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Philippe Girard

Dossiers

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Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

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Dossier

Les Forêts d'Opale : un monde à libérer

Créée en janvier 2000 dans Lanfeust Mag, la série Les Forêts d’Opale fut portée par Christophe Arleston avec les dessins de Philippe Pellet. Dans ce monde d’heroic fantasy, les forêts recouvrent l’ensemble des territoires explorés. Une fable écologique… ou l’histoire d’un destin ?

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Dossier

Rentrée littéraire 2022 : huit romans détachés du peloton

Dans le cadre d'une tournée inédite de présentation de leur rentrée littéraire, quatre éditeurs – Philippe Rey, Le Tripode, Le Passage et Bruit du Monde – vont à la rencontre de 250 libraires à travers la France. En avant première, ils nous proposent de découvrir les extraits des différents romans qui seront alors dévoilés.

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Dossier

Le Commissaire Maigret, figure historique de la littérature policière

Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran. 

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Dossier

Le Prix Interallié

Créé en 1930, le Prix Interallié fait partie des fameux prix de la rentrée littéraire : il est remis chaque année, au cours de l'automne, à un roman français. Le prix n'est pas doté financièrement, et il est décerné au sein du Cercle de l'Union interalliée, cercle social parisien fondé en 1917.

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Dossier

Street art, fresques, tags : des livres au détour des rues

Porté par des figures désormais internationales, comme Banksy, et bien d’autres, le Street Art, ou Art Urbain ne date pas d’hier. 

Extraits

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Biographies

Gérard Philipe

"Il n'y a pas de différence entre moi et les personnages que j'incarne, si ce n'est le travail à faire et le trajet à accomplir pour rejoindre chacun d'eux". Gérard Philipe (1922-1959), figure majeure du théâtre et du cinéma des années 1950, connaît tôt des succès fulgurants sur scène. A l'écran, son incarnation de Fanfan la Tulipe en héros populaire français lui vaut une gloire internationale. Du Festival d'Avignon où il rejoint Jean Vilar au Théâtre national populaire, il transmet sa vision d'un théâtre accessible à tous. Son interprétation inoubliable des grands rôles du répertoire, le Cid, le prince de Hombourg, reste figée dans nos mémoires. L'acteur, adulé par le public, facétieux sur les tournages et en tournées internationales, défend les intérêts de ses pairs, conquis par sa générosité et son travail. Foudroyé à trente-six ans par un cancer, le Cid a désormais rejoint son mythe.

11/2022

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Acteurs

Gérard Philipe

Il y a cent ans naissait Gérard Philipe. Un acteur de légende qui s'est imposé comme le symbole du romantisme de l'après-guerre. Au cinéma, il a joué de grands classiques tels que L'Idiot, La Chartreuse de Parme, Le Rouge et le Noir... Il a surpris dans La Beauté du diable, étonné dans Le Diable au corps, osé dans Les Liaisons dangereuses, subjugué dans Les Grandes Manoeuvres, et connu un triomphe mondial dans Fanfan la Tulipe qui restera à jamais une référence du cinéma français. Au théâtre, il s'impose dès ses débuts. Albert Camus et Jean Giraudoux lui font confiance. Sa rencontre avec Jean Vilar apporte un changement radical de la scène française. Gérard flamboie dans Le Cid, Lorenzaccio, Richard II, Ruy Blas... Et son nom reste à jamais lié au TNP et au festival d'Avignon. Le souvenir de son talent résonne encore sur les murs du Palais des Papes. Mais l'éclosion de son talent repose aussi sur des doutes et des écueils. Une enfance durant laquelle il s'éloigne de son père - de plus en plus impliqué dans une politique collaborationniste - pour se rapprocher de sa mère, éprise de théâtre. Une volonté farouche de défendre les droits des acteurs le pousse à devenir président de leur syndicat. Ses prises de position font parfois grincer des dents sans jamais ternir son prestige. Gérard Philipe c'est aussi ses erreurs qu'il assume, ses choix audacieux et sa volonté de dévorer la vie à pleine dents. Disparu à 37 ans, il reste le symbole de l'éternelle jeunesse. Toutes les facettes de cette personnalité marquante sont présentées dans cet ouvrage, hommage à un homme de talent et de courage. De nombreux témoignages apportent un regard nouveau sur le Gérard de l'ombre et le Philipe de la lumière. Philippe Noiret, Michel Bouquet, Georges Wilson et tant d'autres admirent qu'ils leur devaient beaucoup. Il fut la référence de toute une génération, il reste un exemple au parcours hors norme. Un destin rare qui a laissé une trace éclatante dans le ciel de l'art dramatique.

11/2022

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Cinéma

Je suis... Gérard Philippe

Aragon disait de lui qu'il était l'image du printemps. C'est en effet en pleine jeunesse que disparut Gérard Philipe, acteur mythique de l'après-guerre. Beau, sensible, romantique, il incarna les rêves de toute une génération meurtrie par la Seconde Guerre mondiale. Il fut le Cid, le prince de Hombourg, Lorenzaccio, Perdican, Octave, Fanfan la Tulipe... En Europe, à Moscou, à Pékin ou au Japon, il soulevait la même ferveur. Nul n'a oublié le timbre de sa voix et l'élégance de sa silhouette. Appartenant à une génération hantée par le spectre d'un nouveau conflit mondial, il fut aussi un homme généreux et engagé dons les combats de son temps. Auprès de Jean Vilar, son maître et ami, il fut l'âme du Théâtre national populaire. Acteur inoubliable et éternellement jeune, il parvint à ne jamais dissocier sa carrière de sa vie militante et personnelle.

02/2020

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Cinéma

Gérard Philipe. Edition revue et augmentée

Il est mort si jeune, il est mort si vite - le 25 novembre 1959, âgé d'à peine trente-sept ans - que son image s'est figée, définitivement fraîche et séduisante. De cet éternel jeune homme le temps a fait un mythe. Comme si le public avait compris que tous les engagements du comédien, artistiques et politiques, représenteraient un jour, aux yeux de l'histoire, le visage même des années cinquante. De son premier rôle, en 1943, jusqu'à sa dernière apparition sur les écrans, Gérard Philipe a incarné le héros idéal de la France de l'après-guerre : Fanfan la Tulipe, Rodrigue ou Julien Sorel... Au cinéma comme sur la scène du TNP de Jean Vilar. Vingt pièces de théâtre, trente films : c'est le bilan d'une carrière passionnée, rigoureuse, celle d'un acteur engagé dans son temps, celui de la "guerre froide", de l'affrontement des deux blocs, soviétique et américain. Gérard Philipe avait jalousement caché à tous le drame qui le frappait : la condamnation de son père par les tribunaux de l'épuration en 1945. Cette nouvelle édition, grâce à des documents familiaux pour la première fois exploités, revient sur ce douloureux épisode et l'éclaire d'une troublante lumière.

11/2019

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Critique

Gérard Philipe : le devenir d'un mythe

Figure du théâtre et du cinéma français célébrée dans le monde entier, Gérard Philipe a marqué son époque, mais que reste-t-il, cent ans après sa naissance, d'une aura que l'on pouvait penser indélébile ? L'occasion d'un renouveau se fait jour par la production romanesque, poétique, biographique, l'exploitation des archives et également la restauration de la maison de Cergy. On ignore souvent sa vision du théâtre populaire, les projets avortés de captation et l'importance des enregistrements de sa voix auprès des enfants comme auprès des futurs acteurs. On ne sait pas tout des témoignages d'admiration, de son soutien aux professions artistiques, du rôle de son épouse Anne pour reconduire l'esprit du couple en littérature. Que nous disent les études archivistiques, les recherches en sciences du langage sur les biographies, celles en arts du spectacle ou en cinéma sur le Festival d'Avignon, le TNP et les tournées, sur la réception de ses films à l'étranger ? Confirment-elles un étiolement de l'intérêt ou permettent-elles de penser un renouvellement de perspective ? Comment envisager ce renouveau, y compris dans les classes ? Cet ouvrage propose d'apporter un regard nouveau sur la constitution du mythe Gérard Philipe pour réfléchir à la manière de le revisiter, voire de le transfigurer dans l'espace à construire de la médiation et de la création contemporaines. Avec les contributions de : Ambre Bates, Jean-Pierre Ardelle, Marion Chénetier-Alev, Régine Delamotte, Anne-Lise Depoil, Konstantza Georgakaki, Agathe Giraud, Julia Gros de Gasquet, Violaine Houdart-Merot, Joël Huthwohl, Vincent Leroy, Emmanuelle Pesqué, AMarie Petitjean, Marie-Madeleine Mervant-Roux, Jeanne Shion Mizuhara, Geneviève Winter.

04/2024

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Poésie

Odes à chacun . Suivi de Tombeau de Gérard Philippe

Poète, Henri Pichette l'aura été comme personne. Artaud excepté, qu'il a toujours vénéré, il aura été poète comme aucun autre poète. C'est-à-dire farouchement, violemment, follement - si l'on veut bien prendre la folie comme un emballement de la raison. Avec Pichette, la poésie ne suffisait pas, il était en quête d'une lumière plus insoutenable, brutale, intense, évidente : la poésie de la poésie, celle qui se donne pour l'oxygène de l'être, celle qui a force de révélation, et de colère aussi. Car Pichette a la dent dure, le regard sauvage, voire un accès direct à la beauté. Il bat le lexique comme d'autres les fourrés. Il parle dru, net et précis, sans jamais oublier, comme le souligne Alain Rey, d'aller "droit à l'essentiel, qui est l'amour". Avec les Odes à chacun, il entend "faire chef-d'oeuvre en digne compagnon" : écrire en artisan souverain, dire les peines et les joies d'un labeur qui s'affranchit du temps, chanter la Création en chacun de ses phénomènes, en chacune de ses incarnations. Et d'emblée, il annonce quel est le champ immense, mais humble à la fois, de ses explorations : "Ce monde est parsemé d'oeuvres douces et fortes". Et les Odes à chacun sont ainsi : douces et fortes. Avec le Tombeau de Gérard Philipe, Pichette n'est plus dans la louange du monde, mais dans la célébration fervente, désespérée, foudroyante d'un être unique. Pour celui qu'il aimait comme un frère, il compose l'une des plus sublimes déplorations jamais réalisée en langue française.

06/2009

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