Recherche

Pascale Dietrich

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Non classé

Le homard

Quand Camille gagne un homard vivant à la tombola, elle ignore encore qu'elle ne pourra l'ébouillanter. Entre-temps, elle s'est débarrassée d'un pic à glace, car c'est l'utilité des tombolas : on fait le ménage dans les placards. Au même moment, près des plages, un premier touriste anglais est retrouvé mort. Puis un second. Est-ce trop pour une petite ville bretonne de trois mille âmes ? Doit-on parler de serial killer ?

03/2021

ActuaLitté

Non classé

Le homard

Quand Camille gagne un homard vivant à la tombola, elle ignore encore qu'elle ne pourra l'ébouillanter. Mais entre-temps, elle s'est débarrassée d'un pic à glace, car c'est l'utilité des tombolas: on fait le ménage dans les placards. Près des plages, un premier touriste anglais est retrouvé mort. Puis un second. Est-ce trop pour une petite ville bretonne de 3 000 âmes ? Doit-on parler de serial killer ? L'écriture de Pascale Dietrich se fait vive et sautillante pour nous parler d'une bourgade où la mer ne suffit pas à faire le bonheur. On décèle chez elle une indulgence à l'égard des amours compliqués : ceux qui versent dans la violence pour goûter à la fusion. Après plusieurs nouvelles parues dans des collectifs (Editions Toussaint Louverture), l'auteure signe un premier roman, noir et subtil, au tempo savamment maîtrisé.

03/2013

ActuaLitté

Non classé

Le homard

Quand la narratrice gagne un homard vivant à la tombola, elle ignore encore qu'elle ne pourra l'ébouillanter. Mais entretemps, elle s'est débarrassée d'un pic à glace, car c'est l'utilité des tombolas : on fait le ménage dans les placards. Près des plages, un premier touriste anglais est retrouvé mort. Puis un second. Est-ce trop pour une petite ville bretonne de 3000 âmes ? Doit-on parler de serial killer, de Bretagne aux bretons ? L'écriture de Pascale Dietrich se fait vive et sautillante pour nous parler d'une bourgade où la mer ne suffit pas à faire le bonheur. On décèle chez elle une indulgence à l'égard des amours compliqués : ceux qui versent dans la violence pour goûter à la fusion. Un premier livre composé d'une main sûre. L'auteur distille l'horreur, tranquillement, avec une maîtrise étonnante. Elle joue aussi avec les nerfs du lecteur, déjouant au dernier moment les "chutes" et les retournements de situation qui seraient prévisibles. Un texte tout à fait dans l'esprit "Polaroid" : nerveux, psychologique avec une tension qui augmente crescendo, une histoire qui se déroule dans un contexte tout à fait banal, ordinaire, transposable

06/2020

ActuaLitté

Romans policiers

Une île bien tranquille

Sur les îles bretonnes, tranquilles ou pas, le vent est toujours coupable : des naufrages, des névroses, et même des chutes du haut des falaises. Difficile pourtant de convaincre Edelweiss, de retour à Trevedic pour enterrer son père tombé du pic du Rat, de ce scénario. Ses doutes se renforcent lorsqu'elle remarque que les îliens ont étrangement changé leurs habitudes : ils ont repeint leurs maisons à neuf, possèdent des yachts rutilants ou encore des voitures de luxe tout à fait inutiles dans cette société miniature. Veulent-ils se la jouer flambeur, à l'image son petit ami parisien, gentil mais "un peu connard" ? Ou cachent-ils un secret derrière des bizarreries de plus en plus inquiétantes, comme lancer des balles de tennis ornées de têtes de mort dans le jardin ? Avec un ton bien à elle, oscillant entre noirceur et humour, Pascale Dietrich nous entraîne dans une histoire inventive et mordante.

03/2025

ActuaLitté

Littérature française

Une île bien tranquille

Sur les îles bretonnes, tranquilles ou pas, le vent est toujours coupable : des naufrages, des névroses, et même des chutes du haut des falaises. Difficile pourtant de convaincre Edelweiss, de retour à Trevedic pour enterrer son père tombé du pic du Rat, de ce scénario. Ses doutes se renforcent lorsqu'elle remarque que les îliens ont étrangement changé leurs habitudes : ils ont repeint leurs maisons à neuf, possèdent des yachts rutilants ou encore des voitures de luxe tout à fait inutiles dans cette société miniature. Veulent-ils se la jouer chicos, comme son petit ami parisien, gentil mais "un peu connard" ? Ou cachent-ils un secret derrière des bizarreries de plus en plus inquiétantes, comme lancer des balles de tennis ornées de têtes de mort dans le jardin ? Avec un ton bien à elle, oscillant entre noirceur et humour, Pascale Dietrich nous entraîne dans une histoire inventive, mordante et généreusement irrespectueuse.

05/2016

ActuaLitté

Littérature française

Faut pas rêver

Rêver d'un crime fait-il du dormeur un suspect ? C'est ce que n'ose imaginer Louise, depuis deux mois réveillée en sursaut au beau milieu de la nuit par Carlos. Son compagnon parle dans son sommeil, en espagnol et avec véhémence. Il semble revivre encore et toujours la même scène, dont il affirme ne pas se souvenir au matin. Sans cet inquiétant désagrément, Louise serait certaine d'avoir enfin rencontré l'homme idéal : Carlos a quitté l'Andalousie pour exercer le métier de sage-femme à Paris. Que cache sa somniloquie ? Pour en avoir le coeur net, Louise dissimule près de son oreiller un enregistreur. Les premiers résultats de la judicieuse analyse des cauchemars, obtenus par son amie Jeanne à partir de la traduction qu'elle effectue, la placent face à une évidence troublante : la nuit, c'est un scénario meurtrier qui est rejoué, à Marbella. Un parfait lieu de vacances. Faut-il y aller ?

05/2021

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté