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Sanatorium

Extraits

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Littérature polonaise

Sanatorium

Une jeune Polonaise quitte la capitale pour suivre une cure thermale obligatoire en province dans un centre public. Là, il lui faut trouver sa place auprès des habitués et apprivoiser les codes d'un microcosme déroutant. C'est par un ton malicieux et un humour à toute épreuve que la curiste va déjouer les pièges et percer les secrets de ce sanatorium, où son séjour prend parfois des allures de parcours de l'absurde. Le corps, qui relie par des noeuds très variés soignants et soignés, devient vite le thème central de ce premier roman virtuose qui pose un regard ironique et subtil sur un univers singulier et méconnu.

09/2021

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Thrillers

Le sanatorium

Un huis clos haletant au décor sinistre qui rappelle le célèbre Shining de Stephen King. Le Sanatorium : vous ne voudrez pas le quitter... jusqu'à ce que vous ne le puissiez plus. Un ancien sanatorium transformé en hôtel de luxe Une femme qui disparaît lors de ses fiançailles Une tempête de neige qui coupe l'hôtel du monde Un corps mutilé Un huis clos terrifiant

10/2021

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Thrillers

Le sanatorium

Traumatisée par une affaire particulièrement brutale, l'inspectrice Elin Warner a décidé de faire une pause dans sa carrière. Lorsque son frère Isaac l'invite à célébrer ses fiançailles au Sommet, ancien sanatorium transformé en hôtel de luxe, elle accepte et le rejoint en haute montagne. Mais peu après son arrivée, Laure, la fiancée d'Isaac, disparaît. C'est alors qu'une violente tempête de neige s'abat sur Le Sommet, isolant ses pensionnaires. Le chaos et la panique prennent le dessus quand un meurtre épouvantable est commis au sein de l'hôtel. Elin n'a d'autre choix que de percer les secrets du sanatorium si elle veut démasquer le tueur et sauver Laure.

10/2022

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Littérature étrangère

Le sanatorium au croque-mort

"Trébuchant dans la paille et dans les détritus, je continuais à errer de wagon en wagon. Les portes ouvertes des compartiments oscillaient sans arrêt. Pas un seul voyageur. Enfin, je rencontrai un contrôleur dans son uniforme noir. Il s'enroulait un gros foulard autour du cou et emballait ses affaires, sa lanterne, son registre."On arrive, monsieur !" dit-il après m'avoir regardé de ses yeux complètement décolorés. Le train ralentit peu à peu sans faire de bruit, comme si la vie le quittait lentement avec le dernier souffle de vapeur. Il s'arrêta ; l'endroit était vide et silencieux, sans le moindre édifice. En descendant, l'employé m'indiqua la direction du Sanatorium." Publiés trois ans après Les Boutiques de cannelle, les récits du Sanatorium au croque-mort convoquent à nouveau, dans une ambiance de sourde étrangeté, la figure emblématique du père, le thème obsessionnel des mannequins, le contraste, si spécifique à Bruno Schulz, entre beauté et pacotille.

04/1983

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Littérature polonaise

Le sanatorium au croque-mort

"Trébuchant dans la paille et dans les détritus, je continuais à errer de wagon en wagon. Les portes ouvertes des compartiments oscillaient sans arrêt. Pas un seul voyageur. Enfin, je rencontrai un contrôleur dans son uniforme noir. Il s'enroulait un gros foulard autour du cou et emballait ses affaires, sa lanterne, son registre."On arrive, monsieur !" dit-il après m'avoir regardé de ses yeux complètement décolorés. Le train ralentit peu à peu sans faire de bruit, comme si la vie le quittait lentement avec le dernier souffle de vapeur. Il s'arrêta ; l'endroit était vide et silencieux, sans le moindre édifice. En descendant, l'employé m'indiqua la direction du Sanatorium." Publiés trois ans après Les Boutiques de cannelle, les récits du Sanatorium au croque-mort convoquent à nouveau, dans une ambiance de sourde étrangeté, la figure emblématique du père, le thème obsessionnel des mannequins, le contraste, si spécifique à Bruno Schulz, entre beauté et pacotille.

05/2001

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Littérature polonaise

Le sanatorium au croque-mort

"Trébuchant dans la paille et dans les détritus, je continuais à errer de wagon en wagon. Les portes ouvertes des compartiments oscillaient sans arrêt. Pas un seul voyageur. Enfin, je rencontrai un contrôleur dans son uniforme noir. Il s'enroulait un gros foulard autour du cou et emballait ses affaires, sa lanterne, son registre."On arrive, monsieur !" dit-il après m'avoir regardé de ses yeux complètement décolorés. Le train ralentit peu à peu sans faire de bruit, comme si la vie le quittait lentement avec le dernier souffle de vapeur. Il s'arrêta ; l'endroit était vide et silencieux, sans le moindre édifice. En descendant, l'employé m'indiqua la direction du Sanatorium." Publiés trois ans après Les Boutiques de cannelle, les récits du Sanatorium au croque-mort convoquent à nouveau, dans une ambiance de sourde étrangeté, la figure emblématique du père, le thème obsessionnel des mannequins, le contraste, si spécifique à Bruno Schulz, entre beauté et pacotille.

05/1994

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