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Oswald Wirth

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Franc-maçonnerie

Les mystères de l'Art Royal

Dans Les Mystères de l'Art Royal, Oswald Wirth explore les symboliques et les enseignements ésotériques liés à la franc-maçonnerie, tout en offrant une perspective personnelle sur le rôle de l'initié dans la quête spirituelle. Wirth commence par examiner l'histoire de la franc-maçonnerie et ses origines présumées dans les guildes de constructeurs du Moyen Age. Il explore ensuite les symboles et les rituels maçonniques, les interprétant à la lumière de ses connaissances en occultisme, en kabbale et en alchimie. Au coeur de l'ouvrage se trouve la notion de l'art royal, qui représente la quête spirituelle de l'initié maçonnique. Wirth soutient que la franc-maçonnerie est une voie initiatique qui vise à élever l'individu vers la connaissance de soi et de la vérité universelle. Il aborde également des thèmes tels que la moralité, la fraternité et le développement personnel à travers le prisme de la franc-maçonnerie, ouvrant des perspectives sur la signification plus profonde de ces concepts dans la vie de l'initié.

10/2024

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Franc-maçonnerie

Les mystères de l'art royal

Oswald Wirth (1860-1943) exerça, de la fin du XIXe siècle jusqu’à sa mort, un véritable magistère moral sur la Franc-Maçonnerie française. Par ses ouvrages et par la revue Le Symbolisme qu’il créa et anima, il contribua largement à rendre à la Maçonnerie sa dimension spiritualiste et symbolique, largement abandonnée au cours du XIXe siècle au profit de combats politiques. Par sa personnalité et son aura, il inspira à Jules Romain le personnage du Franc-Maçon Lengnau dans Recherche d’une Eglise (tome 7 de Les Hommes de bonne Volonté). Initié en janvier 1884 dans une Loge de Châlons-sur-Marne durant son service militaire, il quitta le Grand Orient de France pour rejoindre la Grande Loge de France peu après son installation à Paris. Secrétaire de Stanislas de Guaïta (1861-1897) écrivain et poète que son ami Maurice Barrès qualifia de rénovateur de l’occultisme, il lui devait, de son propre aveu, d’écrire lisiblement. Même s’il dénonçait ce qu’il nommait le bas occultisme, Wirth (qui était magnétiseur) nourrit une partie de sa réflexion symbolique d’apports hermétiques. Bien que cette partie de son oeuvre soit à prendre avec précaution, la lecture des ouvrages d’Oswald Wirth est toujours passionnante et enrichissante.

12/2019

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Esotérisme

Les Mystères de l'art royal

Oswald Wirth (1860-1943) exerça, de la fin du XIXe siècle jusqu’à sa mort, un véritable magistère moral sur la Franc-Maçonnerie française. Par ses ouvrages et par la revue Le Symbolisme qu’il créa et anima, il contribua largement à rendre à la Maçonnerie sa dimension spiritualiste et symbolique, largement abandonnée au cours du XIXe siècle au profit de combats politiques. Par sa personnalité et son aura, il inspira à Jules Romain le personnage du Franc-Maçon Lengnau dans Recherche d’une Eglise (tome 7 de Les Hommes de bonne Volonté). Initié en janvier 1884 dans une Loge de Châlons-sur-Marne durant son service militaire, il quitta le Grand Orient de France pour rejoindre la Grande Loge de France peu après son installation à Paris. Secrétaire de Stanislas de Guaïta (1861-1897) écrivain et poète que son ami Maurice Barrès qualifia de rénovateur de l’occultisme, il lui devait, de son propre aveu, d’écrire lisiblement. Même s’il dénonçait ce qu’il nommait le bas occultisme, Wirth (qui était magnétiseur) nourrit une partie de sa réflexion symbolique d’apports hermétiques. Bien que cette partie de son oeuvre soit à prendre avec précaution, la lecture des ouvrages d’Oswald Wirth est toujours passionnante et enrichissante.

01/1996

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Esotérisme

Les mystères de l'art royal

Oswald Wirth (1860-1943) exerça, de la fin du XIXe siècle jusqu’à sa mort, un véritable magistère moral sur la Franc-Maçonnerie française. Par ses ouvrages et par la revue Le Symbolisme qu’il créa et anima, il contribua largement à rendre à la Maçonnerie sa dimension spiritualiste et symbolique, largement abandonnée au cours du XIXe siècle au profit de combats politiques. Par sa personnalité et son aura, il inspira à Jules Romain le personnage du Franc-Maçon Lengnau dans Recherche d’une Eglise (tome 7 de Les Hommes de bonne Volonté). Initié en janvier 1884 dans une Loge de Châlons-sur-Marne durant son service militaire, il quitta le Grand Orient de France pour rejoindre la Grande Loge de France peu après son installation à Paris. Secrétaire de Stanislas de Guaïta (1861-1897) écrivain et poète que son ami Maurice Barrès qualifia de rénovateur de l’occultisme, il lui devait, de son propre aveu, d’écrire lisiblement. Même s’il dénonçait ce qu’il nommait le bas occultisme, Wirth (qui était magnétiseur) nourrit une partie de sa réflexion symbolique d’apports hermétiques. Bien que cette partie de son oeuvre soit à prendre avec précaution, la lecture des ouvrages d’Oswald Wirth est toujours passionnante et enrichissante.

01/1990

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Franc-maçonnerie

Les Mystères de l'art royal

L'art Royal désigne le savoir et la connaissance, c'est aussi l'art de la construction par excellence puisque le but est d'établir le temple, demeure de la divinité. L'Art Royal est donc avant tout un art, c'est à dire un savoir-faire, une mise en œuvre, une pratique, non pas une théorie. Il est lié à la vie même, à la fonction humaine, au devoir d'être humain. C'est la première constatation, la première certitude. La seconde a trait à l'oeuvre, au chef-d'oeuvre. La caractéristique du chef-d'oeuvre, c'est d'aller au-delà de la simple fonctionnalité, d'être un ouvrage de transcendance, d'oeuvrer vers quelque chose de plus que l'objet dans sa seule fonction usuelle. L'Art Royal nécessite au moins deux conditions : premièrement, la pratique d'un savoir-faire spécifique, adaptée à chaque forme particulière; secondement, la capacité d'une transcendance liée à cette pratique. Mais de quelle pratique et de quelle transcendance parlons-nous ? Tout le monde n'est pas artiste, l'Art Royal est-il réservé à une élite ? La pratique de l'Art Royal sollicite la présence de l'homme, de l'être humain dans sa totalité, être de chair certes, mais être spirituel, l'un et l'autre formant ensemble une présence. Cette pratique exige de l'être un engagement sincère, une quête sans tricherie en vue de son accomplissement. C'est ce que l'auteur appel démarche initiatique et qu'il tente de nous expliquer dans ce livre. Au XVIIIe siècle l'Art Royal est devenu l'ensemble des connaissances symboliques contenues dans l'enseignement maçonnique. L'initié devient un Maître, un roi.

09/2012

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L'occultime vécu, Stanislas de Guaita

Oswald Wirth (1860-1943) exerça, de la fin du XIXe siècle jusqu'à sa mort, un véritable magistère moral sur la Franc-Maçonnerie française. Par ses ouvrages et par la revue Le Symbolisme qu'il créa et anima, il contribua largement à rendre à la Maçonnerie sa dimension spiritualiste et symbolique, largement abandonnée au cours du XIXe siècle au profit de combats politiques. Par sa personnalité et son aura, il inspira à Jules Romain le personnage du Franc-Maçon Lengnau dans Recherche d'une Eglise (tome 7 de Les Hommes de bonne Volonté). Initié en janvier 1884 dans une Loge de Châlons-sur-Marne durant son service militaire, il quitta le Grand Orient de France pour rejoindre la Grande Loge de France peu après son installation à Paris. Secrétaire de Stanislas de Guaïta (1861-1897) écrivain et poète que son ami Maurice Barrès qualifia de " rénovateur de l'occultisme ", il lui devait, de son propre aveu, " d'écrire lisiblement ". Même s'il dénonçait ce qu'il nommait " le bas occultisme ", Wirth (qui était magnétiseur) nourrit une partie de sa réflexion symbolique d'apports hermétiques.

02/2021

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