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Panaït Istrati

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Critique littéraire

Panaït Istrati. L'amitié vagabonde

Routard céleste, éternel insoumis et conteur irrésistible, né à Braïla en 1884 et mort à Bucarest en 1935, Panaït Istrati fut un voyageur d'exception et demeure un compagnon de route envoûtant. Par son sens de la camaraderie, ses passions éclatantes et sa révolte organique contre toute forme d'oppression, sa vie et son oeuvre - du Danube à la France et du Liban à l'uRss en passant par la Suisse, des Chardons du Baragan à Nerrantsoula sans oublier Kyra Kyralina - chantent son amour profond pour une humanité frappée par la misère. Rêveur insatiable de nouveaux horizons, Istrati avait pour bagage la littérature et pour flamme l'amitié vagabonde.

10/2015

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Critique littéraire

L' Existence juive dans l'œuvre de Panaït Istrati

Le grand écrivain roumain de langue française, Panaït Istrati (1884-1935), dont les chefs-d'oeuvre ne furent connus en France qu'à partir des années 1960, et en Roumanie qu'à partir de 1990, fut longtemps - notamment par la propagande des communistes soviétiques - considéré comme antisémite. En même temps, ou en parallèle de ce courant diffamatoire, Istrati était souvent rangé parmi les écrivains israélites : il est vrai que des récits comme Isaac ou Méditerranée, très juifs dans leur esprit et leur poétique, expliquent en partie cette assimilation. David Seidmann livre ici une mise au point définitive. Panaït Istrati n'était absolument pas juif (ni par ses ascendances, ni par ses obédiences) et nullement antisémite. Il avait, pour la pensée juive, une inclination presque naturelle, ce dont put témoigner l'écrivain Isaac Horowitz, qui fut l'un de ses amis les plus chers à son coeur. "Aujourd'hui, conclut David Seidmann, on n'a plus de peine à convaincre qui que ce soit qu'Istrati est resté ami des Juifs jusqu'à sa mort. Mais même s'il était devenu antisémite, il faudrait l'oublier et se rappeler toujours qu'en 1927, six ans avant l'avènement du nazisme et douze ans avant la deuxième guerre mondiale, il a écrit cette inoubliable lettre à Jéhouda où il recommande aux Juifs de ne pas se réfugier dans l'étude de la Thora dans l'adversité, mais de prendre enfin en main leur propre défense".

01/1984

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Littérature française (poches)

Les chardons du Baragan

Roman d'apprentissage mais aussi roman picaresque d'une étonnante puissance, les Chardons du Baragan nous fait découvrir, à travers les yeux d'un enfant que la misère a voué à une vie vagabonde, la condition du petit peuple des campagnes de Roumanie à la veille de la sanglante révolte de 1907. Alliant lyrisme et réalisme, Panaït Istrati décrit magistralement un monde hanté par les traditions et les légendes, qu'un surcroît d'oppression fait basculer de la résignation dans la colère.

04/2003

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Littérature française

Dans les docks de Braïla

Panaït Istrati, Dans les docks de Braïla A l'âge de 14 ans, Panaït Istrati, orphelin de père, est contraint de s'employer comme apprenti dans les docks de Braïla, sa ville natale, en Roumanie. Il y découvre l'égoïsme et la froideur de la classe dirigeante, mais aussi la férocité des travailleurs les uns envers les autres. Ecrit à l'époque de la grande désillusion que vécut Istrati après avoir visité l'URSS à la fin des années 20, Dans les docks de Braïla évoque l'espoir d'un changement, mais fait aussi le constat lucide de l'ignorance, du désespoir, d'un amoralisme calqué sur celui d'une élite corrompue.

03/2014

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Poches Littérature internation

Oncle Anghel. Les récits d'Adrien Zograffi

L'oncle Anghel était amoureux de la plus belle fille du village, qu'il a fini par épouser. Mais cette femme superbe s'est avérée paresseuse et sale, ne lui laissant pour consolation que l'âpre goût du malheur. Puis le destin s'est acharné sur lui. Devenu ivrogne et incroyant, sur le point de mourir, il tente d'obtenir de son neveu Adrien, venu à son chevet, qu'il change sa manière de vivre - jugée trop frivole et inconséquente. Il lui conte l'histoire de ces ancêtres et lui montre les tragédies que pourraient engendrer ses actes. Deuxième volet des Récits D'Adrien Zograffi, Oncle Anghel est à mi-chemin entre le conte oriental et le récit autobiographique. On y retrouve la force de l'oeuvre de Panaït Istrati, une écriture colorée où le réel se mêle à un imaginaire foisonnant, faisant surgir toute la poésie de la tradition populaire roumaine.

03/2013

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Poches Littérature internation

Nerrantsoula. Tsatsa-Minnka. La Famille Perlmutter.... Pour avoir aimer la terre

Trois romans et un texte, Pour avoir aimé la terre, qui est le testament spirituel de Panaït Istrati. Tsatsa Minnka raconte les amours passionnées d'une paysanne des bords du Danube. Ce fleuve venge les amoureux de l'arrogance cruelle de Nerrantsoula. Enfin, c'est avec une tendre malice qu'est racontée La famille Pelmutter (en collaboration avec Josué Jehouda) : de vieux juifs voient leurs enfants dispersés. A travers les aventures d'Isaac, de Schimke et d'Esther, le fil de la tradition se perd, mais finit par se retrouver.

05/1984

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