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Pères noirs en pays blanc

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Pères noirs en pays blanc

Ce livre est une enquête sur le sens de la vie. C'est une réflexion sur la condition humaine mondialisée ; un regard sur le partage du commun entre les humains menacés par le coronavirus, le racisme, la xénophobie, la déchristianisation, le cléricalisme. Marqué par son parcours atypique : Afrique, Amérique, Europe, l'auteur essaie de mesurer les différents niveaux d'humanisation.

08/2021

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La Métropole : Le pays des Grands et Beaux Bwanas !

"La Métropole : Le pays des Grands et Beaux Bwanas ! " ou "Comment combattre le communautarisme et le ségrégationnisme des Blancs en France". est un essai pamphlétaire où en 8 chapitres, en me référant à mon expérience personnelle et aux expériences de ma famille, je décris avec beaucoup d'humour, les pratiques communautaristes et même souvent ségrégationnistes de la communauté blanche envers les Noirs français ou non Français, dans notre société française. Je suis un Homme Noir, né à Paris, né dans une famille martiniquaise installée à Paris depuis plus de 100 ans, depuis que mes grands-pères, mes grands-oncles qui ont fait la guerre de 1914/1918, décidèrent de rester en France continentale au lieu de retourner sur leur île natale. Dans cet essai pamphlétaire, j'évoque la nature du comportement communautariste, ségrégationniste de la communauté blanche française, j'en expose ses mécanismes et ses effets. Je décris comment, en toute impunité, cette société blanche française pratique son communautarisme et son ségrégationnisme racial clandestins dans lesquels elle enferme la communauté noire. Les discriminations raciales sont des pratiques très ordinaires, toute quotidienne, très courantes dans notre société, et dans ce livre, j'expose une réalité très différente de celles que nous racontent les contes de fées officiels d'une France qui serait soi-disant non raciste, très respectueuse des Droits de l'Homme et du Citoyen et des valeurs républicaines. Mon témoignage est un témoignage de ce que vivent les Noirs dans notre bonne société française, avec ses ségrégations, ses discriminations raciales ordinaires, pratiquées dans tous les secteurs de notre société, ségrégations clandestines, toutes systématiquement et très hypocritement dissimulées, et qui concernent le marché du travail, l'accession à des postes de responsabilités dans l'entreprise ou dans l'administration, les accès aux locations de logements, ou les interdictions d'entrer pratiquées dans la majorité des discothèques, de certains hôtels, campings ou autres restaurants. Le Défenseur des Droits, Jacques Toubon, nous confirme, qu'un jeune Noir en France, a 20 fois plus de risques de se faire arrêter par la police et la gendarmerie qu'un jeune Blanc. Tel est le propos et la tonalité de cet essai pamphlétaire que j'ai intitulé, "La Métropole : Le pays des Grands et Beaux Bwanas ! " ou "Comment combattre le communautarisme et le ségrégationnisme des Blancs en France". .

06/2021

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Moyen-Orient

Petit Futé Oman

Ce sultanat est un secret encore bien gardé, un bijou à l'écrin à peine entrouvert. Pourtant c'est peut être la plus attractive des destinations de la Péninsule Arabique. Tout d'abord pour son paysage pur et sans défaut. Dunes de sable ocre, plaines arides ou fertiles, plages de sable blanc, eau turquoise, falaise abrupte, wadi luxuriant, palmiers, cocotiers, encore ? Montagne déchiquetée, gorge profonde, village perché. Son peuple est d'une hospitalité séculaire, son histoire remonte aux temps où la Mésopotamie, l'Egypte et la Perse régnaient en maître sur terre, 3000 avant J-C. Enfin pour tout ce que le pays offre comme opportunités de découvertes, de rencontres et d'aventures. C'est un état en plein boom qui a connu en moins de 30 ans une avancée économique de plusieurs siècles. Un développement contrôlé depuis trois décennies par un sultan qui a su mettre a profit les richesses offertes par l'or noir et donné les clés de l'unification : un nom et un drapeau. Le pays a su garder toute son authenticité, rythmée par la cadence journalière des prières. Une religion omniprésente mais tolérante, l'ibadisme une branche du chiisme pour le pays le plus stable, ouvert et sûr de la région.

08/2023

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Moyen-Orient

Petit Futé Oman

Ce sultanat est un secret encore bien gardé, un bijou à l'écrin à peine entrouvert. Pourtant c'est peut être la plus attractive des destinations de la Péninsule Arabique. Tout d'abord pour son paysage pur et sans défaut. Dunes de sable ocre, plaines arides ou fertiles, plages de sable blanc, eau turquoise, falaise abrupte, wadi luxuriant, palmiers, cocotiers, encore ? Montagne déchiquetée, gorge profonde, village perché. Son peuple est d'une hospitalité séculaire, son histoire remonte aux temps où la Mésopotamie, l'Egypte et la Perse régnaient en maître sur terre, 3000 avant J-C. Enfin pour tout ce que le pays offre comme opportunités de découvertes, de rencontres et d'aventures. C'est un état en plein boom qui a connu en moins de 30 ans une avancée économique de plusieurs siècles. Un développement contrôlé depuis trois décennies par un sultan qui a su mettre a profit les richesses offertes par l'or noir et donné les clés de l'unification : un nom et un drapeau. Le pays a su garder toute son authenticité, rythmée par la cadence journalière des prières. Une religion omniprésente mais tolérante, l'ibadisme une branche du chiisme pour le pays le plus stable, ouvert et sûr de la région.

05/2021

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Bas Moyen Age (XIVe au XVe siè

Tannenberg

Dans l’esprit de L’Histoire en batailles, le grand médiéviste et le spécialiste en France des Chevaliers teutoniques, Sylvain Gouguenheim, nous raconte la bataille de Tannenberg du 15 juillet 1410, défaite qui sonna le prélude à la chute de l’Ordre Teutonique. En effet, il y a plus de 600 ans, s’est tenu au lieu dit Tannenberg, situé dans la partie nord-est de la Pologne, autrefois appelée Prusse orientale, une bataille voyant l’affrontement d’effectifs gigantesques pour l’époque et dont l’issue allait avoir des conséquences considérables pour les siècles à venir. Après nous avoir rappelé le conflit vieux de plus de deux siècles opposant les chevaliers teutoniques, portant manteau blanc avec une croix noire, et qui oeuvrèrent très tôt en Prusse et dans les pays Baltiques, et l’armée polonaise, à l’origine de cette bataille, Sylvain Gouguenheim nous en raconte l’étonnant déroulement. Durant plusieurs heures, son issue est incertaine : les chevaliers moins nombreux mais mieux entraînés ont longtemps l’initiative et la sensation de dominer, mais sans qu’à aucun moment leurs attaques soient absolument décisives. Les coalisés, éparpillés, finissent par se regrouper, encercler et avoir complètement le dessus sur les Chevaliers teutoniques dont le sort et définitivement scellé lorsque le Grand Maître Ulrich von Jungigen est tué. Finalement, le soir du 15 juillet 1410, certes au prix de pertes assez lourdes, c’est une victoire totale pour les armées slaves et baltes réunies. Immense, catastrophique défaite. L’Ordre teutonique ne s’en releva jamais et le fardeau financier des indemnités de guerre entraîna des tensions internes et une crise économique sur ses terres. L’Ordre, pour la première fois, signait un traité où il reconnaissait sa défaite. La nimbe de l’invincibilité avait disparu. Le choc de 7 heures dans la plaine de Grunwald avait changé bien des choses. Les contemporains le comprirent qui parlèrent tous de la « Grande bataille ».

04/2024

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Bas Moyen Age (XIVe au XVe siè

Tannenberg

Dans l’esprit de L’Histoire en batailles, le grand médiéviste et le spécialiste en France des Chevaliers teutoniques, Sylvain Gouguenheim, nous raconte la bataille de Tannenberg du 15 juillet 1410, défaite qui sonna le prélude à la chute de l’Ordre Teutonique. En effet, il y a plus de 600 ans, s’est tenu au lieu dit Tannenberg, situé dans la partie nord-est de la Pologne, autrefois appelée Prusse orientale, une bataille voyant l’affrontement d’effectifs gigantesques pour l’époque et dont l’issue allait avoir des conséquences considérables pour les siècles à venir. Après nous avoir rappelé le conflit vieux de plus de deux siècles opposant les chevaliers teutoniques, portant manteau blanc avec une croix noire, et qui oeuvrèrent très tôt en Prusse et dans les pays Baltiques, et l’armée polonaise, à l’origine de cette bataille, Sylvain Gouguenheim nous en raconte l’étonnant déroulement. Durant plusieurs heures, son issue est incertaine : les chevaliers moins nombreux mais mieux entraînés ont longtemps l’initiative et la sensation de dominer, mais sans qu’à aucun moment leurs attaques soient absolument décisives. Les coalisés, éparpillés, finissent par se regrouper, encercler et avoir complètement le dessus sur les Chevaliers teutoniques dont le sort et définitivement scellé lorsque le Grand Maître Ulrich von Jungigen est tué. Finalement, le soir du 15 juillet 1410, certes au prix de pertes assez lourdes, c’est une victoire totale pour les armées slaves et baltes réunies. Immense, catastrophique défaite. L’Ordre teutonique ne s’en releva jamais et le fardeau financier des indemnités de guerre entraîna des tensions internes et une crise économique sur ses terres. L’Ordre, pour la première fois, signait un traité où il reconnaissait sa défaite. La nimbe de l’invincibilité avait disparu. Le choc de 7 heures dans la plaine de Grunwald avait changé bien des choses. Les contemporains le comprirent qui parlèrent tous de la « Grande bataille ».

09/2012

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