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Niccolo Ammaniti

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Littérature étrangère

Comme dieu le veut

Rino Zena et son fils Cristiano vivent ensemble dans une plaine désolée. Les services sociaux menacent le père, chômeur alcoolique et nazi, de lui retirer la garde de ce fils qu'il éduque par la terreur, malgré l'amour viscéral qu'il lui porte. Accrochés l'un à l'autre, ils survivent dans une sorte de dignité dénaturée. Avec ses deux étranges amis, le père décide d'améliorer leur existence misérable en préparant un casse. Cette nuit-là, la pluie, les crues du fleuve et les torrents de boue balaient tout sur leur passage. De cette tempête apocalyptique et meurtrière émerge la figure lumineuse d'une jeune victime expiatoire, qui va changer à jamais le destin de chacun... Comme dieu le veut. Ammaniti dépeint une Italie ravagée par la vulgarité et l'abrutissement consumériste. La férocité des exclus y explose de manière dévastatrice, mais la tendresse de l'auteur envers ses personnages paumés et déchus imprègne d'une troublante humanité ce grand roman où cohabitent horreur et humour désenchanté.

09/2008

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Littérature étrangère

Anna

Sicile, 2020. Un virus mortel, "la Rouge", a déferlé sur l'Europe quatre ans auparavant et décimé la population adulte ; les jeunes, eux, sont protégés jusqu'à l'âge de la puberté. Anna se retrouve seule avec Astor, son petit frère de quatre ans. Elle doit affronter le monde extérieur avec ses cadavres, ses charognards, ses chiens errants et affamés, l'odeur pestilentielle, pour trouver, quand il en reste, des médicaments, des bougies, des piles, des boîtes de conserve, avec comme unique guide dans cette lutte pour la survie, le cahier d'instructions que lui a légué leur mère avant d'être emportée par la maladie. Lorsqu'Astor disparaît, Anna part à sa recherche, prête à défier les bandes d'enfants sauvages qui errent à travers les rues désertes, les centres commerciaux et les bois. Mais l'ordre appartient au passé et les règles d'autrefois ont été oubliées. Pour réussir à sauver Astor, Anna va devoir en inventer de nouvelles, parcourant ce monde à l'abandon où la nature a repris ses droits, ne laissant que les vestiges d'une civilisation qui a couru à sa propre perte. Une véritable odyssée des temps modernes où s'entremêlent lumière et ténèbres, un duel permanent entre la vie et la mort.

09/2016

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Poches Littérature internation

Moi et toi

Depuis toujours, Lorenzo est l'un de ces enfants que l'on dit "différent". Selon son psychiatre, il souffre d'un sentiment hypertrophique de soi, un "ego grandiose". Conséquence logique : il est en perpétuelle inadéquation avec le monde. Les années passant, de peur de chagriner sa maman, Lorenzo choisit la fiction. A quatorze ans, il fait semblant d'avoir des amis et de s'intégrer. Le jour où il monte un stratagème pour faire croire qu'il a été invité à skier avec des camarades de classe, il vise au pur chef-d'oeuvre mythomane. L'idée : s'offrir une retraite clandestine dans une cave, avec stock de livres et de provisions. Il est cependant loin d'imaginer qu'une demi-soeur inconnue va bousculer tous ses plans.

02/2016

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Poches Littérature internation

Je n'ai pas peur

Je n'ai pas peur est le récit touchant de l'amitié qui lie deux enfants, alors que le premier découvre le deuxième dans un abri abndonné, gardé comme une bête sauvage en captivité… Le best seller qui a fait connaître Niccolò Ammaniti.

12/2014

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Poches Littérature internation

Et je t'emmène

Ischiano, patelin de Toscane, de nos jours. Le théâtre de deux histoires d'amour. Pietro sort à peine de l'enfance et déjà l'amour et la violence du monde lui tombent dessus. Il a des parents absents, des camarades jaloux de son amitié avec la belle Gloria, fille de banquier et collégienne décomplexée. Depuis l'enfance c'est sa meilleure amie, à lui, le timide de la classe. Pietro n'a qu'une hâte dans la vie : échapper dès que possible au destin de berger toscan que son père a prévu pour lui, une perspective terrifiante pour cet enfant doué et imaginatif… Graziano est né à Ischiano il y a maintenant quarante-quatre ans. Après des années de vie dissolue dans les clubs de Rome, il rentre au pays pour se ranger. C'est un playboy désenchanté, un homme dur en apparence qui dissimule un cœur d'artichaut. Sa dernière conquête l'abandonne alors qu'il annonce leur mariage à sa mère. Flora est la professeure d'italien du collège d'Ischiano. C'est une jeune femme fragile et introvertie. Malgré le fort contraste qu'offre leur couple, elle tombe amoureuse de Graziano. Mais l'amour peut-il exister dans ce monde terne, habité par la trivialité et la violence ? La fatalité, incarnée dans la chaleur, les moustiques et les tempêtes de pluie de la Toscane, n'aura-t-elle pas raison de tous ? C'est la question lancinante qui court dans ce roman fiévreux, à l'écriture enlevée, à la langue crue, que la traduction de Myriem Bouzaher restitue avec art. Et je t'emmène est peut-être le plus beau et le plus dur des romans d'Ammaniti. Une foule de personnages truculents peuple cette comédie tourbillonnante, qui nous mène du burlesque au drame. Des « imbéciles », des « cons »… : les anti-héros d'une comédie humaine caractéristique du courant littéraire des « cannibales ».

05/2015

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Littérature Italienne

Anna

Sicile, 2020. Un virus mortel, la "Rouge" , a déferlé sur l'Europe et a décimé toute la population adulte. Anna se retrouve alors seule avec Astor, son petit frère de huit ans. Pour le protéger, elle est contrainte d'affronter le monde extérieur avec ses cadavres, ses charognards, ses chiens errants et affamés, son odeur pestilentielle. Lorsque Astor disparaît, elle part à sa recherche, prête à défier les bandes d'enfants sauvages. Mais les règles d'autrefois ont été oubliées. Anna parcourt ce monde à l'abandon où la nature a repris ses droits, ne laissant que les vestiges d'une civilisation qui a couru à sa propre perte. Un texte fort, immersif, poignant. D'un rythme soutenu et peuplé de personnages attachants, il mène une réflexion remarquable sur la transmission, la fraternité, et notre capacité à espérer coûte que coûte. Page des libraires. Il n'y a rien de désespéré dans ce beau roman, qu'il ne faut surtout pas réduire à son sujet, postapocalyptique. Le Figaro littéraire. Traduit de l'italien par Myriem Bouzaher.

11/2021

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