Que serait notre monde sans la musique qui fait vibrer nos âmes et la littérature qui nourrit notre imagination ? Tels deux instruments de l'orchestre de l'expression artistique, résonnent chacun avec leur timbre propre. Dans cette liste d'ouvrages soigneusement sélectionnés, nous plongerons dans une symphonie littéraire où les mots dansent au son des mélodies.
Liberté d’expression, discrimination positive, morale : Vitaly Malkin décortique les grands enjeux de notre temps. Né en URSS, il a vécu mille vies : ingénieur, physicien, banquier, homme politique, philanthrope. Ici, il livre son regard lucide sur le monde et, indéniablement, vise juste !
Le poète Horace nous l’a dit voilà bien longtemps : « Nul ne peut se fuir soi, en quittant sa patrie. » On lui opposerait tout de même que les voyages forment la jeunesse et qu’il ne cause aucun tort de partir à la découverte du vaste monde. Quitte à n’y trouver que soi. Alors, justement, voici quelques titres sélectionnés pour les périples qu’ils proposent.
Morte en 1945 à Bergen-Belsen, Anne Frank a légué à l’humanité un journal devenu historique. Ce récit fait part des réflexions qui occupent la jeune adolescente, alors qu’elle est partie avec sa famille aux Pays-Bas, pour échapper aux nazis. Nous sommes en 1942, elle a 13 ans.
Devant les défis importants du domaine du livre, les experts et volontaires s'engagent activement. L'Agence coordonne les Rencontres régionales du livre et de la lecture dans la région des Hauts-de-France, un événement visant à collaborer pour façonner l'avenir du secteur et envisager des perspectives prometteuses.
Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.
Pédagogie
10/2017
Poésie
06/2019
Religion
11/2019
Monographies
CNLfeminisme – Qui habitait au XVIe siècle le château d'Anet ? Etait-ce la maîtresse de ce lieu idyllique, Diane de Poitiers, veuve de Louis de Brézé et favorite de Henri II, qui l'avait fait bâtir ? Ou n'était-ce pas plutôt une autre Diane, la chasseresse des Anciens, dont la superbe figure, d'un érotisme dérobé, coïncidait si bien avec celle de la favorite ?
C'est cette déesse vive et farouche qui apparaît en tout cas dans deux grands cycles narratifs du château celui d'une célèbre tenture de tapisseries et celui, fort peu conventionnel et totalement méconnu, des vitraux en émail blanc qui occupaient les fenêtres de l'appartement du souverain. Ce livre, qui conjugue les recherches d'historiens du dessin, de la littérature, de la peinture et du vitrail, s'attache à ces deux ensembles. Il les reconstitue, en examine les sources, en évalue la portée. Il révèle le programme des tapisseries, sonde sa maîtrise des humanités, prend en compte sa date plus précoce qu'on ne le pensait, 1547, et dévoile le nom de son auteur, le poète Jacques de Vintimille, habile précurseur de la Pléiade.
Il montre aussi que Charles Carmoy, peintre cité par Rabelais dans son Pantagruel, dut en donner les dessins et les cartons. A Anet, Carmoy a en outre secondé le plus grand peintre de l'école de Fontainebleau, Francesco Primaticcio, dit Primatice, pour établir les patrons des vitraux.
L'examen de toutes ces oeuvres signale que, dans les vitraux comme dans les tapisseries, le mythe de Diane prenait place au coeur d'un dispositif chiffré, héraldique, emblématique et poétique qui permettait à Diane de Poitiers de revêtir, au bénéfice de son roi, la panoplie esthétique et symbolique de la déesse.
11/2021
Littérature française
04/2015
Théâtre
01/2020