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Rebecka Aldén

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Littérature étrangère

Rebecca

Une longue allée serpente entre des arbres centenaires, la brume s'accroche aux branches et, tout au bout, entre la mer et les bois sombres, un manoir majestueux : Manderley, le triomphe de Rebecca de Winter, belle, troublante, admirée de tous. Un an après sa mort, son charme noir hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse de Maxim de Winter, jeune et timide, pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ? Immortalisé au cinéma par Alfred Hitchcock, le chef-d'oeuvre de Daphné du Maurier a fasciné depuis sa parution plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Comme Les Hauts de Hurlevent ou Jane Eyre, Rebecca est devenu un des mythes de la littérature. Paru pour la première fois en France en 1940, le livre est ici présenté dans une nouvelle traduction d'Anouk Neuhoff qui restitue toute la puissance d'évocation du texte originel et en révèle la noirceur et la complexité dramatiques.

02/2015

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Policiers

Le dernier péché

Vous pensiez qu'il n'existait que sept péchés capitaux ? Voici le huitième, et il est redoutable... Brillante auteure et conférencière, Nora sait convaincre son public que le bonheur et la réussite sont à la portée de chacun, pour peu que l'on s'en donne la peine. Ce bonheur, elle a décidé de le construire après son accident, survenu dix ans plus tôt lorsqu'elle est tombée du septième étage et a miraculeusement survécu. Elle vit à présent avec son mari, Frank, qui est aussi son agent, et leurs deux enfants, dans un quartier résidentiel cossu. Une fois par an, Nora organise pour tout le voisinage une somptueuse fête où elle joue à merveille son rôle d'hôtesse. Mais ce tableau idyllique est un jour bousculé par l'arrivée de Klara, qui s'installe dans la maison d'en face. Alors que Nora s'attaque à son prochain best-seller - un roman sur les sept péchés capitaux -, Klara se montre une voisine de plus en plus présente. Charmante et gaie, elle séduit tout le monde. Seule Nora ressent un profond malaise. Petit à petit, des fragments de son passé lui reviennent et un soupçon se met à la hanter : et si cette chute, dix ans plus tôt, n'avait pas été accidentelle ?

06/2017

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Poches Littérature internation

Walden

Walden, publié en 1854, se présente comme le récit des deux années (1845-1847) que son auteur, Henry D. Thoreau, a passé à vivre seul dans les bois, près du lac Walden, dans une cabane qu'il avait construite de ses mains. Mais si ce texte relate bel et bien, saisons après saisons, cette expérience de vie autosuffisante et frugale, vivifiante aussi, passée au plus près de la nature, il ne se limite pas au simple exposé d'un art de vivre. Longuement mûri, réécrit huit fois entre 1847 et 1854, Walden est le chef-d'oeuvre littéraire de Henry D. Thoreau. Apprécié par des générations d'écrivains américains, à commencer par certains des représentants de la Beat Generation, Walden est aussi à la source de la réflexion écologiste sur l'utilisation des ressources et la préservation des espaces sauvages.

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Littérature française

Arden

L'histoire se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale en Marsovie, riche principauté d'Europe centrale. Alexandre de Rocoule, gérant du luxueux hôtel d'Arden, homme à femmes dont la gaieté a quelque chose de féroce, et Salomon Lengyel, veuf sérieux et solitaire, sont liés par une passion commune : l'opérette. Depuis 1917, ils ont écrit ensemble une quantité impressionnante de pièces en trois actes, inachevées car ils ne sont jamais d'accord sur la scène finale. Pendant qu'ils travaillent sans relâche, la bête nazie rôde autour de la Marsovie sur laquelle elle ne va pas tarder à poser la patte. Les persécutions de Juifs commencent. Le danger devient pressant pour Salomon et pour sa fille Esther, revenue auprès de son père et dont Alex tombe amoureux. Et si la composition d'une dernière opérette était le seul moyen de leur sauver la vie ? Il est rare de voir aussi harmonieusement mêlés dans un premier roman l'intelligence, l'humour et la sensualité. Les scènes se déploient dans une profusion d'images éblouissantes, de détails comiques ou touchants, tandis que les rebondissements ne manquent pas dans le livret sanglant qui se joue en 1944 en Europe centrale.

08/2013

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Littérature anglo-saxonne

Walden

"Je suis parti dans les bois parce que je désirais vivre de manière réfléchie, affronter seulement les faits essentiels de la vie, voir si je ne pouvais pas apprendre ce qu'elle avait à m'enseigner, et non pas découvrir à l'heure de ma mort que je n'avais pas vécu. Je ne désirais pas vivre ce qui n'était pas une vie, car la vie est très précieuse ; je ne désirais pas davantage cultiver la résignation, à moins que ce ne fût absolument nécessaire. Je désirais vivre à fond, sucer toute la moelle de la vie, vivre avec tant de résolution spartiate que tout ce qui n'était pas la vie serait mis en déroute".

10/2023

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Littérature française

Aden

Aden. Aden Seliani est entré par effraction dans la mémoire d'un cerveau informatique. Il n'en sortira qu'au prix d'un voyage vers lui-même, longtemps différé. Entre Paris, où il vit, New York et la banlieue de son enfance, Villeneuve-Saint-Georges, trois jours et trois nuits d'allers et retours urbains anarchiques, qui sont aussi un déplacement entre l'histoire de l'Europe contemporaine et sa propre histoire de fils d'immigrés, pleines du bruit des guerres, dans le nuage atomique du siècle. Il marche, il prend des métros, des trains de banlieue, croise des êtres aussi divisés que lui, prisonniers des frontières intérieures et orphelins de la mémoire : Iana, sa mère mourante, et son mari Otar ; Owen l'Américain ; Kerin, l'Irlandaise ; Li Song et son père ; et le professeur du collège qui rôde dans la gare... Mais il n'y a d'autre ailleurs à espérer que nous-mêmes. A travers le roman de Aden Seliani, cet homme "qui a atrocement mal et oublie chaque jour de s'en souvenir", Anne-Marie Garat nous donne un livre d'une pénétration et d'une force singulières sur la condition contemporaine. Comment, cahoté par l'histoire, privé un peu plus chaque jour de repères et de véritable langage, s'adopter soi-même pour pouvoir à nouveau partager ?

12/1992

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