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Paul M. Marchand

Dossiers

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Dossier

Le Prix Interallié

Créé en 1930, le Prix Interallié fait partie des fameux prix de la rentrée littéraire : il est remis chaque année, au cours de l'automne, à un roman français. Le prix n'est pas doté financièrement, et il est décerné au sein du Cercle de l'Union interalliée, cercle social parisien fondé en 1917.

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Dossier

Les 5 Terres : une saga médiévale où règnent les animaux

Cinq continents abritent les peuples qui occupent Les 5 Terres : autant d’espèces dont les luttes de pouvoir ont forgé les relations. Félins, reptiles, herbivores, primates ainsi qu’ours et loups, qui se partagent un territoire, chacun a affiné avec le temps des savoir-faire. Leurs terres, reflets de leurs coutumes autant que de leur passé, font cohabiter les êtres… mais n’enfouissent pas les rivalités.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Edith Wharton

Née en 1862, Edith Newbold Jones, mieux connue sous le nom Edith Wharton, a résolument marqué l'histoire de la littérature : elle fut ainsi la première femme à obtenir le Prix Pulitzer du roman, pour Le temps de l'innocence, publié en 1920. Après une enfance européenne, elle retourne à New York avec sa famille, qui jouit d'une situation très aisée.

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Dossier

En route pour l'aventure : des livres pour voyager et s'évader

Sur terre et sur les mers, à la découverte d’horizons inconnus, voici une liste de livres qui vous embarquent vers des destinations folles. Ce sont des récits de voyage, des essais, des textes empreints de poésie, ou des biographies d’aventuriers, comme autant de panoramas de la splendeur de notre planète.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur James Baldwin

Né le 2 août 1924 à Harlem, New York, James Baldwin est l'un des écrivains américains les plus importants du XXe siècle : engagé dans la lutte pour les droits civiques aux États-Unis, Baldwin a exploré la question dans Chronique d'un pays natal (1955) et La Prochaine Fois, le feu (1963).

Extraits

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Beaux arts

Paul Durand-Ruel. Le marchand des impressionnistes

Paul Durand-Ruel, homme de convictions, devenu marchand de tableaux contre son gré, a consacré sa vie à défendre les peintres qu'il aimait malgré l'opposition violente des milieux officiels et l'incompréhension du public. Ses efforts lui ont permis d'imposer les peintres de Barbizon, puis les impressionnistes, en frôlant la ruine à plusieurs reprises. "Sans Durand, dira plus tard Claude Monet, nous serions morts de faim, nous tous les impressionnistes. Nous lui devons tout. Il s'est entêté, acharné, il a risqué vingt fois la faillite pour nous soutenir. La critique nous traînait dans la boue : mais lui, c'est bien pis ! On écrivait : "Ces gens sont fous, mais il y a plus fou qu'eux, c'est un marchand qui les achète !" ".

10/2014

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Ecrits sur l'art

Paul Durand-Ruel. Mémoires du marchand des impressionnistes

Paul Durand-Ruel a redéfini le rôle de marchand d'art. Il a été un exceptionnel entrepreneur et un précurseur sur la scène internationale en établissant un réseau de galeries à Paris, Londres, Bruxelles et New York, et en organisant des expositions dans le monde entier. Convaincu par le talent des artistes de l'école de Barbizon et des impressionnistes, et confiant dans son rôle de défenseur de leur art, Paul Durand-Ruel a su imposer les oeuvres de Auguste Renoir, Claude Monet, Alfred Sisley, Berthe Morisot ou Mary Cassatt... Ces mémoires sont le témoignage unique d'un homme qui a joué un rôle essentiel dans un des moments les plus importants de l'art français. Elles retracent la vie artistique et le marché de l'art du XIX ? siècle, mais aussi la conviction de Paul Durand-Ruel, ami et soutien des artistes, d'imposer l'impressionnisme.

03/2024

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Essais biographiques

Paul Guillaume. Marchand d’art et collectionneur (1891-1934)

"Tous les Parisiens connaissent la boutique de la rue la Boétie où une devanture toujours pittoresque assemblait des masques nègres, des bijoux éthiopiens et des toiles de Kwapil, Derain, Vlaminck, Chirico, Utrillo". La Femme de France, 1934 Charmeur, ambitieux, visionnaire, passionné de peinture mais aussi des arts d'Afrique et d'Océanie : qui était vraiment Paul Guillaume ? Jeune homme issu d'un milieu modeste, il est devenu l'un des marchands et collectionneurs d'art moderne et d'art africain les plus importants de l'Europe des années 1914-1934 vivant entouré d'oeuvres de Modigliani, Soutine, Matisse ou encore Picasso. Trois rencontres ont été décisives dans l'ascension fulgurante de ce redoutable homme d'affaires, celle du poète Guillaume Apollinaire, du collectionneur américain Albert Barnes, et de son épouse Juliette Lacaze. A travers son histoire, découvrez le destin d'oeuvres majeures du XIX ? et du début du XX ? siècle que l'on peut admirer au musée de l'Orangerie.

09/2023

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Littérature française

Sympathie pour le Diable

""Don't shoot. Don't waste your bullets. I am immortal" était la devise inscrite sur la voiture, qui était le prolongement de son être, de Paul Marchand à Sarajevo, pendant le siège de la ville. D'autres sources prétendent que Paul avait plutôt écrit : Morituri te salutant. Ceux qui vont mourir te saluent. C'est le sujet de Sympathie pour le Diable, qui fuse comme des balles dans la nuit : comment un grand reporter outrepasse son rôle, tombe amoureux et sauve des vies malgré lui, dans un Sarajevo de neige et de sang, de larmes et d'espoir. On ne revient pas entier de pareil voyage, et la balle qui traversa la main de Paul fracassa aussi sa conscience. Je n'ai donc pas été surpris d'apprendre un 20 juin 2009 son suicide, alors que nous nous étions parlé quelques jours auparavant. Paul Marchand est une légende, une étoile filante, un styliste suicidaire, un Hemingway fréquentable, qu'il faut absolument découvrir et lire. En 1997, je tombe sur un texte de cet inconnu, Sympathie pour le diable, publié au Québec puis par Florent Massot. C'est une rhapsodie de vie et de mort, l'un de ces livres de guerre qui, avec ceux de Norman Mailer et de Malaparte, devraient figurer au rang de classique. Peu d'écrivains me restent en mémoire comme l'indomptable Paul, inventeur de sa vie de Beyrouth-Ouest sur la ligne verte, à Sarajevo qu'il franchissait à tombeau ouvert, humant les morgues, aidant les uns et les autres, refusant d'accepter l'inacceptable quotidien. A sa mort, il laissa une femme à la beauté nordique et une petite fille, Asta. Il laissa aussi ce livre que Guillaume de Fontenay a adapté au cinéma dans une fougue aussi partageuse et irréductible que celle de Paul, le fumeur de toscans. Souvenez-vous : cette boucherie de Sarajevo, au coeur de l'Europe, c'était hier. So Long, Paul". Manuel Carcassonne

11/2019

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Littérature française

Ceux qui vont mourir

" Couché dans mon sang... Je me dissous, intoxiqué par des métaux dépréciés, des cristaux d'ombre se nattent et marbrent mes rétines. Je n'ai même pas entendu les détonations... Je voulais être debout et avancer dans les plaies éblouissantes des rafales, chants de sirènes d'avant la porte... Je voulais être debout et la tête à l'envers me sentir choyé par les balles carnivores. Je voulais être debout pour ne pas ramper devant les snipers... " Autobiographie d'un rescapé ? Roman d'un lyrisme absolu ? Hymne à la mort ? Chant de vie, avant qu'elle ne s'éteigne ? Tout cela à la fois, qui vous explose au visage. Les phrases de Paul M. Marchand criblent, fusent, percent, illuminent. Elles défient la raison et la bienséance.

03/2001

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Littérature française

Le paradis d'en face

" Au début, je n'y ai pas vraiment prêté attention. La première fois que j'ai garé la moto près du numéro huit de la rue Girardon, elle a ouvert sa fenêtre, au cinquième étage, s'est penchée et a demandé d'une voix forte : "Nicolas, c'est toi ?" J'ai levé la tête et regardé tout autour de moi, j'étais seul sur le bord de cette rue, pas même une ébauche de profil. " Un soir, Thomas répond à cette inconnue qui le prend pour un autre : il découvre qu'elle a perdu son fils unique, Nicolas, dix ans auparavant ; ce jour-là, le temps s'est brutalement arrêté. Pour Marguerite, Thomas accepte de devenir Nicolas. Entre le jeune homme trop sensible et la petite dame malicieuse commence ainsi une singulière histoire, née d'un malentendu dont, au fond, ni l'un ni l'autre n'est dupe : il suffit juste d'y croire...

01/2007

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