J’ai lu cet été, mon cher Hervé, un très bon roman de Claude Mauriac. Son père, François, est immortalisé (1933) et nobélisé (1952), mais lui, Claude, pourrait bien peu à peu s’ensabler. Pourtant Le dîner en ville est une très belle réussite : c’est un roman qui décrit le parisianisme mondain que l’auteur a beaucoup pratiqué.