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Qui a tué mon père

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Comment j'ai tué mon père

"Je ne savais pas qu'on tuerait mon père. Aucun enfant ne peut imaginer une chose pareille. Mais ça arrive. J'ai encore du mal à croire qu'à peine trente-cinq grammes d'acier et un gramme de poudre aient pu détruire une famille. Je l'atteste pourtant. Ils ont détruit la mienne". A onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus jamais comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants dans une somptueuse villa entourée de végétation luxuriante, est soudain obligée de quitter l'enfance. Comment devenir adulte lorsque la violence a terrassé l'innocence ? Comment parler à sa mère, qui doit élever seule ses cinq enfants ? Loin de la plainte et de la lamentation, l'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs d'enfant pour affronter ses traumatismes et ceux de ses frères. Chapitre après chapitre lui revient l'odeur capiteuse du manguier qui trônait dans son jardin, le crépitement des galettes de maïs de sa mère, la cabane aux longues branches construite par son père, transformant le chagrin en force, la reconstruction et la résilience en un cri universel. Porté par une langue à la fois sobre et sensuelle, "Comment j'ai tué mon père" se lit en un seul souffle et laisse le lecteur sans voix.

10/2022

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Comment j'ai tué mon père

Lorsque le chagrin devient une force et la reconstruction un cri universel. A onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus jamais comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants dans une somptueuse villa entourée de végétation luxuriante, est soudain obligée de quitter l'enfance. Comment devenir adulte lorsque la violence a terrassé l'innocence ? Comment parler à sa mère, qui doit élever seule ses cinq enfants ? Loin de la plainte et de la lamentation, l'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs pour affronter ses traumatismes et ceux de ses frères.

02/2024

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Guerre d'Algérie

Mon père, appelé en Algérie

Bertrand Tillier propose une approche à la fois intime et réflexive de la guerre d'Algérie. Il se fonde sur les photos prises par son père, appelé du contingent en Algérie en 1962 et le récit familial. L'historien met en tension la mémoire individuelle et collective - refoulée - de l'expérience de guerre, exprimée ou tue dans la sphère intime. . L'auteur du texte de ce livre est le fils de l'auteur des photographies. Historien des images, Bertrand Tillier propose pour ce nouvel opus de la collection Format passeport une approche à la fois intime (ce sont ses propres archives) et plus réflexive et générale sur la guerre d'Algérie. Il se fonde sur les photographies prises par son père, appelé du contingent en Algérie en 1962 et le récit familial. L'historien met en tension la mémoire individuelle exprimée ou tue dans la sphère intime et la mémoire refoulée de l'expérience de guerre. Les photos envoyées à leurs proches par les jeunes appelés, photographes amateurs pour beaucoup d'entre eux, se conforment à une certaine mise en scène, puisque prises au piège d'un discours précis, national, officiel et médiatique. Elles donnent à voir une réalité choisie, ciblée, lisse, écran à la guerre. Néanmoins, ces photographies, produites dans un contexte de guerre deviennent en quelque sorte témoignage de l'indicible car vecteurs de " moments de glissement et de débordement où les sentiments, les objets, les expressions du visage échappent d'emblée à toute normalisation ". Remplaçant les mots non dits, elles permettent une transmission d'un passé aux générations suivantes : " Chaque groupe porteur d'une mémoire se dirige vers le miroir qui racontera son histoire " (Benjamin Stora). La valeur des photos des appelés du contingent réside dans ce pouvoir de transmission ; elles constituent un support pour un travail de mémoire et de reconstitution, aussi partiel soit-il, tentant de rompre le silence ; regarder ces photos est une " modalité de communication dans les familles " (Raphaëlle Branche). Retrouvant les photos de son père dans une pochette, Bertrand Tillier, historien des images, met ainsi en lumière le rôle des générations postérieures dans la construction de la mémoire familiale. Grâce à la curiosité d'un fils historien pour les photographies de son père, ce texte dévoile comment, derrière l'objet photographique témoin d'une histoire dans l'Histoire, se lisent des souvenirs, un passé, une mémoire personnelle, familiale mais aussi commune et collective.

03/2023

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Thrillers

Mon coeur a déménagé

La mort d'une mère, la quête d'une fille, une vengeance implacable. "Papa a tué maman." ; Rouen, avril 1983. Ophélie a – presque – tout vu, du haut de ses sept ans. Mais son père n'est pas le seul coupable. Un autre homme aurait pu sauver sa mère. Dès lors, Ophélie n'aura plus qu'un but : rassembler les pièces du puzzle qui la mèneront jusqu'à la vérité. Et, patiemment, accomplir sa vengeance... Enfant placée en foyer, collégienne rebelle, étudiante évoluant sous une fausse identité, chaque étape de la vie d'Ophélie sera marquée par sa quête obsessionnelle et bouleversante.

04/2024

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CD K7 Littérature

Mon coeur a déménagé

"Papa a tué maman." Rouen, avril 1983. Ophélie a - presque - tout vu, du haut de ses sept ans. Mais son père n'est pas le seul coupable. Un autre homme aurait pu sauver sa mère. Dès lors, Ophélie n'aura plus qu'un but : retrouver les témoins, rassembler les pièces du puzzle qui la mèneront jusqu'à la vérité. Et, patiemment, accomplir sa vengeance... Enfant placée en foyer, collégienne rebelle, étudiante évoluant sous une fausse identité : chaque étape de la vie d'Ophélie sera marquée par sa quête obsessionnelle et bouleversante. Dans une intrigue qui mêle roman d'amour et d'amitié, récit initiatique et manipulations, Michel Bussi dessine aussi une fresque sociale inédite des années 1990.

03/2024

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Thrillers

Mon coeur a déménagé

La mort d'une mère La quête d'une fille Une vengeance implacable "Papa a tué maman. " Rouen, avril 1983. Ophélie a - presque - tout vu, du haut de ses sept ans. Mais son père n'est pas le seul coupable. Un autre homme aurait pu sauver sa mère. Dès lors, Ophélie n'aura plus qu'un but : retrouver les témoins, rassembler les pièces du puzzle qui la mèneront jusqu'à la vérité. Et, patiemment, accomplir sa vengeance... Enfant placée en foyer, collégienne rebelle, étudiante évoluant sous une fausse identité, chaque étape de la vie d'Ophélie sera marquée par sa quête obsessionnelle et bouleversante. Dans une intrigue qui mêle roman d'amour et d'amitiés, récit initiatique et manipulations, Michel Bussi dessine aussi une fresque sociale inédite des années 1990.

01/2024

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