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Mikhaïl Boulgakov

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Biographies

Mikhaïl Boulgakov

Mikhaïl Boulgakov est un auteur russe extrêmement connu et apprécié en France. Ses livres Coeur de chien, La Garde blanche, ou Le Roman de Monsieur de Molière sont des incontournables de la littérature classique. Son chef-d'oeuvre, Le Maître et Marguerite est l'un des textes russes les plus lus, et a souvent fait l'objet d'adaptations, au cinéma et au théâtre, qui l'ont rendu accessible au plus grand nombre. Cette biographie, très bien documentée, s'appuie sur de nombreuses sources d'archives. Ecrite comme un roman, elle est très plaisante à lire, et nous retrouvons le style très poétique et élégant d'Alexeï Varlamov. Il retrace le destin du célèbre écrivain, dont les oeuvres suscitent depuis de nombreuses décennies admiration, indignation, polémiques, approbations et désaccords, mais jamais indifférence. Un cheminement professionnel et concret, de son enfance heureuse à Kiev, à ses premiers succès littéraires et sa position de dramaturge principal du théâtre d'art de Moscou, en passant par sa profession de médecin de campagne et ses espoirs déçus de journaliste. Mais un itinéraire également spirituel et intellectuel, de la révolte des Carnets d'un jeune médecin et de la tragique acceptation de la vie que l'on perçoit dans La Garde blanche pour parvenir à l'évasion démoniaque du Maître et Marguerite. Alexeï Varlamov retrace minutieusement la logique fatale de ce cheminement vers une mort précoce et une immense reconnaissance posthume.

04/2021

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Disques et K7 Littérature

Le Maître et Marguerite. 1 CD audio MP3

Chef-d'oeuvre de la littérature russe, livre culte à travers le monde, Le Maître et Marguerite dénonce dans un rire féroce les pouvoirs autoritaires, les veules qui s'en accommodent, les artistes complaisants, l'absence imbécile de doute. Moscou, années 1930, le stalinisme est tout puissant, l'austérité ronge la vie et les âmes, les artistes sont devenus serviles et l'athéisme est proclamé par l'Etat. C'est dans ce contexte que le diable décide d'apparaître et de semer la pagaille bouleversant les notions de bien, de mal, de vrai, de faux, jusqu'à rendre fou ceux qu'il croise. André Markowicz, qui en retraduisant les oeuvres de Fiodor Dostoïevski leur a rendu toute leur force, s'attaque à un monument littéraire et nous restitue sa cruauté première, son souffle romanesque, son universalité. © (P) 2020 Inculte éditions

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Littérature étrangère

Coeur de chien

Boule, un pauvre chien errant des rues de Moscou, est recueilli par l'éminent professeur Préobrajenski qui l'emmène à son domicile. En ces temps troublés qui suivent la révolution de 1917, le scientifique, privé de son laboratoire, entend bien poursuivre chez lui son ultime expérience. Au risque de donner vie à un être incontrôlable. Interdit par la censure dès sa rédaction, en 1925, ayant circulé " sous le manteau " pendant des décennies jusqu'à sa publication en Occident à la fin des années 1960, Coeur de chien est sous le couvert du fantastique une féroce et hilarante satire du nouvel ordre soviétique et d'un système absurde visant à la création de l'"Homme nouveau". Parue en 1990 à Moscou et jamais rééditée, cette superbe traduction d'Alexandre Karvovski rend à ce texte incomparable son irrésistible et inquiétante drôlerie.

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Poches Littérature internation

Récits d'un jeune médecin. Suivi de Morphine et Les aventures singulières d'un docteur

La Russie des années 1920. Tandis que dans les grandes villes la révolution bouleverse les mentalités, dans les profondeurs du pays un jeune médecin consacre ses forces à lutter contre le fatalisme ambiant. Sept nouvelles racontent avec brio l'ordinaire de sa vie, où le pathétique côtoie sans cesse le drame, mais aussi, parfois, le grotesque et la farce. La plus mince anecdote tirée du quotidien revêt sous la plume de Boulgakov la puissance de l'extraordinaire. Récits d'un jeune médecin est suivi de Morphine et des Aventures singulières d'un docteur. Morphine est l'un des plus beaux textes de Boulgakov, le seul où il explore jusqu'au vertige les gouffres de la détresse, de la maladie et de la folie.

01/1996

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Pléiades

Oeuvres Tome 2 : La maître et Marguerite et autres romans. Suivis du Théâtre

Boulgakov travailla jusqu'à sa mort au Maître et Marguerite. Le roman parut dans la revue Moskva en 1966-1967, amputé d'un bon tiers, pour cause de censure. Il fut néanmoins le grand événement littéraire de la période du « Dégel ». Les Russes furent sidérés d'y découvrir une représentation à la fois délirante et plus vraie que nature de la réalité soviétique dans laquelle ils étaient encore plongés, et qu'ils avaient fini par ressentir comme plus ou moins « normale ». Ils furent, aussi, incroyablement fiers de ce livre vite reconnu comme un chef-d'ouvre, et dont on propose ici une nouvelle traduction - la première depuis plus de trente ans. Les théâtres, les comédies, les coulisses et les plateaux sont présents dans Le Maître et Marguerite comme dans les deux autres romans retraduits pour cette édition : La Vie de M. de Molière et Mémoires d'un défunt (Roman théâtral). Boulgakov était un passionné de théâtre. En partie inédites en français, ses ouvres dramatiques - drames, comédies satiriques ou d'anticipation, pièces sur Molière ou sur Pouchkine -, viennent logiquement compléter ce volume. Sans oublier Batoum, pièce de commande sur la jeunesse de Staline, finalement non agréée par la maître du Kremlin. Une fois de plus, Boulgakov avait écrit « pour son tiroir » ; le Choix de correspondance qui clôt le volume révèle les conditions dramatiques dans lesquelles il composa l'une des plus grandes ouvres de notre temps.

04/2004

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Poches Littérature internation

Le roman théâtral

Moscou, vers 1925... Obscur journaliste, Maksoudov a écrit un roman mais il est persuadé que personne ne l'a lu. On lui demande pourtant de l'adapter pour le théâtre ; la pièce serait montée par le célèbre Ivan Vassiliévitch, en qui l'on reconnaîtra Stanislavski. Aussitôt, Maksoudov se met à l'ouvrage, achève sa pièce et vient la lire à Vassiliévitch qui propose (c'est-à-dire impose) des changements tellement ridicules et inacceptables qu'il envoie tout promener. Cependant, il apprend bientôt que sa pièce est retenue ; il est même invité à assister aux répétitions. Avec effarement, il voit son travail, sous la direction autoritaire et capricieuse de Vassiliévitch, se défigurer sous ses yeux. Lui-même rejeté et oublié, il se passionne néanmoins pour cette farce... Interrompu par la mort de Boulgakov, ce Roman théâtral, autobiographie déguisée en satire tragique et désopilante, est son oeuvre la plus émouvante.

06/2017

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