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Onze généraux alsaciens et Vichy. Brécard, Dentz, Frère, Koeltz, de Lattre de Tassigny, Mittelhauser, Stehlin, Touzet du Vigier, Weygand, Zeller

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États généraux des Festivals et des Salons du livre

Les 16 et 17 mars 2023, à la Maison de la Poésie, se tiendront nombre de débats organisés par La Sofia. Au cœur des échanges, la vie, l’organisation et les problématiques que rencontrent les événements littéraires en France. Deux journées dont les débats sont à réécouter, en intégralité.

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Le corps et l'esprit : deux frères jumeaux

« Il y a plus de raison dans ton corps que dans ta meilleure sagesse », disait Nietzsche, ajoutant une autre fois que les Grecs étaient superficiels par profondeur. Le corps, ce véhicule de l’esprit, ou l’inverse, n’est-il pas notre bien le précieux ? Quelle place tient-il dans notre personnalité ? N’est-il pas la seule justification de nos pensées ? Nietzsche le pensait. L’organisme malade, détendu, étiré, libéré ou contraint, voilà des sujets pour la littérature et l’essai.

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Dossier

La Lettre Zola : entre tradition et innovation

Dans le paysage médiatique contemporain, où l'information est souvent consommée rapidement et en surface, La Lettre Zola offre une bouffée d'air frais. C'est une aventure littéraire qui se tient à la frontière entre tradition et innovation, offrant une nouvelle voie pour la littérature dans notre société numérique. Pour ceux qui souhaitent soutenir ce projet, les précommandes sont disponibles avec une livraison estimée pour janvier 2024.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Antoine de Saint-Exupéry

Né le 29 juin 1900 à Lyon, Antoine de Saint-Exupéry reste l'homme du Petit Prince pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Publié en 1943 à New York avant de ne l'être que 2 ans plus tard par Gallimard en France, après la mort de son auteur, ce conte féérique et philosophique fait depuis partie des ouvrages français les plus célèbres à l'international.

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Livres, actualités : tout sur Guy de Maupassant

Sombrant dans la folie alors qu’il n’avait qu’une quarantaine d’années, Guy de Maupassant meurt à 43 ans, ne lègue au patrimoine littéraire français qu’une décennie d’œuvres. Mais quelles œuvres ! En quelques pages, Maupassant parvient à mêler ce pessimisme caractéristique, un réalisme prégnant et une dose de fantastique qui fera sa marque. 

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Histoire de France

Onze généraux alsaciens et Vichy. Brécard, Dentz, Frère, Koeltz, de Lattre de Tassigny, Mittelhauser, Stehlin, Touzet du Vigier, Weygand, Zeller

Ces onze généraux d'Alsace ont joué, par fidélité au maréchal Pétain, un rôle plus ou moins important dans le gouvernement de Vichy. Les uns - on les reconnaîtra à leur patronyme - sont d'origine alsacienne, nés en Alsace ou fils d'optants. Les autres avaient été nommés avant 1939 aux prestigieuses fonctions de gouverneur militaire de Strasbourg en raison de leurs glorieux états de service pendant la Grande Guerre et de leur magnifique prestance de soldat. Touzet du Vigier, le dernier de ceux-là, a même fait l'inverse : il a d'abord été à l'état-major de l'Armée de l'armistice à Vichy, où il préparait secrètement la revanche, avant de commander la 1ere DB de de Lattre de Tassigny et d'être nommé par de Gaulle 1er gouverneur militaire de Strasbourg à la Libération. Qui peut oser dire que ces généraux ont trahi ? Ils ont surtout été des militaires battus, tendus, comme d'autres et à leur manière, vers la revanche. Et jetés par le destin sur les trajectoires les plus inattendues et les plus dissemblables. Jean Claude Streicher a reconstitué leur carrière à partir de leur dossier militaire, de la presse et d'une énorme quantité de mémoires et d'ouvrages militaires. Jamais, leur parcours n'a été traité sous cet angle, ni surtout avec un tel luxe de détails et de références. Quatre morceaux de bravoure s'en dégagent nettement : Dentz, Héring, Brécard et Frère.

04/2014

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Militaire

Histoire de la 1re armée française

70 ans après la capitulation des Allemands, le récit de l'ancien commandant en chef de la Première armée française est essentiel pour comprendre la part militaire prise par la France à la victoire des alliés en Europe, des plages de la Provence jusqu'en Bavière et en Autriche. La Première Armée a pour particularité de réaliser l'amalgame entre les unités débarquées d'Afrique et d'Italie et quelque 130 000 FFI qui se sont joints au combat pour la libération de l'Europe. De Lattre, né en février 1889, est lieutenant de cavalerie pendant la Première guerre mondiale. Dans l'entre-deux-guerres, il devient le plus jeune colonel, puis le plus jeune général de l'armée française. En 1940, il bat les allemands à Rethel. Arrêté et condamné à 10 ans de prison, il s'évade en 1943 et rejoint l'Algérie où il prend le commandement de la Première armée. Il s'empare d'Elbe et débarque en Provence en août 1944. La Première armée libère 25 départements et sauve la ville de Strasbourg. Le 8 mai 1945 à Berlin, Jean de Lattre signe au nom de la France l'acte de capitulation de l'Allemagne. En 1949, il est le premier Commandant en chef des armées de Terre d'Europe occidentale. En 1950, il est nommé Haut-Commissaire de France en Indochine. Il meurt en janvier 1952. Cette histoire est enrichie par les souvenirs et archives personnelles du grand chef militaire. Un grand classique qui garde toute sa force et sa valeur historique.

02/2024

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Histoire de France

Ces Alsaciens qui ont infiltré Vichy

Les ouvrages historiques n'ont pas manqué sur la brutalité de l'annexion de l'Alsace-Lorraine par le Ille Reich, le drame des Malgré-nous, le Struthof, la Résistance alsacienne, les combats de la Libération, les compromissions des "autonomistes"... Avec cet ouvrage, Jean-Claude Streicher revient une nouvelle fois sur l'autre versant de cette période, très, très rarement abordé : la relation alsacienne avec l'Etat français et Vichy. Elle avait une importance qu'on n'imagine pas. Le 1er octobre 1943, la direction vichyssoise des réfugiés avait en effet estimé à 142 472 le nombre des Alsaciens et Lorrains réfugiés en zone sud, à 24 659 ceux de la zone nord. Il s'y ajoutait 50 à 60 000 évacués de septembre 1939 non rentrés en Alsace ; plus 45 à 50 000 expulsés alsaciens et 90 000 expulsés de Moselle. Soit au total de 352 135 à 367 135 personnes pour les trois départements. Dix parlementaires alsaciens, sur les 16 qui avaient voté le 10 juillet 19401es pleins pouvoirs constitutionnels à Pétain, étaient de plus restés en zone libre. Cette diaspora a continué de profiter des institutions mises en place par la Ille République lors de l'évacuation de septembre 1939. Elle avait des intérêts matériels à défendre et vivait de l'espoir de revenir dans ses foyers libérés des Allemands. Espoir que les autorités vichyssoises ne négligeait pas d'entretenir, mais le plus discrètement possible, afin de ne pas réveiller la fureur de l'occupant. Ces intérêts matériels et moraux avaient leurs défenseurs - Alsaciens - à la périphérie et jusque dans le coeur de l'appareil d'Etat pétainiste. Ce livre remonte patiemment le fil de ces réseaux d'influence que le régime ne traquait pas, bien au contraire, puisqu'il tenait à leur marquer sa fidélité française. On découvre ainsi que ceux qui purent se hisser aux plus hautes fonctions (chefs de cabinet, de services ou préfets...) se connaissaient dès avant la guerre, notamment pour avoir combattu ensemble en Alsace par la presse et l'action politique l'autonomisme, le communisme et la germanophilie. Ils étaient maréchalistes avant l'heure, catholiques nationaux, Engagés volontaires de la Grande Guerre, Action française, Camelots du roi ou Cagoulards... Mais nullement collaborationnistes, façon Darnand, Déat ou Doriot. La grande révélation de cet ouvrage est que le concepteur de la francisque gallique, le capitaine Robert Ehret, était lui-même d'origine alsacienne, preuve généalogique à l'appui. C'est aussi le premier travail à apporter toute la lumière sur les déplacements très controversés à Vichy du député clérical autonomiste de Colmar, Joseph Rossé. Il éclaire par ailleurs des figures moins pétainistes (Alfred Gaessler, Schiesslé, Eugène Schueller...) pour mieux faire ressortir la diversité des engagements de ce temps. Marc Bloch, François-Georges Dreyfus, René Hirschler et Isaïe Schwartz, enfin, illustrent, le cas bien plus tragique des Juifs d'Alsace qui ont eux aussi été en contact direct avec l'Etat vichyssois, le dernier d'entre eux, grand rabbin de France, ayant même eu deux entretiens avec le Maréchal pour tenter de freiner Ies persécutions Comme à son habitude, Jean-Claude Streicher réalise ici un travail pionnier, factuel, très documenté, bien sourcé, se gardant de toute extrapolation à prétention psycho-psychanalytique.

10/2018

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Histoire de France

Le général Huntziger. L'"Alsacien" du maréchal Pétain

Né en Bretagne d'un Optant de Guebwiller, le général Charles Huntziger (1880-1941) o tenu les seconds rôles les plus ingrats de la grande histoire. Début septembre 1939, le général Gamelin lui confie le commandement de la IIe armée, à la charnière de Sedan. A la mi-mai 1940, il subit donc de plein fouet l'assaut des Panzer de Guderian et partage, avec le général Corap, la responsabilité du désastre. Avait-il mal préparé son secteur ? En eut-il seulement les moyens ? Les communistes en tout cas vont l'accuser de s'être reculé exprès par vengeance du Front Populaire. Il avait pourtant pu reformer une seconde ligne de front sur les hauteurs de Stonne. La bataille y dura une douzaine de jours et passe pour le "Verdun de 40". Impressionné par son sang-froid, le général de Gaulle insiste le 11 juin pour le nommer à la place du généralissime Weygand et continuer la guerre outre-Mer. Mais sans suite... Lorsque le gouvernement de Bordeaux demanda aux Allemands à connaître leurs conditions d'armistice, Huntziger est le seul joignable des généraux de corps d'armée. C'est donc lui "l'Alsacien" qui est envoyé à Rethondes et à Rome pour signer l'arrêt des combats. Puis, dès son retour, Pétain et Weygand lui confient la présidence de la délégation française à la Commission d'armistice de Wiesbaden, où il s'agissait d'empêcher tout empiétement supplémentaire. A Vichy, il peut alors s'appuyer sur une Direction des services de l'armistice dirigée par un autre Alsacien, le général Koeltz. Ensemble, ils élaborent la première protestation d'ensemble du 3 septembre 1940 contre l'annexion de fait des départements du Rhin et de la Moselle. Trois jours après, Huntziger remplace Weygand comme ministre secrétaire d'Etat à la guerre et commandant en chef des forces terrestres. Il réorganise alors l'Armée de l'armistice suivant ses consignes secrètes pour en faire une armée nouvelle, de métier, auxiliaire des Alliés dès leur débarquement. Il joue le double jeu avec Londres, mais trouve la mort en avion le 12 novembre 1941 en rentrant d'Afrique du nord. Mélomane, catholique fervent, très Action française, peut-être affilié à la Cagoule militaire, il est le seul "Alsacien" à qui la France ait réservé, à Vichy de surcroît, des obsèques nationales.

05/2014

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Ouvrages généraux et thématiqu

Weygand. L'intransigeant

Ayant joué un rôle majeur lors des deux guerres mondiales, Maxime Weygand (1867-1965) est l'un des plus célèbres généraux français. Partisan de l'armistice en 1940 et refusant de se rallier à de Gaulle, il est accusé de haute trahison en 1945. Max Schiavon dresse le vivant portrait de cette figure aussi admirée que controversée. Brillant officier de cavalerie, Weygand devient le bras droit de Foch pendant la Première Guerre mondiale, avant d'arrêter l'Armée rouge qui envahit la Pologne en 1920. En 1940, commandant en chef de l'armée, il prône l'armistice puis prépare secrètement la reprise du combat. Arrêté par la Gestapo en 1942 et déporté, il est placé en détention à la Libération, mais bénéficie d'un non-lieu en 1948. Grâce à de nouvelles archives, l'auteur livre la biographie la plus aboutie de ce mythe de l'histoire militaire française.

11/2023

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Histoire de France

Weygand. L'intransigeant

Que n'a-t-on écrit sur Maxime Weygand (1867-1965)? Ayant joué un rôle majeur lors des deux guerres mondiales, c'est l'un des plus célèbres généraux français. Partisan de l'armistice en 1940 et refusant de se rallier à de Gaulle, il est accusé de haute trahison en 1945. Max Schiavon dresse aujourd'hui le vivant portrait de cette figure militaire et politique aussi admirée que controversée. Né à Bruxelles de parents inconnus, les origines de Weygand sont nimbées de mystères : il aurait été en réalité l'enfant naturel du roi des Belges, Léopold Il, ou de l'empereur du Mexique Maximilien, voire de Charlotte, son épouse. Brillant officier de cavalerie, il devient le bras droit de Foch durant la Première Guerre mondiale, puis arrête l'Armée rouge qui envahit la Pologne en 1920. Chef de l'armée de 1931 à 1935, il accélère la motorisation et crée la première division blindée au monde. En mai 1940, aux heures les plus sombres, Paul Reynaud le nomme commandant en chef de l'armée en remplacement de Gamelin limogé. Ne parvenant pas à redresser la situation, il prône l'armistice. Ministre de la Défense nationale, puis Délégué général du gouvernement en Afrique, il prépare secrètement la reprise du combat. Arrêté par la Gestapo en novembre 1942 et déporté, il est placé en détention à la Libération mais bénéficie d'un non-lieu en 1948. Membre de l'Académie française, Weygand meurt presque centenaire. Une foule immense vient lui rendre hommage lors de ses obsèques. Grâce à de nouvelles archives, Max Schiavon nous livre aujourd'hui la biographie la plus aboutie d'un des mythes de l'histoire militaire de la France au XXe siècle.

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