Recherche

Pasquale Paoli

Extraits

ActuaLitté

Sciences historiques

Pasquale Paoli

Après un long exil - en juillet 1755 - Pasquale Paoli est élu général en chef de la Nation, au couvent Sant'Antone di a Casabianca. Il vient d'avoir trente ans. Commence alors pour le Corse, et la Corse, une aventure hors du commun sur la voie de l'indépendance. L'île est dotée d'une constitution démocratique moderne et la guerre contre les Génois reprend de plus belle. Le jeune chef d'Etat, aux idées novatrices, se lance alors dans de grands projets : il frappe monnaie, fonde une capitale Corte - mais aussi l'université, l'imprimerie nationale et crée une marine corsaire. «Toute l'Europe est corse», dit-on alors. Puis, en 1768, le cours de l'Histoire va changer, lorsqu'un traité est signé dans les salons de Versailles...

07/2010

ActuaLitté

Histoire de France

Pasquale Paoli. Un Corse des Lumières

Né dans un hameau peuplé d'une centaine d'âmes, le Père de la patrie corse est mort dans la plus grande capitale européenne de son temps, Londres. Né en 1725, élevé à Naples, rentré pour moins de quinze ans de " pouvoir " (1755-1769), exilé en Angleterre jusqu'en 1790, revenu à Corte pour quatre ans, retourné à Londres de 1794 à sa mort en 1807, celui qui fut enterré à l'ombre de Westminster a vécu trente-deux ans en Corse, trente-quatre années en Angleterre, seize années de jeunesse italiennes et quelques semaines parisiennes. Corse de Corse, Paoli est aussi Corse de la diaspora, comme Sampiero Corso avant lui et Napoléon Bonaparte après lui. Paoli surprend, étonne, séduit, révolte parfois. Quel est-il ? Philosophe du siècle des Lumières ? Religieux comme son frère, tertiaire franciscain mort au couvent ? Franc-maçon précocement affilié à une loge italienne ? Ou tardivement affilié à une loge anglaise à Londres ? Humaniste ou soldat ? Homme de plume ou d'épée ? Homme d'action ou de réflexion ? Les sources sont si abondantes que la synthèse est malaisée et que l'on néglige presque toujours les trente premières années de sa vie, celles qui pourtant permettent de saisir l'enracinement du personnage dans une terre, une tradition, une généalogie ; c'est l'un des apports décisifs de ce livre que d'évoquer la genèse de l'homme d'État et de lui redonner ainsi sa cohérence et sa vigueur. Cette première biographie exhaustive replace Paoli dans son contexte historique et rend le personnage passionnant.

06/2005

ActuaLitté

Littérature française

Pasquale Paoli et l'enfant de la nation

Anna quitte Pasquale Paoli et dissimule sa véritable identité pour protéger l'enfant qu'elle porte. Elle accepte la proposition de son ami Titto Buttafocco, et s'installe à Viscuvatu, prospère village de la Casinca (volume 1, Pasquale Paoli et la fille de l'aube). C'est dans ce village qu'elle va mettre au monde le fils de Paoli. De son côté, Paoli doit continuer ses combats pour s'imposer en chef d'Etat d'une Nation souveraine. Pourra-t-il enfin chasser durablement les Génois de ses rivages et unifier véritablement l'île toujours déchirée par les guerres intestines ? Anna saura-t-elle s'adapter à sa nouvelle vie, loin de celui qu'elle aime et du coeur du pouvoir, pour se contenter de l'existence simple et paisible des femmes de son temps ? Avec ce nouvel opus, Marie-Paule Dolovici continue de nous entraîner dans le sillage de l'amour secret du Général et n'en finit pas d'éclairer les sombres méandres de l'Histoire.

07/2018

ActuaLitté

Romans historiques

Pasquale Paoli ou La déroute de Pontenovo. Récit corse du XVIIIe siècle

Monumental dans son projet et dans sa réalisation (1000 pages pour la première édition en un seul volume, 1860), le Pasquale Paoli de Guerrazzi s'inspire de l'expérience corse de lutte contre la tyrannie et exalte les vertus de démocratie et le sursaut moral sur lesquels il base son idéal politique. Les premières pages opposent d'ailleurs les figures de Paoli et de Bonaparte, tous deux insulaires, mais qualifiés, l'un d'homme de marbre et l'autre d'homme de bronze… l'un prit le pouvoir pour l'amour de sa patrie, l'autre pour son propre compte. Le roman est une fresque dans le sens où, basé entre autres sur une histoire de la Corse restée inachevée qui lui avait été confiée par les frères Gregori, il retrace les grandes heures, non seulement des quelques années d'indépendance paolienne (1755- 1768) mais aussi l'ensemble de l'histoire de l'île. Le prétexte romanesque est la venue dans l’île, fait historique bien connu, de James Boswell, future grande figure des lettres britanniques, poussé à rencontrer Paoli par Jean-Jacques Rousseau (lui-même fut sollicité par les Corses pour rédiger leur constitution « démocratique »). Sur les traces du Signore Boswell, le lecteur traverse l'île et apprend à la connaître, elle, ses habitants, ses moeurs et surtout… à aimer la patrie et la liberté ! Car le propos de Guerrazzi est d'éveiller les consciences chez les lecteurs transalpins, lui qui est réduit à l'exil dans l'île (il fut condamné à 15 années de prison pour avoir été, en 1849, un éphémère « dictateur » de Toscane… ). Un roman enlevé et profond dans la veine des grands romans classiques italiens, ici dans sa toute première traduction française.

02/2012

ActuaLitté

Littérature française

Don Pasquale

Ce récit est une quête et une enquête, celle d'une identité à retrouver à travers l'itinéraire d'un arrière-grand-père parti d'Italie du Sud et arrivé en Algérie en 1887. Les illusions perdues, les rêves de fuite, les amours difficiles, voire impossibles, la vie quotidienne qui se perd dans les sables de la médiocrité ou se fracasse contre le destin, autant de tranches quasi cinématographiques qui ponctuent dans une prose brûlante et lyrique la vie de Don Pasquale.

09/2013

ActuaLitté

Théâtre

Théâtre. Tome 3, Paolo Paoli ; La Politique des restes ; Sainte Europe

De Paolo Paoli à Sainte Europe, en passant par La Politique des restes, Arthur Adamov poursuit l'évolution amorcée dès Le Ping-Pong, en esquissant une large tragi-comédie de la vie sociale. Ces trois pièces, pourtant fort dissemblables, ont un thème commun : celui du trafic, un trafic qui n'est pas seulement l'échange des biens, mais encore l'échange des sentiments, même les plus intimes. Ainsi la réalité est abordée sous ses deux faces : celle des grands conflits historiques comme la guerre de 14-18, la politique raciste en Afrique du Sud, le partage des influences et des intérêts dans le tiers monde... Et celle aussi des solitudes et des névroses individuelles qui, comme l'ont bien montré Frantz Fanon et Danilo Dolci, tout en étant le produit d'une évolution historique, empêchent les hommes de faire leur propre histoire. Mais, si la succession de ces trois pièces apparaît logique, chacune d'elles possède un ton qui lui est propre. Alors que dans Paolo Paoli Arthur Adamov s'attache à décrire minutieusement la situation d'un petit monde clos, qui renvoie d'ailleurs à toute l'histoire de l'époque, dans Sainte Europe il enjambe allègrement plusieurs siècles et fait interférer la vie publique avec l'existence la plus secrète, celle de nos songes, pour créer une satire à la mesure de notre temps.

05/1966

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté