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Retour à Birkenau

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Déportation

Retour à Birkenau

Arrêtée par la Gestapo en mars 1944 à Avignon avec son père, son petit frère et son neveu, Ginette Kolinka est déportée à Birkenau : elle sera seule à en revenir, après avoir été transférée à Bergen-Belsen, Raguhn et Theresienstadt. Dans ce convoi se trouvent deux jeunes filles dont elle deviendra l'amie, Simone Jacob et Marceline Rozenberg, plus tard Simone Veil et Marceline Loridan-Ivens. Ginette Kolinka raconte ce qu'elle a vu et connu dans les camps d'extermination. Les coups, la faim, le froid. La haine. Le corps et la nudité. La cruauté. Parfois, la fraternité. La robe que lui offrit Simone et qui la sauva. Aujourd'hui, à 95 ans, dans toutes les classes de France, et à Birkenau, où elle retourne plusieurs fois par an avec des élèves, Ginette Kolinka se souvient et se demande encore comment elle a pu survivre à "ça" . Un enregistrement exceptionnel auquel Ginette Kolinka a participé en lisant les premières et les dernières pages du livre et en donnant un entretien inédit, plein de vie et de sagesse.

02/2020

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Déportation

Retour à Birkenau

"Moi-même je le raconte, je le vois, et je me dis c'est pas possible d'avoir survécu". Arrêtée par la Gestapo en mars 1944 à Avignon avec son père, son petit-frère de douze ans et son neveu, Ginette Kolinka est déportée à Auschwitz-Birkenau : elle sera seule à en revenir, après avoir été transférée à Bergen-Belsen, Raguhn et Theresienstadt. Dans ce convoi du printemps 1944 se trouvaient deux jeunes filles dont elle devint amie, plus tard : Simone Veil et Marceline Rosenberg, pas encore Loridan - Ivens. Aujourd'hui, à son tour, Ginette Kolinka raconte ce qu'elle a vu et connu dans les camps d'extermination. Ce à quoi elle a survécu. Les coups, la faim, le froid. La haine. Les mots. Le corps et la nudité. Les toilettes de ciment et de terre battue. La cruauté. Parfois, la fraternité. La robe que lui offrit Simone et qui la sauva. Que tous, nous sachions, non pas tout de ce qui fut à Birkenau, mais assez pour ne jamais oublier ; pour ne pas cesser d'y croire, même si Ginette Kolinka, à presque 94 ans, raconte en fermant les yeux et se demande encore et encore comment elle a pu survivre à "ça"...

05/2019

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Déportation

Retour à Birkenau

Arrêtée par la Gestapo en mars 1944 à Avignon avec son père, son petit frère et son neveu, Ginette Kolinka est déportée à Birkenau. Elle sera la seule à en revenir. Dans ce convoi se trouvent deux jeunes filles dont elle deviendra l'amie - Simone Jacob et Marceline Rosenberg, plus tard Simone Veil et Marceline Loridan-Ivens. Ginette Kolinka raconte ce qu'elle a vu et connu. Les coups, la faim, le froid. La haine. Le corps et la honte de la nudité. Les toilettes de ciment et de terre battue. La cruauté. Parfois, la fraternité. La robe que lui offrit Simone et qui la sauva. Aujourd'hui, dans toutes les classes de France, et à Birkenau, où elle retourne avec des élèves, Ginette Kolinka témoigne et se demande encore comment elle a pu survivre à "ça" . Une voix simple, humaine, unique. Elle. Un récit poignant du quotidien dans les camps, mais aussi de l'après, du retour. Lire. Bref, cru, bouleversant. Le Monde - L'Epoque.

03/2020

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Généralités

Sans armes et sans bagages

Engagée dans la Résistance, Louise Alcan est arrêtée le 6 décembre 1943 à Marseille. Elle est transférée à Drancy où elle retrouve son amie Stéphane Schrameck ; elles sont déportées à Auschwitz-Birkenau en février 1944. Affectée au Kommando horticole de Rajsko, Louise Alcan profite de la relative liberté de ce Kommando pour tenir son journal clandestin. Transférée ensuite à Ravensbrück, elle s'échappe lors d'une marche de la mort en avril 1945. Son témoignage, mis en forme dès son retour de déportation est un des premiers documents sur Birkenau et Ravensbrück et certainement un des plus personnels.

11/2024

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Déportation

Un présent qui s'accroche à moi

Dora a 15 ans lorsqu'elle commence à tenir son journal, début janvier 1943. Sa famille et elle viennent alors de s'installer à Pau, au plus loin des inquisitions antisémites des nazis et de Vichy. Ses écrits suivent le rythme d'une vie d'enfant où la classe et les rêveries comptent plus que la fureur de l'Histoire. Le 3 avril 1944, tout bascule : direction Birkenau, où disparaissent brutalement sa mère et sa soeur cadette. Au journal interrompu se substitue un texte brut racontant les cahots physiques et moraux d'une jeune fille confrontée à chaque instant à la mort, mais qui ne renonce jamais à l'espoir et au chant pour tenir, pour se tenir debout. Ce témoignage, unique, est accompagné des souvenirs de la vie d'"avant" et du récit du long chemin qu'il fallut parcourir au retour des camps pour affronter la vie d'"après".

02/2022

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témoignages personnels

Et tu n'es pas revenu

"J'ai vécu puisque tu voulais que je vive. Mais vécu comme je l'ai appris là-bas, en prenant les jours les uns après les autres. Il y en eut de beaux tout de même. T'écrire m'a fait du bien. En te parlant, je ne me console pas. Je détends juste ce qui m'enserre le coeur. Je voudrais fuir l'histoire du monde, du siècle, revenir à la mienne, celle de Shloïme et sa chère petite fille". Le 29 février 1944, Marceline Loridan-Ivens a quinze ans lorsqu'elle est arrêtée avec son père lors d'une rafle. Déportée à Birkenau, elle subit l'horreur des camps et parvient à survivre. Son père, lui, ne reviendra jamais d'Auschwitz. Soixante-dix ans plus tard, elle lui adresse une lettre, rédigée avec la journaliste et écrivain Judith Perrignon, où elle raconte sa captivité, son retour, sa vie d'après.

08/2016

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