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Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants

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Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants

Mai 1506, Michel Ange débarque à Constantinople. A Rome, il a laissé inachevé le tombeau que lui a commandé Jules II, au risque de s’attirer la colère de ce pape particulièrement irascible. Mais comment résister à l'invitation du Sultan Bajazet, qui veut lui confier la conception d'un pont enjambant l’estuaire du Bosphore, la Corne d'Or ? Pont entre deux rives, mais aussi entre deux mondes, deux civilisations… Une évocation fascinante et raffinée de ce moment où la Renaissance esquisse avec l'Orient byzantin un sublime rendez-vous, hélas manqué.L’interprétation de Thibault de Montalembert épouse toutes les nuances de ce récit qui mêle fastes révolus et ambiguïtés politiques.

03/2011

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Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants

13 mai 1506, un certain Michelangelo Buonarotti débarque à Constantinople. A Rome, il a laissé en plan le tombeau qu'il dessine pour Jules II, le pape guerrier et mauvais payeur. Il répond à l'invitation du Sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'Or, projet retiré à Leonardo da Vinci. Urgence de la commande, tourbillon des rencontres, séductions et dangers de l'étrangeté byzantine, Michel Ange, l'homme de la Renaissance, esquisse avec l'Orient un sublime rendez-vous manqué. Par l'auteur du très remarqué Zone (prix Décembre 2008 et prix du livre Inter 2009).

08/2021

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Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants

En débarquant à Constantinople le 13 mai 1506, Michel-Ange sait qu'il brave la colère de Jules II, pape guerrier et mauvais payeur : il a en effet laissé en chantier l'édification de son tombeau, à Rome. Mais comment ne pas répondre à l'invitation du sultan Bajazet qui lui propose - après avoir refusé les plans de Léonard de Vinci - de concevoir un pont sur la Corne d'Or ? Troublant comme la rencontre de l'homme de la Renaissance avec les beautés du monde ottoman, précis et ouvragé comme une pièce d'orfèvrerie, ce portrait de l'artiste au travail est aussi une fascinante réflexion sur l'acte de créer et sur le symbole d'un geste inachevé vers l'autre rive de la civilisation. Car à travers la chronique de ces quelques semaines oubliées de l'Histoire, Mathias Enard esquisse une géographie politique dont les hésitations sont toujours aussi sensibles cinq siècles plus tard.

02/2013

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Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants

En débarquant à Constantinople le 13 mai 1506, Michel-Ange sait qu'il brave la puissance et la colère de Jules II, pape guerrier et mauvais payeur, dont il a laissé en chantier l'édification du tombeau, à Rome. Mais comment ne pas répondre à l'invitation du sultan Bajazet qui lui propose - après avoir refusé les plans de Léonard de Vinci - de concevoir un pont sur la Corne d'Or ? Ainsi commence ce roman, tout en frôlements historiques, qui s'empare d'un fait exact pour déployer les mystères de ce voyage. Troublant comme la rencontre de l'homme de la Renaissance avec les beautés du monde ottoman, précis et ciselé comme une pièce d'orfèvrerie, ce portrait de l'artiste au travail est aussi une fascinante réflexion sur l'acte de créer et sur le symbole d'un geste inachevé vers l'autre rive de la civilisation. Car à travers la chronique de ces quelques semaines oubliées de l'Histoire, Mathias Enard esquisse une géographie politique dont les hésitations sont toujours aussi sensibles cinq siècles plus tard.

08/2010

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Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants

13 mai 1506, un certain Michelangelo Buonarroti débarque à Constantinople à l'invitation du sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'Or. Urgence de la commande, tourbillon des rencontres, séductions et dangers de l'étrangeté byzantine, Michel-Ange, l'homme de la Renaissance, esquisse avec l'Orient un sublime rendez-vous manqué.

11/2014

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Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants

Le 13 mai 1506, en débarquant à Constantinople, Michel-Ange sait qu'il brave la puissance et la colère de Jules II, pape guerrier et mauvais payeur, dont il a laissé en chantier l'édification du tombeau, à Rome. Mais comment ne pas répondre à l'invitation du sultan Bajazet qui lui propose, après avoir refusé les plans de Léonard de Vinci, de concevoir un pont sur la Corne d'Or ? Ainsi commence ce roman, tout en frôlements historiques, qui s'empare d'un fait exact pour déployer les mystères de ce voyage.

11/2010

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