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Prendre corps

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Prendre corps, dire le corps, penser le corps

Que représente le corps dans le monde hispanique contemporain ? Contrôlé voire anéanti ou effacé par des régimes totalitaires, libéré jusqu'à l'excès par la fin de la censure, enjeu politique ou arme de communication, objet de préoccupations scientifiques ou sociales (pour le soigner, le reconstruire, le rajeunir, le modifier), le corps peut-il encore porter l'identité individuelle ou la mémoire collective ? Avec pour objets d'études le cinéma, la vidéo, la littérature, les arts visuels ou le flamenco, les vingt-deux contributions de ce volume, regroupées en cinq parties : "Le corps et la norme" , "Corps en construction/corps en destruction" , "Corps et identité nationale" , "Corps et genres artistiques" et "Le corps à l'avant-garde" , proposent de réfléchir à ces questionnements et nous montrent que, du début du XXe siècle à nos jours, sous le regard des artistes, le corps n'a cessé de créer le trouble et d'interroger notre rapport aux genres, aux modèles, les limites de notre tolérance et nos liens au vivant.

01/2021

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sociologie du sport

Rendre les coups

Le ballet des gants, le bruit sourd des coups, les regards fixes, la sueur. Des cités ouvrières aux quartiers populaires, Selim Derkaoui nous entraîne sur le ring à la rencontre de celles et ceux qui pratiquent le noble art. Outil d'autodéfense, exutoire, la boxe a historiquement été un puissant instrument d'émancipation pour les classes laborieuses. Sport des "miséreux" , largement investi par les héritiers et héritières des immigrations, elle attire désormais d'autres publics, des groupuscules d'extrême droite aux jeunes cadres dynamiques. Récupérée par le système marchand, porteuse de valeurs parfois trompeuses, elle a également été instrumentalisée par l'Etat pour "canaliser la violence" suite aux révoltes des banlieues. Mêlant récit personnel et enquête journalistique, Rendre les coups se lit comme un hommage à une bo xe populaire, inclusive et anticapitaliste. Une boxe au service des combats qu'on mène à plusieurs.

10/2023

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Histoire de l'art - Guides

Prendre soin

Nous étions sidérés : la pandémie de la Covid-19 avait monopolisé nos existences, nos relations, nos espaces. Elle réquisitionnait nos pensées, nos corps, nos institutions. L'hôpital, le musée et l'université traversaient cette épidémie en se réorganisant pour trouver de nouvelles façons d'exister dans un espace-temps incertain. Dans ce contexte, célébrer le bicentenaire de la naissance de Louis Pasteur (1822-2022) offrait l'occasion de suivre le fil qui mène des découvertes microbiologiques d'un chimiste à celles du corona-virus, non seulement pour ressaisir une histoire scientifique, mais plus fondamentalement pour mieux comprendre comment le visible et l'invisible tissent ensemble le monde symbiotique de nos existences. L'exposition "Prendre soin", dont ce livre est la trace et le prolongement, propose de renouer visible et invisible, science et sollicitude, art et médecine, pour comprendre comment toutes ces dimensions convergent vers un care, un soin ouvert aux relations multiples. Elle met en scène ces convergences et ouvre "un moment du soin". Frédéric Worms nomme ainsi ce nouveau cadre interprétatif qui revisite notre monde et notre temps à partir des choses concrètes, des corps et des personnes, tout en les éclairant d'une intelligence et d'une attention ouvertes à la vulnérabilité constitutive de l'existence.

10/2022

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Prendre soin

Vanawine Sylviery est étudiante en médecine et note régulièrement avec humour et inquiétude ce qui se noue dans les services hospitaliers qu'elle fréquente, d'abord comme jeune débutante, puis comme externe, puis comme interne. Noeuds et liens. Avec les patients, avec la hiérarchie, avec les autres médecins en formation. Son regard porte une critique fine sur ce monde hospitalier codé au risque de l'inhumanité. Il porte aussi un regard sur ce qui, au-delà du corps malade, s'apprend là sur la vie, l'amour, la mort.

04/2021

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Littérature française

Prendre son souffle

Anaïs aurait dû écouter Eden et s'enfuir. Mais quand on finit par trouver l'amour, le vrai – celui que tous traquentde bar en bar, celui dont on rêve au fond d'un lit froid –, il devient difficile d'y renoncer au nom d'un sombreprésage d'avenir. Eden devient lentement prisonnier de son corps, Anaïs de cet amour plus grand que naturequ'elle ne sait réprimer.Que faire d'autre alors que prendre son souffle et plonger ? Un roman lumineux, d'une beauté sublime, tant dansl'histoire que dans l'écriture. Une histoire terriblement humaine Une lecture dont on ne sort pas indemne Un amour absolu qui s'étale sur 15 années, racontésans lourdeurs et sans précipitations Rédigé sous la forme d'une longue lettre adressée àson homme, la narratrice nous donne une immersionpoignante dans le quotidien d'une amoureuse qui sefait peu à peu aidante naturelle, sans l'avoir choisi Une grande question sous-tend le roman, en filigrane : est-il possible de garder l'amour vivant lorsque le corpsn'est plus qu'un poids dans l'équation ? Une finale qui éblouira et marquera le lecteur L'AUTRICEGeneviève Jannelle a publié La juche, Odorama, Pleine de toi et Prendre son souffle, des histoires oscillanttoutes entre " tortueuses " et " tordues ". Elle travaille dans le domaine de la publicité, où elle est connuepour ses idées, certes, mais surtout pour son imposante collection d'escarpins et ses 10 km de joggingà l'heure du déjeuner.

03/2024

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Corps à corps

Pendant que Bond subit un examen médical, il relate l'histoire de sa dernière aventure au soignant. Chaque coupure, ecchymose et os brisé est lié à un événement spécifique de sa mission. Une connexion s'établit alors entre deux protagonistes qui ont des objectifs pourtant bien différents : l'un tente de sauver des vies, l'autre de les prendre. James Bond, icône de la pop-culture, trouve ici une adaptation en BD à sa mesure. Ce volume reprend les six palpitants épisodes de la mini-série James Bond écrite par Ales Kot (Bloodborne et Suicide Squad) en compagnie de cinq dessinateurs : Luca Casalanguida, Antonio Fuso, Rapha Lobosco, Eoin Marron, Hayden Sherman.

11/2021

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