La postérité du roman balzacien a été foisonnante entre les deux guerres mondiales, malgré la découverte du continent proustien, les prouesses stylistiques de Giraudoux, les acrobaties de Cocteau, la déflagration célinienne, et toute cette littérature du moi inquiet et des velléitaires chroniques, chez qui le conflit était intérieur au lieu de prendre forme, comme dans le roman du XIXe siècle, entre l’individu et la société. Par François Ouellet