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Sébastien Ortiz

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Littérature française (poches)

Ortiz

Anne Ortiz a 69 ans. Aujourd'hui, elle reçoit ses enfants et petits-enfants en vacances. Dans le tumulte du petit déjeuner elle est dérangée par un coup de téléphone. Au bout du fil, un vieil homme, son père, qui avait quitté sa mère alors qu'Anne était âgée de cinq ans. Ils se donnent rendez-vous deux jours plus tard dans un café ; il était porté officiellement mort depuis 40 ans. Pour la première fois, Anne Ortiz va rencontrer son père. " En découvrant ce nouvel écrivain, on ne manque pas de songer à Modiano. " Didier Pobel, " Le Dauphiné libéré "

05/1998

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Littérature française (poches)

Sébastien

Le jeune Sébastien aime le silence. Sa plus grande peur est de mourir noyé par le bruit. Mais, par échappées, les mots prennent vie : les souffrances du quotidien et l'amour de son grand-père, le seul être qui lui témoigne de l'affection. Lors d'un voyage en train, les voilà rejoints par des amis, vétérans d'Algérie. L'adolescent comprend peu à peu quelle abominable fraternité les unit. Les illusions perdues d'un enfant ont de terribles conséquences... Un roman saisissant, sobre et tout en retenue, sur l'innocence face à la laideur du monde.

10/2012

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Littérature érotique et sentim

Sébastien

Sébastien, un écrivain qui n'arrive plus à écrire. Victime de son succès, hanté par les fantômes de son passé, il noie dans l'alcool ce qui reste de sa vie. Zess, une "fille au masculin" à la crête noire, donne l'impression de savoir dessiner ce que Sébastien ne peut pas écrire. Tout semble séparer ces deux voisins de palier. Pourtant, en empruntant ensemble des chemins de leurs passés cabossés, l'improbable rencontre se produit et se transforme en relation qui pourrait s'avérer salutaire.

05/2020

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Littérature française

La solitude du bonsaï [EDITION EN GROS CARACTERES

Après trente ans d'une carrière diplomatique sédentaire sans gloire ni démérite, Pierre Tonneau, proche de la soixantaine, quitte une vie sans relief à Paris pour occuper le poste de consul général à Kyoto au Japon. Célibataire endurci, il tombe sous le charme d'une bibliothécaire souriante qu'il épouse. Après quelques années de bonheur, les Tonneau quittent le Japon pour Calcutta, la délirante métropole indienne. L'Inde déversera sur eux le fracas de son exubérance et bouleversera leur existence. Le couple aura bien du mal à résister à une cascade d'aventures calamiteuses ou rocambolesques. Un roman délicieux, drôle, épique et poétique.

01/2020

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Littérature française

Mademoiselle Coeur Solitaire

New York, Greenwich Village, début des années cinquante. Pour avoir pris trop de risques afin de rapporter des clichés sensationnels, un photographe-reporter, L. B. Jefferies (James Stewart), est cloué dans un fauteuil roulant, une jambe dans le plâtre. La canicule qui sévit à Manhattan contraint tout le monde à vivre les fenêtres grandes ouvertes. Jefferies peut ainsi épier ses voisins depuis son appartement qui donne sur une arrière-cour. Ses observations assidues l'amènent à se persuader que l'un d'entre eux a assassiné sa femme. Ses soupçons sont vite partagés par sa maîtresse, Lisa Fremont (Grace Kelly), et son infirmière, Stella (Thelma Ritter). Telle est l'intrigue de Fenêtre sur cour d'Alfred Hitchcock, la plus efficace métaphore de ce voyeurisme qui est au cour même de la démarche cinématographique - et littéraire. Or, parmi toutes les existences dont le film nous amène à percer l'intimité, l'une a toujours occupé à mes yeux un (place singulière et m'a touché plus que les autres. Il s'agit de la pauvre Mademoiselle Coeur Solitaire (" Miss Lonely Hearts "), qui compense par le rêve la vie qui lui a été refusée. Sa lutte magnifique et désespérée pour briser son absolue solitude m'a tant ému que j'aurais souhaité passer avec elle, dans le microcosme du film, bien davantage que les sept minutes du minuscule destin que Hitchcock nous donne à voir. Le présent texte a pour dessein de réparer cette injustice.

10/2005

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Littérature française

Châtelet-Lilas

"Ma perception s'affina et je finis par comprendre ce qui m'arrivait : il m'était tout simplement donné de pénétrer par effraction dans la tête de tous les passagers. Ce don, que je n'avais en aucune manière sollicité, me fut d'abord pénible au plus haut degré. Ma tête était prête à éclater de tous ces mots, de toutes ces images, de cette étourdissante diversité. La foule que je transportais vibrionnait à présent dans mon esprit et figurait la vie en excès". De Châtelet à Mairie des Lilas, le conducteur écoute. Au gré de son envie, il plonge dans les pensées des uns, partage les sensations des autres. Il connaît son parcours sur le bout des doigts, sait à quelle rue correspond chaque galerie souterraine. Il commente la vie en dessous et au-dessus de la terre, s'adonne à la philosophie et aux rêveries mythologiques, tout au long de cette ligne qui compte douze haltes - comme les travaux d'Hercule. Aussi poétique qu'inattendue, cette traversée de l'imaginaire urbain offre une vie inespérée aux personnages qui peuplent la ligne 11.

02/2021

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