En son temps, Nicolas Sarkozy avait estimé, peu après avoir augmenté le taux de TVA sur les livres, que « dans les produits de première nécessité, il y a l'eau, la nourriture, mais aussi la culture ». Glorieuse saillie présidentielle, qu'Aurélie Filipetti avait gentiment épinglée à son tableau de chasse. Appelant ses fidèles à se retrouver le 30 mai pour le lancement des Républicains, le nouveau nom de l'ex-UMP, Nicolas Sarkozy s'essuie de nouveau les pieds sur la littérature. Laquelle commence à s'agacer de servir de paillasson.