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Sandavoy Adamoh Djelhi-Yahot

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Economie

Croissance économique sans développement en Afrique. La théorie de la croissance économique optimale

Sur 54 pays africains, un seul pays, l'Afrique du Sud a atteint l'émergence économique ! Djelhi-Yahot identifie trois types de facteurs à l'origine du déficit de développement en Afrique : - les erreurs d'ordre conceptuel (PIB) et d'interprétation ; - les facteurs externes à l'Afrique (politiques économiques de l'Occident, système économique international et système monétaire international) ; - les facteurs internes à l'Afrique qui entretiennent donc le sous-développement, de façon endogène ; d'où l'expression de "sous-développement auto-entretenu". Le sous-développement auto-entretenu en Afrique ? "oui", affirme l'éminent économiste africain qui le démontre avec une rigueur scientifique remarquable. Mais, il soutient que le sous-développement n'étant pas une fatalité, il y a possibilité d'en sortir l'Afrique beaucoup plus rapidement, pourvu que les décideurs de politiques publiques internalisent la rationalité et la rigueur économiques dans les prises de décisions, principalement dans le domaine de l'économie. A cet égard, il a élaboré une nouvelle théorie "qui prend en compte autant que possible de variables explicatives de la croissance (...), nettement plus que la théorie de la croissance économique existante ne l'a fait, pour introduire de nouvelles idées et tenir compte de comportements d'agents économiques et de variables exogènes, jusqu'ici, ignorés, qui impactent pourtant la croissance et le développement économiques dans un pays". C'est la théorie de la croissance économique optimale. Un ouvrage pour réfléchir.

11/2019

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Economie

La théorie des finances publiques optimales. Une approche gagnante pour l'Afrique

Depuis toujours, les pays collectent le maximum de ressources publiques tandis que les économistes cherchent à optimaliser la collecte des recettes fiscales sans se soucier réellement de la dépense publique. Les Etats-Unis, l'Angleterre et la France ont tenté, sans grand succès, de rationaliser la gestion des finances publiques de même que les pays de l'Afrique de l'Ouest. L'auteur propose l'optimalisation, à la fois, des ressources et des dépenses publiques, pour réaliser la production optimale des biens publics : c'est la théorie des finances publiques optimales. Les pays africains gagneraient à l'appliquer pour allouer plus rationnellement leurs ressources publiques ayant en tête l'accélération de leurs processus de développement.

12/2020

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Economie

Zones monétaires et développement économique en Afrique

Dans Zones monétaires et développement économique en Afrique, S.A. Djelhi - Yahot soutient que la formation de zones monétaires, telle que préconisée par le Traité d'Abuja, est bénéfique à l'Afrique même si les coûts auraient été moindres en formant directement la zone monétaire continentale sans passer par les zones monétaires régionales. A partir de la théorie de la zone monétaire optimale, formulée par Robert Mundell (1961) et d'autres économistes, qui énonce que les pays ont plus d'avantages à former une union monétaire ayant une monnaie unique et une politique monétaire communautaire qu'à maintenir, individuellement, leurs monnaies nationales respectives, il démontre que, mathématiquement et économiquement, cette théorie ne permet pas d'atteindre le niveau optimal de production (PIB), donc de croissance économique optimale dans un pays, mais plutôt un niveau élevé de production nationale (PIB) qui n'aurait pas été atteint en absence de la zone monétaire ; ce niveau élevé conduit - certes - à un certain niveau d'équilibre, étant donné les facteurs de production et leur combinaison, à un moment donné. " Mais, en économie, l'équilibre diffère de l'optimum, même si les deux peuvent parfois coïncider ", objecte Djelhi - Yahot. Djelhi - Yahot propose alors une nouvelle approche et parie plutôt de théorie de la zone monétaire efficiente, et assure que former des zones monétaires, puis la zone monétaire continentale africaine est un impératif, pour l'accélération du développement économique de l'Afrique, puisque, d'une part, l'existence de zone monétaire impacte, positivement et significativement, les variables explicatives de la croissance économique aussi bien en théorie que dans la réalité, et d'autre part, tous les modèles et théories du développement économique y ont donné des résultats mitigés ou désastreux. L'auteur démontre tout cela avec une aisance mathématique et une rigueur scientifique indéniables.

10/2019

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Finance internationale

La théorie de la zone monétaire mondiale

Est-il possible, voire souhaitable, de créer une zone monétaire mondiale, parce qu'elle serait bénéfi que pour tous les pays ? Selon l'auteur, tout y concourt : la théorie monétaire, la pratique (dollar américain, moyen de paiement international depuis 1944) et les faits (la globalisation). Pour l'auteur, "l'absence de monnaie commune rend l'économie mondiale moins performante" . Une politique monétaire commune dans le cadre d'une union monétaire mondiale comporterait nettement plus d'avantages que d'inconvénients aussi bien pour les économies domestiques que pour l'économie mondiale.

02/2021

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Economie politique

La zone monétaire CEDEAO. Comment la logique politique a contrarié la rationalité économique

Pourquoi la mise en circulation de l'éco, la monnaie commune, a-t-elle été différée par les chef d'Etat de la CEDEAO ? Dans ce livre, l'auteur soutient que le report de la mise en circulation de l'éco, décidé d'abord en 2020, sans précision de date, puis en juillet 2021 pour l'échéance de 2027, est basé sur des considérations politiques subjectives, antiéconomiques et contreproductives et sur des critères fragiles ou erronés. Le report a engendré et continue d'engendrer des coûts d'opportunité incalculables et retarde inutilement le développement économique de la CEDEAO, "car l'existence de la zone monétaire impacte positivement la croissance économique" , soutient l'économiste.

09/2021

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Economie

Gouvernance en Afrique. La théorie générale de la gouvernance économique

L'ouvrage de M. Djelhi-Yahot ouvre de nouvelles pistes, en matière de gouvernance, en proposant pour la première fois, dans la littérature économique, une formulation qu'il a appelée "la théorie générale de la gouvernance économique". De la constatation exacte que la monnaie (non réprimée) joue un rôle fondamental dans l'économie tel que préconisé par la théorie traditionnelle, il explique les effets dévastateurs de la politique monétaire répressive en Afrique, avant de passer en revue et récuser les différentes politiques, notamment les politiques monétaires discrétionnaire ou automatique et l'approche monétaire de la balance des paiements (et celle du FMI) et la gouvernance traditionnelle (parce que conceptuellement erronées et donc inefficaces), auxquelles il substitue la règle de Taylor. Mais il explique qu'une politique monétaire optimale basée sur cette dernière ne peut, à elle seule, engendrer une croissance optimale ; elle ne saurait donc, à elle seule, générer la bonne gouvernance économique qu'il définit comme "l'usage optimal des ressources économiques et financières à des fins de développement économique d'un pays", d'autant plus "qu'elle résulte de l'application du principe d'optimalité (Pareto) dans la collecte et l'allocation des ressources publiques et dans l'exécution des dépenses publiques d'un pays, à des fins de développement économique". L'auteur propose donc de combiner la politique monétaire optimale basée sur la règle de Taylor avec une politique fiscale optimale (courbe de Laffer et courbe de Barro) et une exécution optimale des dépenses publiques. D'où la formulation de sa théorie générale de la gouvernance économique qu'il a appelée "l'Equation de la bonne gouvernance économique". Il pense que l'application d'une telle théorie améliorerait considérablement la mauvaise gouvernance endémique dans les pays africains et leur permettrait d'amorcer un véritable progrès sur le chemin du développement économique. On peut ne pas partager certains de ses points de vue sur les problèmes dans les économies africaines. Mais la rigueur scientifique est indéniable dans son analyse.

05/2017

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