Recherche

Rue de la Gaîté

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Rue de la gaité

Rue de la gaité, ce jour-là, en fin d'après-midi... une femme en chemise de nuit s'écroule sur la chaussée. Rien qu'un banal fait-divers. Derrière la chute du corps se dérobe l'effondrement secret de toute une existence. Toute sa vie le personnage a craint de choir et de déchoir, de ne pas sauver ce qu'elle prenait pour une richesse, l'apparence. Dès lors enroulement et déroulement de la trame espace-temps recoupe l'enchaînement des faits, anecdotiques ou plus conséquents qui tissent l'histoire de la famille à laquelle appartient la dame de la rue de la Gaité et donnent du sens aux raisons, à priori non visibles, de s'affaisser dans de telles circonstances. L'ensemble des événements, détails, relevés dans leurs contextes historiques, culturels, sociétaux, personnels, concentrent et consolident le tissu particulier et les ressorts psychologiques de ce récit qui n'a d'autre ambition que de prouver que rien ne commence à partir de chacun mais tient beaucoup à une mémoire profonde, irréfutable, ineffaçable : la mémoire ancestrale. Elle se transmet. Elle façonne le besoin de chacun de retenir quelque chose de ce qu'on lui lègue, et à contrario de chercher ailleurs, de se créer ou de s'inventer un héritage fabuleux, bref, de se fabriquer son roman. On s'émancipe des conformismes, on se libère de quelques principes moraux, on s'échappe par la pensée et l'action des geôles du quotidien.

11/2013

ActuaLitté

Littérature française

Rue de la Gaîté

Apprenti comédien au Cours Florent le jour, ouvreur au Théâtre Montparnasse le soir, Baptiste a sauté à pieds joints dans sa passion pour le théâtre. Il se lie à Marvin, un camarade au culot sans limite, se heurte à Sophie, qui semble ouvreuse de théâtre depuis 1789, et rencontre même son idole, Marcel André, monstre sacré de la scène, qui compte tant de Molières qu'il pourrait en faire les pieds de sa table basse... Se dévoilant sur scène pour mieux se découvrir en coulisses, Baptiste vit un rêve éveillé. Mais les projecteurs éclairent parfois ce qu'on préfère laisser dans l'ombre. Baptiste comprend vite que l'enjeu n'est pas seulement d'apprendre des techniques d'acteur, le sens du placement ou de la diction. Pour beaucoup, le théâtre est un remède. Mais un remède à quoi ? Ce premier roman du jeune comédien Axel Auriant est une déclaration d'amour aux passions, une ode à la transmission, un hommage aux idoles, un lever de rideau sur une génération qui rêve encore à la possibilité d'un ailleurs.

01/2025

ActuaLitté

Poésie

Rue, la belle amie

Clin d'oeil à Marcel Proust, Rue, la belle amie se penche sur le genre humain. Il est écrit tout en couleur et en gaieté en respectant les jeux de mots et les métaphores.

03/2023

ActuaLitté

Littérature classique

Rue Bouboulina

1967, pour toute une génération en Europe, c'est l'année des Colonels. Un coup d'Etat fomenté par une junte d'officiers supérieurs renverse le gouvernement et installe une dictature. Comme beaucoup d'autres jeunes Grecs, Maro Douka, alors étudiante et militante est arrêtée à Athènes et emprisonnée rue Bouboulina, au siège de la Sûreté générale. Elle a vingt ans. Elle écrira le récit de cette arrestation cinq ans plus tard, il ne sera publié qu'en 1974, après la chute des Colonels. Curieusement, il n'avait jamais été traduit en français. C'est chose faite avec le texte de Laurence Maire-Maison. Maro Douka a reçu en mai 2020 le Prix National grec de Littérature pour l'ensemble de son oeuvre.

03/2023

ActuaLitté

Littérature française

Au faîte de l'intolérance

Emeline De La Barrière, jeune fille issue de la grande bourgeoisie montpelliéraine, tombe follement amoureuse d'Antoine Attia, fils unique d'un modeste maçon d'origine maghrébine. Quand ils apprennent l'existence de cette liaison inconvenante, les parents d'Emeline, des conservateurs à l'esprit étriqué, sont furieux. Ils n'auront alors de cesse que de briser cette idylle. Ils n'hésiteront pas à employer les stratagèmes les plus perfides pour parvenir à leurs fins. Mais l'affaire va prendre un tour inattendu. Un épisode datant de la guerre d'Algérie et les investigations d'un commissaire de police particulièrement rusé vont révéler les côtés obscurs de ces gens fortunés qui ont pignon sur rue.

11/2022

ActuaLitté

Non classé

La Rue des Dames

1925. Cela faisait quelque temps déjà que l'on s'inquiétait pour Louise de Contrevent. L'ancienne actrice et cocotte du Président du Conseil a disparu. Alors, forcément, en haut, on s'agite, on murmure, on se lèche les babines ! C'est très agréable de trouver un cadavre dans le placard de son adversaire. Mais puisque le commissaire ne l'appelle pas, Simon s'imposera sur cette enquête comme à son habitude. L'appartement de Louise, situé square la Bruyère à Paris, semble attendre le retour de l'actrice dans une éternité tranquille que Jo Parker, une meneuse de revue noire américaine au succès légendaire, viendra troubler sans pudeur. Simon sera pourchassé par un Russe aux yeux d'aciers qu'un collier, offert à Louise par sa tsarine lâchement baignée dans de l'acide, obsède. Accompagné par le commissaire et par Jo Parker dont il essaiera de comprendre les habitudes, il suivra la trace de la cocotte jusqu'en Ardèche. Il rencontrera des enfants de la misère que la vie a abandonnés sous un petit kiosque à Aubenas, cultivera ses idées noires à cause d'une gitane qui lit trop clairement en lui et se heurtera aux habitants d'un village ardéchois qui se taisent. Et il prendra du temps pour lui. Pour écouter un perroquet qui ne parle pas assez ou trop, mais aussi pour discuter avec les habitants hauts en couleurs du square la Bruyère qui renferme dans son jardin autant de secrets que d'histoire de "galipettes" et suivra une malle dans laquelle une mère meurtrière et sa fille ont l'habitude de faire voyager quelques cadavres. Se déroulant au coeur des Années folles, basée sur des faits réels et sur l'histoire du square la Bruyère, cette nouvelle enquête de Simon offre des rebondissements et un dénouement tous sortis de l'imagination fantasque de l'auteur. On prend plaisir à retrouver l'attachante et fine équipe du quai des Orfèvres et ses personnages drôles, amateurs de bonne chère, authentiques mais cyniques nous font passer du rire aux larmes avec bonheur.

01/2021

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté