Raphael Montes

On connaît les plus célèbres titres de cette fascinante gueule, Raphaël. Après l’énorme carton de son 3e album, Caravane, il évolue vers des productions plus exigeantes. Son beau visage gagne en distinction, et ce touche-à-tout rejoignait son écrivain de père avec un premier recueil de nouvelles, Retourner à la mer. Cinq ans plus tard nous parvient son premier roman, Avalanche.

Quatre consonnes et trois voyelles, peut-être, mais dans cette histoire, le prénom de Raphaël - Enthoven - sonne comme un vilain pain. Le livre, L'oligarchie des incapables, qui s'était fait remarqué pour les propos prêtés à Jean-François Copé, vient d'en remettre une couche. Après les minables à 5000 €, maintenant, le jeu d'influcences...  

Pas simple de nommer un personnage qui va supporter le poids d'un roman. Le plus simple, pour ne pas froisser un quidam dont on emprunterait impunément le nom reste d'utiliser le sien. Non ?

Meltzland s'inscrit dans l'egotrip du romancier Raphaël Meltz. Par egotrip, on entend bien sûr délire sur soi avec soi dans les rôles principaux et narratifs et ainsi de suite. C'est une histoire, mais surtout un jeu, où le lecteur-spectateur va devoir trouver sa place.

Mais y'en a-t-il assez pour lui et Raphaël Meltz, le personnage ? Meltzland, c'est notre dernière critique et on vous dira tout. Du moins tout ce que l'on peut en dire.

Maintenant de là à vous expliquer pourquoi j'ai choisi une framboise pour illustration... Je sais pas, le rouge peut-être.

Raphaël Cardetti : 'la musique ? Elle rythme mon écriture.'

Dès lors qu’une affaire de meurtre est rapportée aux autorités, sa résolution se change en tâche collective. Raphaël Nedilko, qui souhaita devenir prêtre et s’engage comme enquêteur de la PJ (Police Judiciaire), sait quel est le prix de cette responsabilité. Avec son autobiographie L’Obstiné (co-écrit avec Catherine Siguret, StudioFact), il livre un portrait à charge sur son institution et témoigne de l’impossibilité d’oublier les victimes et leurs familles. Entretien avec un idéaliste acharné.

La Grande Confrontation - Comment Poutine fait la guerre à nos démocraties, de Raphaël Glucksmann est le lauréat du Prix Jean Daniel 2023. Le Prix Jean Daniel, du nom du fondateur du Nouvel Observateur, récompense un ouvrage qui réconcilie le journalisme et la littérature. 

Diffusée sur Arte, l’émission hebdomadaire Philosophie prend une nouvelle tournure. C’est avec deux invités que Raphaël Enthoven abordera désormais, dans son magazine, un thème qui suscite le débat dans la société. Les trois prochains rendez-vous auront lieu en février.

À l’occasion des cinquante ans du Magazine Littéraire, son propriétaire Claude Perdriel décide de remanier le journal pour en faire un « nouveau ». À la tête de ce Nouveau Magazine Littéraire consacré aux Idées, aux sciences humaines, à la philosophie et à la littérature? Le journaliste essayiste Raphaël Glucksmann. 

L’œuvre d’art en tant que forme

La semaine «prix-cieuse» pour les auteurs et leurs maisons d’édition se poursuit : c’est en effet au tour du Flore de remettre sa distinction. Depuis 1994, le prix offre un chèque de 6100 € et un verre de Pouilly, gravé au nom du lauréat, et offert tout une année durant. 

BONNES FEUILLES - En vingt-quatre chapitres, raconter une vie. Vingt-quatre chapitres comme les vingt-quatre images qui font chaque seconde d’un film. Vingt-quatre chapitres pour tenter de saisir la vérité : que reste-t-il de ce qui n’est plus là ? Que connaît-on de ce qu’on a vu sans le vivre ? Que faire, aujourd’hui, de tant d’images ? 24 fois la vérité, de Raphaël Meltz, raconte avec sensibilité et une intelligence remarquable la vie de deux hommes, traversés par le XXème siècle et ses questionnements.

Cet article fait suite à celui du 14 juin sur Eugène Müntz. Après avoir replacé, selon sa méthode, l’activité artistique comme un facteur central de compréhension de la civilisation de la renaissance, tout en se livrant à un examen documentaire des premières années de Raphaël, Eugène Müntz nous accompagne dans le développement du jeune peintre, fraîchement sorti de son apprentissage dans l’atelier du Pérugin pour partir à la conquête de Florence.

Raphaël Freida est né le 26 mai 1877 à Digne. De 1892 à 1899, il étudie à l’École nationale des Beaux-Arts de Lyon et monte ensuite à Paris. En 1909 commence sa carrière d’illustrateur avec une édition de luxe des Poèmes barbares de Lecomte de Lisle par l’éditeur Romagnol qui ne sera publiée qu’en 1919.

Le premier rapporteur de la mission Lescure, Raphaël Keller vient officiellement de rejoindre le ministère du Redressement productif. Le fonctionnaire du ministère de la Culture sera en charge des industries culturelles et c'est désormais aux côtés d'Arnaud Montebourg qu'on le retrouvera.

Après un premier recueil de nouvelles qui lui valut le Goncourt de la nouvelle, le chanteur Raphaël, devenu Raphaël Haroche en a publié un second en septembre 2021, Une éclipse. L'auteur de Caravane retrouvera encore les librairies, mais cette fois-ci avec un premier roman, l'Avalanche, qui paraîtra chez Gallimard le 5 janvier prochain. Visiblement, celui qui a sorti neuf albums dans sa carrière, s'inscrit à présent résolument dans la littérature.

Chaque mois, des personnalités ultramarines se livrent sur leur parcours, leur construction et sur ce qui les guide au quotidien. Cécile Baquey, journaliste à la rédaction du pôle Outre-mer de France Télévisions, a accueilli les écrivains Raphaël Confiant et Dany Laferrière.

La programmation d'avril s'achève à la maison de la poésie, et deux programmations seront à découvrir ces prochains jours : le chanteur Raphaël, pour une carte blanche Musique et littérature, et en duo, Olivier Cadiot et Gisèle Sapiro, qui présenteront une approche thématique, Fiction littéraire contre storytelling. 

Le chanteur, auteur-compositeur et écrivain Raphaël, lauréat du Prix Goncourt de la nouvelle 2017 pour Retourner à la mer (Gallimard), sera le président du jury de l'édition 2018 du Grand Prix Poésie RATP. Les amateurs pourront partager leur texte sur un site dédié à partir du 14 mars prochain, et peut-être voir leur poème publié dans un recueil édité en partenariat avec Gallimard.

AVANT-PARUTION – Adaptation BD de Roland Monpierre du célèbre roman Le Gouverneur des dés de Raphaël Confiant. Évocation d’une Martinique des années 1950-60 encore vibrante de ses traditions ancestrales et originalement écrit en créole, ce roman, traduit en français par Gerry L’Étang, met en scène un personnage hors du commun : Rosalien Saint-Victor, entrepreneur en bâtiment, joueur de dés professionnel, amateur de combats de coqs et polygame assumé.

Il avait décidé de prolonger sa carrière dans l’aventure des éditions Ring, mais Raphaël Sorin, éditeur historique, et directeur de collection, laissera surtout une carrière grandiose. Il aura traversé l’édition française, de Seuil à Albin Michel, en passant par Flammarion ou Fayard. C’est aussi lui qui mettra le pied à l’étrier d’un certain Michel Houellebecq, publiant deux romans de l’écrivain.

Le décès de l’éditeur Raphaël Sorin a frappé toute l’industrie du livre : à l’âge de 78 ans, il aura offert aux lecteurs des auteurs monstrueux, pas toujours commodes, d’ailleurs. Si personne n’a oublié la séquence historique d’Apostrophes, où Charles Bukowski ivre se fait houspiller par Bernard Pivot, l’apparition de Raphaël Sorin, elle, n’avait pas marqué. Et pourtant…

Raphaël Confiant, lauréat du prix littéraire 2010 de l'AFD

Aujourd'hui et sur le week-end du 3 et 4 février, la Ville de Saint-Raphaël et la Librairie Charlemagne organisent une nouvelle édition de Livres en fête. Au programme : des rencontres avec des auteurs et autrices, et des activités, ateliers et spectacles ouverts pour petits et grands.

Ma Vie de bébé de Rachael Hale

À la 1ère page, l'émission littéraire produite par le pôle outre-mer de France Télévisions et dédiée aux écrivains et auteurs ultramarins, présente son programme de rentrée, avec les auteurs invités pour le mois d'octobre. Commerce d'armes, passion baudelairienne et légende de la poésie attendent les lecteurs...

Sous son imposante reliure de basane noire, c’est un intimidant in-quarto de plus de sept cent pages ; sur le plat figure un lourd médaillon de cuivre doré légendé Raphael Sanctius, représentant en buste le profil d’un homme jeune, aux cheveux longs, coiffé d’une barrette aux revers élégants.

A l’abri de cette présentation austère, dorment en sûreté, sous les serpentes qui craquent encore sous le doigt, de riches illustrations. Le trésor des notes critiques, le précieux catalogue des œuvres et la substance d’un texte éloquent font à ce livre un fermoir invisible dont seules la curiosité du savant et l’intrépidité de l’érudit possèdent la clef. C’est un livre réservé aux études profondes et au calme des bibliothèques, parlant à voix basse dans le silence des lampes. Le temps venu, on en soulève la lourde couverture comme on pousse la porte d’un ami qu’on ne se savait pas avoir.

Pour la promotion de son nouveau roman, le Bonheur commence maintenant, qui doit sortir le 27 mars, Thomas Raphaël a choisi l'originalité. On trouve sur YouTube ainsi que sur son

BONNES FEUILLES - Roman policier procédural au plus près du travail de terrain, questionnant le lien entre crime et maladie mentale, mais aussi l’usage des armes au sein de la police... Claire Raphaël pose plus d'une question, avec S'ils n'étaient pas si fous.