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Mohamed Kacimi

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Beaux arts

Mohamed Kacimi. Edition bilingue français-anglais

Né à Meknès, Mohammed Kacimi (1942-2003) est l'un des plus importants plasticiens du Maroc d'après-guerre. Très influencé par la mer, le désert et ses origines, il fait de l'art marocain quelque chose d'entièrement nouveau. Après avoir emprunté, des le début des années 1970, les pistes de la peinture occidentale et de l'abstraction, il se tournera vers le continent africain, comme source de son originalité et garant d'une expression nouvelle, personnelle et sans contrainte. Peinture, sculpture, performance, théâtre, danse, musique, installation in situ, Kacimi se démultiplie tout au long de son parcours. Ces différentes "phases", avec d'abord les Marches et la quête d'une abstraction originale, puis les Océanides, les Traversées, la série Shéhérazade, jusqu'au Temps des conteurs et autres expériences africaines, constituent à chaque fois une aventure originale. Artiste de la transition, ses voyages entre son pays, le Maghreb, le Machrek, l'Europe et l'Afrique, ainsi que ses passages d'une discipline à l'autre, le mènent rapidement à une notoriété internationale. Peintre de la couleur, chantre du bleu et de l'ocre, tenté par le noir, Mohammed Kacimi s'inscrit dans l'histoire de l'art comme un interprète de l'existence et de notre condition humaine. Il a recherché dans ses oeuvres la réconciliation entre une vision tragique de son époque et son appétence au bonheur.

01/2019

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Théâtre

Terre sainte

C'est une ville en état de siège, où le paysage est blanc, poussiéreux et dévasté, où les soldats tirent sur les chats qui passent. Carmen a disparu à un check point ; sa fille Imen affronte les perquisitions d'Ian, le soldat. Dans la maison d'à côté, Alia, la sage-femme, soigne le chat Jésus, tandis que Yad, son mari, s'évade dans les volutes du narguilé, la saveur des pistaches, et l'ivresse de l'arak de Zahlé autant d'échappatoires au bruit des fusillades, au ravage des incendies. Et puis, un jour, Amin, le fils d'Alia et de Yad, tue un soldat et l'étudiant modèle devient un martyr qui viole, détruit et meurt au nom de Dieu.

01/2006

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Théâtre

L'Avant-scène théâtre N° 1445, juillet 2018 : Tous mes rêves partent de la gare d'Austerlitz

Cinq femmes dans une maison d'arrêt se retrouvent souvent à la bibliothèque après les ateliers. Fatiguées, elles échangent sur le quotidien de la prison, les combines, les relations difficiles avec les autres détenues, et leurs hommes qui les ont oubliées là et ne viennent jamais les voir, refaisant leur vie ailleurs. Elles partagent un festin de Noël imaginaire quand survient une nouvelle détenue qui a été arrêtée alors qu'on lui avait retiré sa fille Alice et qu'elle s'apprêtait à fuir avec elle. Elles ont été prises alors qu'elle lui achetait dans une librairie On ne badine pas avec l'amour de Musset. Les cinq femmes décident de jouer et de filmer la pièce pour envoyer la vidéo à Alice. La pièce est créée au Studio Théâtre de Stains le 29 mars 2018 dans une mise en scène de Marjorie Nakache et avec Jamila Aznague, Gabrielle Cohen, Olga Grumberg, Marjorie Nakache, Marina Pastor et Irène Voyatzis et reprise au Théâtre 13 le 6 novembre 2018.

07/2018

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Théâtre

L'Avant-scène théâtre N° 1426, juillet 2017 : Moi, la mort, je l'aime comme vous aimez la vie

A Toulouse et à Montauban, en 2012, Mohamed Merah assassine sept personnes, dont trois enfants juifs, au nom de l'Islam. A partir de la retranscription des derniers échanges entre les policiers et le tueur durant le siège de son appartement le 22 mars 2012, publiée dans le journal Libération, est née la confrontation entre Momo, retranché à son domicile, et un Policier qui, derrière la porte d'entrée, essaie d'obtenir sa reddition avant l'assaut des forces d'intervention. La pièce est créée au Festival d'Avignon Off du 6 au 11 juillet 2017 à la Manufacture dans une mise en scène de Yohan Manca.

07/2017

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Théâtre

Jours tranquilles à Jérusalem. Chroniques d'une création théâtrale "Des roses et du jasmin"

2015, à Jérusalem. Alors que la situation est plus tendue que jamais dans cette ville divisée entre Israéliens et Palestiniens sous le regard impuissant des Nations Unies, un étrange projet naît dans la tête de héros contemporains. Il s'agit de monter une pièce de théâtre avec des acteurs de Jérusalem, de Cisjordanie et de Galilée, qui retrace à la fois la longue souffrance de ceux qui ont perdu leur terre dans la nakba (la catastrophe) mais aussi celle de ceux qui ont perdu leur famille dans la shoah. Un sujet explosif. L'auteur franco-égyptien et co-directeur du Théâtre des Quartiers d'Ivry, Adel Hakim demande au dramaturge Mohamed Kacimi de l'accompagner dans l'aventure de la création de sa pièce : " Des Roses et du Jasmin", au Théâtre National Palestinien de Jérusalem. Ce dernier tient ici la chronique de cette mise en scène impossible, du mois de février au mois de juin 2015. Espoir, découragement, doute, géopolitique implacable, enthousiasme renaissant, clivage indépassable, clivage dépassé, leçon de vie, leçon d'humanité. Comme à son habitude, Mohamed Kacimi n'est pas avare de détails signifiants et d'anecdotes burlesques, entre humeur douce-amère et témoignage poignant. Un document de première main sur la genèse d'une pièce qui rencontre un très grand succès sur les scènes françaises et européennes.

08/2017

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Littérature française

La confession d'Abraham

Je le vois aujourd'hui debout à Hébron, dans le caveau des Patriarches, en train de lire les lettres que lui envoient ses enfants des quatre coins du globe. En même temps, il nous raconte sa vie : comment il a découvert Dieu, comment il a inventé l'exil en quittant Ur. Combien il a rêvé de terres promises et connu de désillusions, ses descentes en Egypte, ses errances et ses guerres, son désir de progéniture, la naissance d'Ismaël et celle d'Isaac. A ses côtés, il y a Sarah, son amour et sa compagne de quêtes. Femme auteur du premier éclat de rire dans la Bible, et qui, depuis trois mille ans, n'arrête pas de nous répéter : " Mes enfants, si les religieux vous ennuient un jour, n'hésitez pas à chatouiller le Livre, il se roulera avec vous par terre. Abraham, votre père, en est témoin. " M.K.

08/2000

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