu'il soit allemand, français ou anglais - demeure encore une machine imparfaite, malodorante, lente et faiblement armés. Que pourrait bien faire un submersible déplaçant quelques centaines de tonne contre un vaisseau de surface armé de puissants canons et dont le tonnage se compte en dizaine de milliers de tonnes ? Aux premières lueurs du 22 septembre 1914, l'improbable va ébranler les certitudes. Dans les eaux grises de la mer du Nord, le SM U9 de la Kaiserliche Marine allemande avec 26 hommes d'équipage et commandé par Otto Eduard Wediggen va envoyer par le fond trois croiseurs cuirassés anglais en moins d'une heure, infligeant à la Royal Navy l'un des plus sévères camouflets de la guerre. Pour son dernier album, Philippe Adamov (Les Eaux de Mortelune et L'Impératrice rouge) revient sur un exploit historique en compagnie de Jean-Yves Delitte.

11/2024

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté