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Mythes et contes de Madagascar. (Tañala de l'Ikongo) L'empreinte du rêve

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Dossier

6 mythes sur l'environnement et l'écologie déconstruits

Tout le monde est vert ! De Justin Trudeau à Jeff Bezos, en passant par Coca-Cola et même Total ! L’écologie devient le nouveau sens commun. Ne devrait-on pas s’en réjouir ? Oui, et... non. Frédéric Legault, Arnaud Theurillat-Cloutier et Alain Savard publient Pour une écologie du 99%. 20 mythes à déboulonner sur le capitalisme. Un ouvrage salutaire, qui aborde les plus grandes fake news en la matière. A mettre entre toutes les mains. 

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Dossier

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe est organisé chaque année par le SLAM, Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne, sous la verrière du Grand Palais, à Paris. L'événement attire environ 160 exposants, libraires, galeries d’estampes et de dessins de 12 pays différents, dont une soixantaine de libraires venus de l'étranger.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Dossier

Le métier d'éditeur : mythes et légendes au pays des histoires

Comment l’industrie qui vend des romans, des albums, des récits fantastiques, terrifiants, pourrait échapper à faire elle-même l’objet d’histoires ? Pas la Grande Histoire Littéraire, que l’on invoque avec des majuscules, non. Celle des rumeurs, du qu’en-dira-t-on, entre bruits de couloirs et légendes urbaines.

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Dossier

Les Contes des coeurs perdus

Les Contes des cœurs perdus est une collection enchanteresse créée par le scénariste Loïc Clément, dans un univers mélangeant réalité et fantastique.

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Dossier

L'intelligence artificielle au service du livre et de la lecture

On ignore si l’intelligence artificielle décidera d’écrire Guerre et Paix ou Les Misérables, mais les scientifiques y travaillent d’arrache-pied. L’évolution du livre et de l’édition passera par les travaux de chercheurs, qui demandent) des robots d’engloutir des livres... pour écrire de nouvelles histoires.

Extraits

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Ethnologie et anthropologie

Mythes et contes de Madagascar. (Tañala de l'Ikongo) L'empreinte du rêve

Voyages dans le temps et dans l'imaginaire, entre réalité et rêve, mythes et contes explorent les désirs et les angoisses de l'homme et de la société qui transmet ces récits. A la suite de Mythe et société à Madagascar (1991), Philippe Beaujard poursuit ici l'étude des rapports complexes qu'entretiennent mythes ou contes, rituels et organisation sociale. Il présente et analyse vingt récits recueillis dans le Sud-Est de Madagascar, dans une perspective comparatiste prenant en compte d'autres textes, malgaches et étrangers. Enracinés dans l'espace social des "gens de la forêt" (Tanala), reflets de la pensée et de l'inconscient des conteurs, ces récits expriment également des universaux. Ils révèlent en même temps la complexité des héritages malgaches, résultant d'une histoire inscrite dans les échanges de l'océan Indien et marquée par l'influence de l'Europe.

01/2022

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Tourisme étranger

Rêve de Madagascar

Dans un manuscrit laissé sous une stèle de Fort-Dauphin en 1653, Etienne de Flacourt met en garde les étrangers contre les autochtones de Madagascar en écrivant : " Prends garde, étranger. Ne fais pas confiance aux habitants de cette île, leurs flatteries réservent les plus grands dangers ". Le voyage que nous offre Philippe Aimar à travers la Grande Île dément fondamentalement cette mise en garde. Les photos nous montrent la confiance qui s'établit entre les modèles et le photographe et l'attachement que ce dernier porte à la Grande Ile et à ses habitants. Les résultats constatés se rapprochent de ceux obtenus par Jean Paulhan qui avait pris la peine, il y a près de 90 ans, de partager le quotidien des Malgaches, de différentes conditions, afin de saisir le sens profond des Hainteny. Ici le photographe a adopté la même démarche et nous présente une nature attachante et un peuple des plus accueillants avec beaucoup de réalisme. Fernand Léger n'a-t-il pas défini la qualité d'une oeuvre picturale en raison directe de sa quantité de réalisme. Mais, l'interprétation d'une photographie ne peut pas être considérée comme une valeur absolue, elle est le produit d'une subjectivité particulière du regardant. Quand l'ai compulsé l'album présenté par Philippe Aimar, c'est ma propre impression devant ces oeuvres d'une rare qualité que j'essaie de faire partager à ceux qui auront le privilège de se pencher sur ces images de la Grande Ile. Le photographe a su rendre l'atmosphère et la couleur de chaque région et tirer de l'individu les spécificités qui le particularisent tout en l'intégrant dans son groupe d'appartenance. Si nous regardons cette jeune femme de la page 36, avant même de lire la notation de bas de page, rien que par sa tenue et sa coiffe nous la situons d'emblée dans l'ethnie Betsileo. Il en est de même pour la plupart des portraits pris un peu partout dans l'île. Ce qui ne manquera pas de frapper la curiosité de ceux qui ouvrent ce livre est l'itinéraire suivi par le photographe. Au lieu de se précipiter sur les lieux touristiques connus, il nous entraîne dans un parcours inédit. Après une visite prégnante chez les Merina, les Ambaniandro (ceux qui sont sous le soleil) du haut plateau central, en ayant pris soin d'éviter les sites trop vus et revus - mais qu'ils ne néglige pourtant pas (on les perçoit à travers certaines photos) - en insistant parfois sur ce que le commun des autochtones ne remarque même plus, à force de les côtoyer quotidiennement. Ainsi en va-t-il des images devenues parties intégrantes du paysage, comme ces petits marchands des bords des routes ou ces joueurs de fanorona qui s'approprient une partie de la voie, ce qui nous plonge dans un exotisme bon enfant. Le photographe porte son appareil, non directement vers l'est ou vers le nord où sont les sites touristiques les plus fréquentés, mais vers le sud. Sur sa route, il nous fait entrevoir la beauté des environs de la capitale avec ses rizières, nous montre les étals des petits producteurs de charbon de bois qui préfigurent malheureusement la déforestation. Sa première étape dans le pays des Betsileo (nombreux invincibles) est l'Isalo. Il pré-sente en quelques photos ce qui dorénavant particularise la région : la recherche des pierres précieuses avec ce que cela implique de risque, d'effort quasi-inhumain et de misère dans l'espoir. II ne se prive pourtant pas de nous faire admirer le sourire d'une jeune Vezo (ceux qui pagaient). Et, son voyage reprend toujours vers le sud, comme si le photographe voulait se mettre sur les traces d'Etienne de Flacourt, mais il délaisse Fort-Dauphin, et s'oriente délibérément vers Tuléar, le pays des Bara (qui disent que la signification de leur nom est ceux qui ont la voix grave et sourde mais que les autres connaissent pour des simples d'esprit et des naïfs) pour nous faire appécier un crépuscule sur les dunes, là où la mer, la terre et le ciel majestueusement se confondent. Avec des paysages féériques, de jour comme de nuit, et, des Antandroy (ceux des ronces) rayonnants dans la simplicité de leur quotidien le photographe-pérégrin nous fait partager son émotion cette nature d'une beauté à couper le souffle. Mais là où l'on s'attendait à le voir continuer sa route vers Morondava, il marche sur le tropique du Capricorne et se retrouve sur la côte orientale de l'île les pieds dans l'eau du canal de Pangalane s'intéressant aux occupations aquatiques des Antaisaka (ceux de des longues vallées), des Antambahoaka (ceux du peuple) et des Betsimisaraka (nombreux qui ne se séparent pas). Toamasina est suggérée par une photo du lac sur le canal de Pangalane, puis nous voilà tout de suite au pays de la vanille et des Sakalava (ceux des longues vallées) au nord est de l'île, pour nous retrouver vers le nord face à l'île de Nossy-Bé devant des paysages grandioses d'une mer d'émeraude présentant les boutres comme des bijoux précieux et d'un ciel souvent bleu à la limite possible de la couleur. Cet ouvrage de Philippe Aimar ne doit pas être vu uniquement comme une présentation de la nature mais aussi comme une étude de l'homme malgache dans un essai chaleureux et subtil. Le photographe a mis dans son travail toute sa passion et son attachement pour l'île et ses habitants. Il propose une approche originale et vivante de la société malgache mettant en évidence un réseau d'affinités et d'échanges qui le relie à un monde qui le subjugue, l'intrigue et l'attache. Je dirais même une confrontation affective de deux visions du monde différentes avec ce que cela implique de subjectivité. Chapitre après chapitre nous faisons connaissance avec les différentes ethnies malgaches. Ce qui m'a aussi ému dans ce livre c'est l'objectivité du photographe. Il ne s'est pas contenté de montrer la beauté de l'Ile avec des gens heureux, mais il fait toucher du doigt le paradoxe de la beauté et de la misère en montrant comment les Malgaches acceptent leurs destins et que les gens pauvres ne sont pas toujours tristes. Qu'attend-on d'un livre de photographies si ce n'est de nous faire connaître un pays et de nous procurer du plaisir ? Les deux objectifs sont atteints dans ce livre de Philippe Aimar et je ne puis que souhaiter à tous ceux qui l'ouvriront le même plaisir et émotion que j'ai eus en le consultant.

02/2010

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Littérature étrangère

Contes et légendes de Madagascar

Le 31e volume de la collection " Aux origines du monde " accueille le folklore richissime de l'île de Madagascar qui depuis la fin du XIXe séduit les Européens, missionnaires, fonctionnaires de l'administration coloniales, instituteurs et chercheurs. Ce trésor récolté chez les différents peuples de Madagascar (Sakalava, Betsileo, Bara) dort dans des publications devenues introuvables depuis plusieurs décennies.
L'imagination de ces peuples insulaires ne cesse de surprendre : tout l'univers, racontent-ils, tire son origine d'un immense monstre aquatique nommé Itrimobé dont le corps se transforma progressivement en terre, montagne, rivières, animaux et hommes. C'est pour cette raison que tout l'univers est un immense laboratoire des métamorphoses. La foudre, amoureuse d'un beau garçon, descend sur terre et fait semblant de se comporter en jeune fille prude, hélas, sa gourmandise la trahit, et elle se voit répudiée.
Et en voici une autre, celle d'une jeune fille d'une beauté époustouflante que tout le monde voulait épouser. Celle-là se révèle trop exigeante : elle met à l'épreuve les prétendants pour mieux les accuser de vouloir épouser une bonne cuisinière et ne pas l'apprécier pour ce qu'elle est. En punition elle se voit transformée en punaise, dont l'odeur n'est pas considérée abjecte par les Malgaches, mais au contraire, fort agréable, car elle évoque ce personnage resté célèbre pour sa magnificence.
D'autres animaux, comme le caïman, sont également entourés d'un vrai culte au Madagascar, car longtemps il était vénéré comme un ancêtre totémique de quelques tribus et aujourd'hui encore, on continue à croire que les humains peuvent se transformer en caïmans après leur mort s'ils le souhaitent, ainsi que se marier avec les représentants de cette charmante espèce. Les contes et légendes accompagnent également les événements historiques et sur le registre fabuleux, ils expliquent par exemple pourquoi, à l'époque ancienne, les femmes montaient sur le trône de Madagascar.

03/2012

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Littérature étrangère

Ramoamiña. Contes betsimisaraka de Madagascar

Madagascar est une île à vocation agricole où les habitants, les Malgaches, ont en partage une civilisation de tradition orale. La parole y est le seul moyen de transmission des idées et des traditions et donne lieu à l'existence d'une littérature. A Vatomandry, dans la région de Betsimisaraka, le rôle de conteur incombe au grand-père, les femmes s'affairant autour du foyer pour préparer le repas du soir. Les textes de ce recueil, collectés dans cette région, sont des contes de mise en garde. Ils s'adressent à ceux qui dérogent à la tradition, transgressent les interdits, dérangent l'ordre des choses, la nature, ou bien à ceux, qui font preuve d'égoïsme, de paresse, de méchanceté, de jalousie, etc.

01/2014

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Religion

Les grands mythes de l'Inde ou l'empreinte de la tortue

Krishna le bouvier noir, Râma le roi chevalier, Lakshmî ou Dourga, l'énergie divine, Shiva l'ascète, Ganésha l'inspirateur, Hanoumân l'athlète : l'univers mythologique hindou déroute souvent le voyageur occidental. Or, si l'Inde a donné à Dieu beaucoup de noms, Shiva, Vishnou, Krishna, elle a toujours reconnu sa transcendance et son unicité. Mais comment toutes ces divinités cohabitent-elles dans le coeur des pèlerins qui se pressent en foule vers leurs lieux saints ? L'Inde a toujours fasciné par la beauté de ses temples inoubliables, par la fréquence des fêtes qu'on y célèbre, par la richesse des mythes qui, aujourd'hui encore, imprègnent la vie quotidienne. Pour s'y reconnaître dans cette jungle encore peu explorée, il fallait un guide. C'est ce que ce livre voudrait être.

01/1992

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Romans historiques

Peuls l'empreinte des reves

Un jeune berger peul, du nom de Moussa, va être entraîné dans un périple qui le mènera de Mopti depuis les rives du Niger jusqu'aux terres des royaumes du Fuuta au sud du fleuve Sénégal. Tour à tour berger dans le Mâcina puis ardo dans le Futa-Tôro, il découvrira les terres de ses ancêtres au cours d'un long et périlleux voyage qui durera plusieurs années à une époque où l'islam occupait une place grandissante dans la conquête spirituelle de cette Afrique occidentale. Sur les rives de Saint-Louis à l'embouchure du fleuve Sénégal, Moussa prendra conscience de l'aliénation de l'homme par l'homme en découvrant la réalité d'un commerce florissant d'esclaves avec les hommes blancs venus d'Europe et l'existence de castes d'hommes et de femmes captifs au sein de nombreuses ethnies. Au terme de son voyage, Moussa finira par embrasser la beauté de cet océan si absente des immensités asséchées de ses origines et si éloignée des choses comme si plus rien ne devait reprendre vie dans les paysages qu'il avait laissés où le sable succède au sable dans des vagues infinies d'une mer d'ocre et d'ambre.

02/2011

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