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Molière, Michel Bouty

Extraits

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Collège

Les Précieuses ridicules

Comédie de Molière en cinq actes de 1660, Molière présente l'intrigue en ces mots : «La pièce débute par le mécontentement de deux gentilshommes, La Grange et Du Croisy, qui viennent d'être reçus avec mépris par Madelon et Cathos, respectivement fille et nièce de Gorgibus, bourgeois de province récemment installé à Paris, qui voulait les leur donner en mariage. La Grange promet de se venger avec l'aide de son valet Mascarille...»

06/2006

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Dom Juan

Non, non, il ne sera pas dit, quoi qu'il arrive, que je sois capable de me repentir. " Acte V, scène 5 ", Dom Juan.

06/2005

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Lycée

L'école des femmes

Arnolphe, qui n'est plus tout jeune, voudrait se marier, mais craint d'être cocu. Persuadé qu'une épouse ignorante sera totalement soumise à son époux, il projette d'épouser Agnès, une jeune fille pauvre qu'il a fait élever loin du monde par des religieuses ; son unique consigne : la rendre aussi sotte que possible. Mais à peine sortie du couvent, celle-ci s'éprend du jeune Horace qui a réussi à la courtiser malgré la surveillance du barbon jaloux. Arnolphe réussira-t-il à imposer sa volonté à sa pupille ? Agnès sera-t-elle assez forte pour faire triompher son amour ? Cet ouvrage propose : le texte intégral conforme à l'édition des Grands Ecrivains de la France, des notes explicatives, des questionnaires au fil du texte, un appareil pédagogique comprenant des bilans, des documents sur l'oeuvre et son auteur, ainsi qu'un parcours thématique sur l'éducation des filles aux XVIe-XVIIe siècles, l'amour, la condition des femmes en 1662 et le comique permettant à l'élève d'approfondir sa réflexion.

05/2019

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Collège

L'école des femmes

Extrait : «Le mariage, Agnès, n'est pas un badinage : A d'austères devoirs le rang de femme engage ; Et vous n'y montez pas, à ce que je prétends, Pour être libertine et prendre du bon temps. Votre sexe n'est là que pour la dépendance : Du côté de la barbe est la toute-puissance.»

06/2005

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Armande ou le chagrin de Molière

Ce "journal", Armande Béjart le tient une année durant. Commencé le 17 février 1699, vingt-six ans après la mort de Molière, il s'achève une dizaine de mois avant sa propre mort. Il est le récit intime et secret d'une femme qui se demande ce qu'elle a fait de sa vie. Et si, au bout du compte, elle était passée autant à côté d'elle-même que de son mari ? Travaillant depuis plus de quinze ans sur Molière, André Versaille a voulu donner la parole à Armande pour lui faire raconter Molière de son point de vue à elle, et relater en même temps sa vie d'épouse et d'actrice de la compagnie la plus célèbre (et la plus passionnante) du théâtre français. Vingt-six ans après la mort de Molière, et, au terme d'une existence remuée de théâtre, de passions amoureuses, de libertinage et de déceptions, Armande, retirée de la scène et sentant sa fin prochaine, désire faire le point sur sa vie. Pendant près d'un an, elle s'astreindra chaque soir, dans la solitude, à se remémorer les épisodes de sa vie, et l'aventure quotidienne de la troupe avec ses grands moments : scandale, querelle, cabale, féérie, folie... A l'évocation de ces événements, elle s'interroge sur sa relation avec Molière, trop plein, à ses yeux, de son art pour satisfaire la jeune femme qu'elle était. Comment a-t-elle compris l'oeuvre ? Comment a-t-elle réagi en découvrant qu'elle fut le modèle de la Célimène du Misanthrope ? Qu'est-ce qui a entraîné son désamour, puis sa première infidélité ? Et, elle qui sa vie durant fut une éternelle benjamine, comment, arrivée à l'âge mûr, a-t-elle vécu son amour pour Michel Baron, de onze ans plus jeune qu'elle, fils spirituel de Molière et qui deviendra le comédien français le plus renommé de la fin du XVIIe siècle ? A travers le regard de celle qui fut son épouse durant plus de dix ans, nous découvrons un portrait de Molière depuis les coulisses et depuis l'alcôve.

01/2022

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Poésie

L'année des dernières fois

"Pendant sa dernière interprétation sur scène du Malade imaginaire, Molière, gravement malade, avait été maquillé pour donner l'image de la santé. On le porta crachant le sang du théâtre à chez lui (au son de la musique de Purcell pendant qu'on montait l'escalier). Des religieuses venues d'un couvent entourèrent son lit, alors que les comédiens jouant les apothicaires se pressaient autour de lui sur la scène une heure auparavant. Il n'y avait pas de prêtre pour donner l'absolution. Depuis, le fauteuil de cuir aujourd'hui vieux de quatre cents ans sur lequel il était assis au théâtre ce soir-là n'est utilisé que par des acteurs interprétant ce rôle." John Berger disait de son disciple Michael Ondaatje qu'il écrivait des "romans cubistes". C'est aussi le cas de sa poésie : de Billy the Kid/Oeuvres complètes à L'Année des dernières fois, le lyrisme d'Ondaatje dessine une figure semblable à un puzzle auquel il manquerait toujours une pièce. Textes en forme d'énigme, mots sur le bout de la langue, souvenirs à demi effacés, profils perdus, vestiges, objets cassés.

11/2024

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