Milie Théodora Miere
Extraits
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Théodore Miere
A travers ce récit, l'auteure redonne la parole à son père, Théodore Miere, un homme en avance sur son temps sur différents points de vue. Ses idées progressistes, universelles, intemporelles sont toujours d'actualité et dépassent les frontières. Titulaire d'un DESSP, sciences politiques et philosophie, on le surnommait "Descartes" pour son amour pour la littérature. Dans ce livre, Milie Théodora MIERE revient sur le parcours de son père, sa conception du foyer populaire initié comme projet familial, mais qui aura des ramifications dans l'arrondissement dont il est l'élu. Les applications se sont faites notamment à travers une politique de proximité faite d'actions d'amélioration de conditions de vie des habitants, centrées autour de l'éducation, du vivre-ensemble, de l'émergence d'une conscience politique et citoyenne. L'idée était également de mettre en place une organisation sociale, collaborative, participative, en réseau dans laquelle "chacun apporte le peu qu'il peut" à la manière de celle des termites. Avec Claire, son épouse, et son équipe, ils vont travailler et diffuser la conviction que l'Etre Humain était aussi capable du meilleur comme invitation à cultiver l'espoir des possibles. Enseignant, journaliste, écrivain, élu local, chercheur, conseiller politique, homme engagé, père présent et aimant, Théodore MIERE a oeuvré pour le bien-être de sa famille, de ses élèves et des habitants de son arrondissement, jusqu'à son décès en 1988, à 45 ans, laissant une veuve et six enfants.
06/2022
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La vie de Mâ Claire Miere
A travers le parcours de sa mère Mme Claire Miere, Mâ Claire, l'auteure rend hommage à la femme active, militante, battante, mère dévouée, ouverte d'esprit. Veuve à 40 ans, sa mère a élevé seule ses six enfants en poursuivant sa mission auprès des élèves. Sa vie était au service des autres. L'auteure partage également les piliers et ressources qui ont permis à sa mère de faire face à la perte de son mari, au veuvage précoce, de survivre, de vivre, de tenir ses engagements, d'assumer ses responsabilités, de continuer à faire du bien, d'aimer, de pardonner, d'éduquer, d'encourager, de soutenir, d'inspirer, de vivre autrement, de maintenir le lien avec son mari, dans une forme de résilience extraordinaire pendant 32 ans. Ce récit est aussi l'occasion de mettre en lumière la situation des veuves au Congo. Au départ des pratiques ancestrales, pour protéger les veuves et les orphelins, ont été vidées de leur sens pour condamner ceux-ci à une double peine. L'auteure s'appuie sur le parcours de sa mère et sur son expérience auprès d'autres veuves pour faire des propositions pour une mobilisation et des réformes afin de protéger, accompagner, informer, faire valoir des droits et faire appliquer la loi. Mme Claire Miere est décédée en mai 2020 à l'âge de 72 ans, laissant 6 enfants, 15 petits-enfants et 6 arrière-petits-enfants, après une vie d'engagement continu avec Théodore, son mari, et avec d'autres par la suite pendant 32 ans.
06/2022
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Le chardonneret
Theodore Decker a 13 ans quand sa vie bascule : alors qu'il visite une exposition au Metropolitan de New York avec sa mère, qui attire son attention sur Le Chardonneret, exquise représentation de l'oiseau par Carel Fabritius, élève de Rembrandt et inspirateur de Vermeer -, un attentat à la bombe pulvérise le musée. Theo s'en sort, pas sa mère. Choqué, hagard, il subtilise le fameux tableau, miraculeusement préservé. Le cours de son existence y sera lié à jamais. D'abord accueilli dans la riche famille d'un ami de lycée, le garçon est sommé de suivre son père, un alcoolique qui ne s'est jamais occupé de lui, dans un quartier glauque de Las Vegas. Puis, de retour à New York après la mort brutale de son père, Theo va prendre contact avec un antiquaire de Greenwich et s'immerger dans le milieu des trafiquants d'art - dissimulant toujours son précieux talisman...
01/2015
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Le chardonneret
Theodore Decker a 13 ans quand sa vie bascule : alors qu'il visite une exposition au Metropolitan de New York avec sa mère, qui attire son attention sur «Le Chardonneret», exquise représentation de l'oiseau par Carel Fabritius, élève de Rembrandt et inspirateur de Vermeer, un attentat à la bombe pulvérise le musée. Theo s'en sort, pas sa mère. Choqué, hagard, il subtilise le fameux tableau, miraculeusement préservé. Le cours de son existence y sera lié à jamais. D'abord accueilli dans la riche famille d'un ami de lycée, le garçon est sommé de suivre son père, un alcoolique qui ne s'est jamais occupé de lui, dans un quartier glauque de Las Vegas. Puis, de retour à New York après la mort brutale de son père, Theo va prendre contact avec un antiquaire de Greenwich et s'immerger dans le milieu des trafiquants d'art dissimulant toujours son précieux talisman.
11/2015
XVIIIe siècle
Liberia
1807. Westport, Massachussetts. Julius Washington est un jeune Noir, grouillot au New Bedford Mercury. Né libre en 1789 d'une ex-esclave éduquée et d'un marin africain de passage, il rêve de liberté, d'écriture et de navigation. Quand les États abolitionnistes du Nord autorisent ceux qui le veulent de retourner sur le continent d'où ils ont été arrachés pour y créer une colonie américaine, le garçon n'hésite pas une seconde et s'embarque pour un voyage qui durera 60 ans… Negroland est bien sûr construit autour de Julius et de ses aventures, mais aussi autour des personnages qu'il va rencontrer tout au long de sa vie : le capitaine Paul Cuffee, plus riche Noir d'Amérique, premier et généreux promoteur du
«retour» ; Théodore Canot, le négrier français, cynique au grand cœur ; Augustus Vossa, autre capitaine noir, dandy anglais qui milite dans les antichambres de la royauté ; Sinoe Kruman, Africain qui trafique pour la cause de la Suprématie Noire en Amérique ; George Hartwell Cocke, planteur du Sud pour qui l'esclavage est un piège mortel pour les Blancs ; enfin, trois femmes – Liza sa mère, Diana son épouse et Ruth leur fille – complètent cette galerie de portraits qui remet en cause bien des idées reçues.
Le retour des esclaves d'Amérique en Afrique, voilà le thème de Negroland, premier nom donné à la terre promise aux Noirs avant qu'elle ne s'incarne sous le nom de Liberia, « pays de la liberté ».
Une magnifique fresque de l'histoire de l'esclavage.
05/2017
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