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Romans noirs

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La noirceur de son âme ne fait aucun doute depuis qu'un corps de femme massacré a été découvert. Bélony et Dalençon voient ce meurtrier leur glisser entre les doigts, crime après crime. Le capitaine Jacques Belony, "vieux flic de la Criminelle" vient de perdre sa femme et sa fille dans un accident de voiture tandis que Marie Dalençon, sa jeune collègue, subit les tourmentes de relations amoureuses chaotiques.

03/2020

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Orphelines

Une ambiance pesante et morose s'est installée sur la ville. Un criminel tapi dans l'ombre observe et s'amuse avec les deux flics qui le poursuivent. La noirceur de son âme ne fait aucun doute depuis qu'un corps de femme massacré a été découvert... Crime après crime, Bélony et Dalençon voient ce meurtrier leur glisser entre les doigts. Le capitaine Jacques Bélony, "vieux flic de la Criminelle", vient de perdre sa femme et sa fille dans un accident de voiture, tandis que Marie Dalençon, sa jeune collègue, subit les tourments de relations amoureuses chaotiques. Mais ils doivent coûte que coûte arrêter ce meurtrier qui s'attaque à des femmes isolées...

03/2021

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Orphelines

"Une ambiance sombre et pesante s'est installée dans la ville. Un criminel tapi dans l'ombre observe et s'amuse avec deux flics qui le poursuivent. Crime après crime, Bélony et Dalençon voient ce meurtrier leur glisser entre les doigts. La noirceur de son âme ne fait aucun doute depuis qu'un corps de femme massacré a été découvert..."

09/2021

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Les orphelines

Découvrez la première partie .d'un nouveau crossover situé entre L'Empire Contre-Attaque et Le Retour du Jedi. Au programme des retrouvailles avec vos personnages préférés, des coupa de théâtre, des prouesses de la Force insoupçonnées et une aventure se déroulant dans les méandres les plus obscures de Star Wars, jusqu'au Palais Impérial de Coruscant.

06/2022

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Les deux orphelines

Vers la fin du règne de Louis XV, à l'époque où le successeur de Louis le Grand en était à se défendre, et à se mal défendre, d'autoriser le pacte de famine en se faisant lui-même accapareur de grains, une grande misère désolait la France. L'hiver vint l'augmenter encore, un hiver d'une violence rare dans nos climats, mais qui, malheureusement, devait se reproduire quelques années plus tard et amener les plus terribles désastres. L'inquiétude, disons mieux, une sorte de terreur régnait partout. Paris lui-même, ce Paris d'ordinaire si animé, si vivant, ce centre de l'activité, du travail et des plaisirs sous toutes les formes les plus brillantes, Paris avait pris un aspect lamentable. La nuit venue, toutes les lumières s'éteignaient, il se faisait un silence lugubre. Paris semblait une ville morte. Dans une vieille maison de la rue de la Mortellerie, qui était alors une des plus sombres et des plus anciennes rues du vieux Paris, au sixième étage, sous les toits, vivait un ménage d'ouvrier, bien heureux d'avoir trouvé à se loger pour trente écus par an ; les loyers étaient déjà si chers ! Certes, l'installation n'était pas somptueuse ; une toute petite mansarde, des murs blanchis à la chaux, un plafond que l'on touchait facilement de la main, pas de cheminée et, comme fenêtre, une espèce de lucarne si étroite que, pour respirer un peu d'air frais, ou profiter d'un rayon de soleil, il fallait, si l'on était deux, se prendre par la taille et se serrer l'un contre l'autre. Les deux jeunes époux qui habitaient cette mansarde ne voyaient aucun inconvénient à cela, pas plus qu'ils ne se plaignaient, en quittant la rue pour rentrer chez eux, d'avoir à parcourir, bras dessus, bras dessous, une allée basse, humide, et de grimper un sombre escalier tournant, à peine éclairé à chaque étage par un oeil- de-boeuf qui donnait sur la cour, si l'on peut appeler ainsi une espèce de puits empoisonné par les eaux ménagères que l'on jetait du matin au soir.

02/2023

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Les deux orphelines

Vers la fin du règne de Louis XV, à l'époque où le successeur de Louis le Grand en était à se défendre, et à se mal défendre, d'autoriser le pacte de famine en se faisant lui-même accapareur de grains, une grande misère désolait la France. L'hiver vint l'augmenter encore, un hiver d'une violence rare dans nos climats, mais qui, malheureusement, devait se reproduire quelques années plus tard et amener les plus terribles désastres. L'inquiétude, disons mieux, une sorte de terreur régnait partout. Paris lui-même, ce Paris d'ordinaire si animé, si vivant, ce centre de l'activité, du travail et des plaisirs sous toutes les formes les plus brillantes, Paris avait pris un aspect lamentable. La nuit venue, toutes les lumières s'éteignaient, il se faisait un silence lugubre. Paris semblait une ville morte. Dans une vieille maison de la rue de la Mortellerie, qui était alors une des plus sombres et des plus anciennes rues du vieux Paris, au sixième étage, sous les toits, vivait un ménage d'ouvrier, bien heureux d'avoir trouvé à se loger pour trente écus par an ; les loyers étaient déjà si chers ! Certes, l'installation n'était pas somptueuse ; une toute petite mansarde, des murs blanchis à la chaux, un plafond que l'on touchait facilement de la main, pas de cheminée et, comme fenêtre, une espèce de lucarne si étroite que, pour respirer un peu d'air frais, ou profiter d'un rayon de soleil, il fallait, si l'on était deux, se prendre par la taille et se serrer l'un contre l'autre. Les deux jeunes époux qui habitaient cette mansarde ne voyaient aucun inconvénient à cela, pas plus qu'ils ne se plaignaient, en quittant la rue pour rentrer chez eux, d'avoir à parcourir, bras dessus, bras dessous, une allée basse, humide, et de grimper un sombre escalier tournant, à peine éclairé à chaque étage par un oeil- de-boeuf qui donnait sur la cour, si l'on peut appeler ainsi une espèce de puits empoisonné par les eaux ménagères que l'on jetait du matin au soir.

02/2023

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