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Philippe Torreton

Extraits

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Théâtre - Essais

Lettre à un jeune comédien

"Imagine toi riche de possibilités insoupçonnées. Rêve haut et fort, place les barres sur des hauteurs venteuses, fais-toi peur, ne te limite pas, explore et tremble". Philippe Torreton, dans une longue lettre émouvante et poétique, livre sa passion pour le théâtre. Il parle de ces sentiers que le futur comédien aura à défricher, raconte le trac, les découragements, les joies et les doutes, la solitude, la ténacité mais aussi le goût pour l'inattendu et l'éphémère. Un cheminement comme une longue quête de connaissance de soi grâce aux autres. Il nous dit l'importance du texte, remet en cause la notion même de personnage et invite à nous concentrer sur "l'impérieux souci de dire quelque chose à quelqu'un" . Il évoque ses rencontres avec comédiens et metteurs en scène pour mieux partager son expérience. Voici une déclaration d'amour au métier d'acteur, une formidable transmission autant qu'une leçon de vie généreuse et inspirante pour nous tous.

10/2022

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Mémé

"Mémé, c'est ma mémé, même si ça ne se dit plus. "M Mémé me manque. Ses silences, ses mots simples au Scrabble, sa maison enfouie sous les pommiers et son buffet d'avant-guerre. Ce texte est subjectif, partial, amoureux, ce n'est pas une enquête, ce n'est pas une biographie, c'est ce que j'ai vu, compris ou pas, ce que j'ai perdu et voulu retenir, une dernière fois. Mémé, c'est mon regard de gamin qui ne veut pas passer à autre chose." Voici le portrait qu'à plus de quarante ans Philippe Torreton fait de celle qui fut le personnage central de son enfance.

10/2014

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Mémé

«Mémé, c’est ma mémé, même si ça ne se dit plus. Mémé me manque. Ses silences, ses mots simples au Scrabble, sa maison enfouie sous les pommiers et son buffet d’avant-guerre. […] Mémé, c’est mon regard de gamin qui ne veut pas passer à autre chose.» Un portrait tendre et nostalgique, brossé par Philippe Torreton, construit par petites touches comme la mémoire, où chacun retrouvera sa grand-mère ou celle dont il a rêvé. Un véritable best-seller.

01/2015

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Une certaine raison de vivre

"J'ai toujours envie de te gifler... Continue à écrire et on va continuer à faire l'amour puisqu'il n'y a que ça qui marche entre nous. Tu vas signer la paperasse de mon père... Je vais avoir une autre vie, Jean, mais, dans cette autre vie il y aura un tiroir secret, et dans ce tiroir il y aura toi. Et si un jour tu as quelque chose à me proposer, dis le-moi. Ne regarde pas mes larmes, elles ne veulent pas dire grand chose, écris, mon Jean, surtout n'arrête pas, j'aime que tu écrives... Je m'offrirai certaines de tes phrases, même si elles ne sont pas pour moi. Je suis jalouse de cette guerre qui te garde pour elle, qui te fait marcher seul je ne sais où... sans moi... sans ta femme... Je pense que je suis la seule veuve de guerre dont le mari est vivant et devant ses yeux". Du grand massacre de 14-18, Jean Fournier revient indemne physiquement mais broyé de l'intérieur. Démobilisé, il fait tout ce qu'il peut pour y croire, croire qu'un avenir est encore possible après cinq années à voir et entendre ce que des yeux et des oreilles de vingt ans ne devraient pas avoir à saisir. Il retrouve son emploi discret dans une banque et le destin lui fait grimper les échelons par la grâce d'un amour fol : celui d'Alice. Mais Alice, malgré ses efforts, le voit rêver de hauteurs qu'elle ne connaît pas, celles des cimes où un berger lui a, un jour, offert un autre regard sur les hommes et sur la vie.

08/2021

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Littérature française

Une certaine raison de vivre

" J'ai toujours envie de te gifler... Continue à écrire et on va continuer à faire l'amour puisqu'il n'y a que ça qui marche entre nous. Tu vas signer la paperasse de mon père... Je vais avoir une autre vie, Jean, mais, dans cette autre vie il y aura un tiroir secret, et dans ce tiroir il y aura toi. Et si un jour tu as quelque chose à me proposer, dis le-moi. Ne regarde pas mes larmes, elles ne veulent pas dire grand chose, écris, mon Jean, surtout n'arrête pas, j'aime que tu écrives... Je m'offrirai certaines de tes phrases, même si elles ne sont pas pour moi. Je suis jalouse de cette guerre qui te garde pour elle, qui te fait marcher seul je ne sais où... sans moi... sans ta femme... Je pense que je suis la seule veuve de guerre dont le mari est vivant et devant ses yeux. " Du grand massacre de 14-18, Jean Fournier revient indemne physiquement mais broyé de l'intérieur. Démobilisé, il fait tout ce qu'il peut pour y croire, croire qu'un avenir est encore possible après cinq années à voir et entendre ce que des yeux et des oreilles de vingt ans ne devraient pas avoir à saisir. Il retrouve son emploi discret dans une banque et le destin lui fait grimper les échelons par la grâce d'un amour fol : celui d'Alice. Mais Alice, malgré ses efforts, le voit rêver de hauteurs qu'elle ne connaît pas, celles des cimes où un berger lui a, un jour, offert un autre regard sur les hommes et sur la vie.

09/2022

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Littérature française

Mémé

Voici le portrait qu'à plus de quarante ans Philippe Torreton fait de celle qui fut le personnage central de son enfance, un portrait tendre et nostalgique, construit par petites touches comme la mémoire, où chacun retrouvera sa grand-mère ou celle dont il a rêvé.

01/2014

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