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Pour en finir avec Crohn

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Pour en finir avec Crohn

Diagnostiquée Crohn à l'âge de 18 ans, Jeanne Deumier vous révèle comment elle a réussi à guérir d'une maladie inflammatoire chronique incurable, qui touche 250000 Français. En changeant sa manière de se nourrir et de vivre, elle est parvenue à transformer son diagnostic, sans pilule miracle ni méthode improbable. Elle partage avec vous ses conseils, ses recettes, sa philosophie pour vous aider à rvotre équilibre de vie et à améliorer votre santé.

05/2021

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Pour en finir avec Crohn

"Diagnostiquée Crohn à L'âge de 18 ans, étiquetée au rang des patients atteints d'une maladie inflammatoire chronique incurable, j'ai finalement guéri. Sans pilule miracle ni méthode improbable. Plutôt en décidant de m'écouter, et surtout en arrêtant de me mentir. En changeant le contenu de mon assiette et en acceptant de remettre en question mon mode de vie, j'ai bénéficié de la plus grande et la plus belle leçon : nous sommes acteurs de notre santé. Ce livre témoigne d'une véritable réconciliation avec le corps. Oui, on peut rebâtir son équilibre : par l'alimentation, mais aussi et surtout par un profond désir de reprendre le contrôle de sa vie, pour aller mieux, pour de bon. Car croyez-moi, la maladie peut être l'événement qui révèle bien plus qu'il ne prive. Il peut en découler la plus belle des victoires, et le goût de La guérison".

09/2019

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Histoire du cinéma

Le royaume de leurs rêves

Ce livre est l'histoire d'un paradoxe. Hollywood, qui a incarné les États-Unis au point d'être considéré aujourd'hui par certains comme le vecteur principal de l'impérialisme culturel américain, a été fondé dans les années 20 par des immigrants de fraîche date qui, pour certains, parlaient un anglais approximatif : les frères Warner, Carl Laemmle, William Fox, Harry Cohn, Samuel Goldwyn, Louis B. Mayer, Irving Thalberg, Adolph Zukor et d'autres étaient nés dans des communautés juives d'Europe centrale marquées par la misère et les pogroms, mais habitées par une culture vivace et pleine d'humour. Souvent, c'est un passage dans la confection ou la fourrure sur la côte Est des États-Unis qui leur apporta ce qu'on ne peut appeler qu'un sens inné du marketing, une sensibilité particulière aux goûts et aux couleurs de cette Amérique qui les accueillait avec une certaine méfiance. Sentant avant tout le monde que la société de consommation naissante devait se nourrir aussi de rêves et que ces rêves, sans doute, permettraient aux gens de mieux surmonter les crises du système, ils poussèrent jusqu'en Californie, firent main basse sur les infrastructures artisanales du cinéma muet et bâtirent des empires : Twentieth-Century Fox, Columbia, MGM, Universal... En même temps, ils construisaient leur Amérique, et eurent l'audace de forger leur propre conception du rêve américain : celui d'un pays plus accueillant, plus tolérant, plus juste et plus optimiste qu'il ne l'était vraiment. Cette vision, véhiculée par leurs films, fut tellement forte qu'elle se diffusa dans la culture américaine, contribua à la définir et finit même, comble du paradoxe, par l'incarner aux yeux du monde. C'est l'histoire de ces aventuriers improbables devenus des géants et parfois des monstres, de leurs origines et de leur métamorphose, qui nous est contée par Neal Gabler : une histoire rocambolesque, pleine de bruit et de fureur, mais aussi de moments cocasses et émouvants qui les a fait entrer dans la légende.

02/2005

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