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Pablo Neruda

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Critique

Résidence sur la terre de Pablo Neruda

Etude approfondie d'un grand texte classique ou contemporain par un spécialiste de l'œuvre : approche critique originale des multiples facettes du texte dans une présentation claire et rigoureuse. Bibliographie, chronologie, variantes, témoignages, extraits de presse. Eclaircissements historiques et contextuels, commentaires critiques récents. Le texte intégral de Résidence sur la terre de Pablo Neruda est disponible dans la collection " Poésie/Gallimard ", n° 83.

02/2003

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Non classé

Pablo Neruda : "non à l'humanité naufragée"

"Eh bien, voilà ce qu'est l'exil, se dit Pablo Neruda tandis que ses compagnons cheminent avec prudence sur la piste escarpée. Une marche clandestine en direction de la frontière. (...) Une errance que l'on nomme évasion, avec le fol espoir d'atteindre un pays où l'on pourra vivre libre. (...) Mais personne ne quitte sa maison avec plaisir ! Per- sonne ne laisse sa vie derrière soi, personne n'abandonne un métier, une terre, des amis, sa famille parfois, pour aller tirer un quelconque avantage d'un pays d'accueil ! Mettre son existence entière dans un baluchon et partir. Franchir des cols enneigés. Traverser des déserts. Monter sur un bateau et voir la rive s'éloigner à jamais. Risquer sa vie. Etre de passage, toujours de passage. Trembler de peur d'être arrêté au premier contrôle d'identité. (...) Ah ! Dans l'exil, même les rayons du soleil ressemblent à des barreaux..."

10/2020

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Poésie

Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée. suivi de Les vers du capitaine

Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée suivi par Les vers du capitaine forme le livre d'une célébration nouvelle : l'amour y est toujours surprise, risque, désir, submersion, insurrection perpétuelle. L'homme y est autre, la femme y est autre, l'un et l'autre non pas meilleurs, mais en alerte, sur le qui-vive et, par là, plus vivants. Les Vingt poèmes d'amour ont connu, dans tout l'univers hispanique, une extraordinaire fortune, plus d'un million d'exemplaires diffusés. Les vers du capitaine, qui semblent l'œuvre d'un forban inspiré, ont d'abord été publiés anonymement - pour préserver le secret de la relation amoureuse, dira Neruda - avant, eux aussi, de chanter dans toutes les mémoires du Chili, d'Amérique et d'Espagne. Généreuse, sensuelle, éblouie, passionnée est la poésie de Pablo Neruda. Militante également, si l'on accorde à ce terme son poids de révolte, de fraternité, d'utopies partagées. La parole de Neruda, c'est d'abord un élan, une houle de mots qui font sens et font chant. Cela touche au cœur et au corps avant de monter à la tête. L'écriture ici, même quand elle se nourrit des tourments du monde, est une fête, un plaisir, une jouissance.

05/1998

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Littérature sud-américaine

J'avoue que j'ai vécu

"Peut-être n'ai-je pas vécu en mon propre corps : peut-être ai-je vécu la vie des autres", écrit Pablo Neruda pour présenter ces souvenirs qui s'achèvent quelques jours avant sa mort par un hommage posthume à son ami Salvador Allende. Les portraits d'hommes célèbres - Aragon, Breton, Eluard, García Lorca, Picasso - côtoient les pages admirables consacrées à l'homme de la rue, au paysan anonyme, à la femme d'une nuit. À travers eux se dessine la personnalité de Neruda, homme passionné, attentif, curieux de tout et de tous, le poète qui se révèle être aussi un merveilleux conteur.

03/2002

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Non classé

Hauteurs De Macchu Picchu

Hauteurs de Macchu Picchu est né de cet accord entre la grandeur de l'objet du poème et l'éclat de sa langue. Les confuses, les contradictoires, les indestructibles revendications humaines y sont exprimées en un style d'une brutale et fastueuse splendeur. C'est assez pour que plusieurs reconnaissent en ce presque psaume un des sommets de l'œuvre de Pablo Neruda.

04/2000

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Poésie

Chant général

"Avec le Chant général, j'ai travaillé sur le terrain de la chronique et du mémorial, un terrain qui, les premiers temps, me parut rocailleux et inhospitalier. Mais soudain je découvris [... ] qu'il n'y avait pas de matériel antipoétique lorsqu'il s'agissait de nos réalités. Les faits les plus obscurs de nos peuples doivent être brandis en pleine lumière. Nos plantes et nos fleurs, pour la première fois, doivent être contées et chantées. Nos volcans et nos rivières sont restés dans les espaces desséchés des textes. Que leur feu et leur fertilité soient livrés au monde par nos poètes. Nous sommes les chroniqueurs d'une naissance retardée. Retardée par le féodalisme, par la stagnation, par la faim. Il ne s'agit pas seulement de préserver notre culture, mais de la livrer à toutes nos forces, de la nourrir et de lui permettre de fleurir". Pablo Neruda.

03/2007

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