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Michel Ragon

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Michel Ragon

Romancier, essayiste, critique d'art, historien de l'architecture contemporaine, l'écrivain Michel Ragon a exercé son talent en de si nombreux domaines et mis sa plume au service de tant de causes qu'il nous a laissé une oeuvre foisonnante. Ce numéro revient sur les différentes facettes de son parcours, en s'attardant sur les nombreux centres intérêts qui ont animé son esprit curieux.

01/2024

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Un amour de Jeanne

"Pendant quatre ans, je n'ai cessé de penser à Jeanne, au bûcher de Rouen, à notre amour muet. Muet. J'ai voulu qu'il parle, qu'il sorte de cet alanguissement qui nous rendait si timides. Ou si effrayés l'un et l'autre de briser un sortilège. On ne pouvait pas aimer charnellement Jeanne sans rompre son pacte avec les anges". La première fois que Jeanne la Pucelle vit Gilles de Rais, elle l'appela "Barbe Bleue" . Entre eux naquit un amour impossible, scellé par un pacte avec Dieu, à moins que ce ne fût le Diable. A travers le destin de deux êtres que tout semblait opposer, Michel Ragon nous entraîne au coeur d'une légende où se mêlent amour et histoire, interdit et sacrifice.

01/2003

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L'Accent de ma mère

Rien mieux que le téléphone ne fait surgir les accents. Un jour, l'auteur de ce livre entend ainsi la voix de sa mère et découvre qu'elle a un accent... Si l'accent lie profondément cette femme à la terre qui est la sienne, s'il atteste viscéralement son origine par contre, l'auteur-narrateur, intellectuel requis par la ville et les livres, constate du même coup que lui, cet accent, il l'a perdu. Tel est le motif, le moteur de sa quête : il doit remonter à ses sources, rechercher son identité ancestrale et culturelle et tenter de faire revivre cette mémoire du peuple, cette expression populaire qui se trouvait derrière l'accent de sa mère.

06/2007

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L'accent de ma mère

"Pendant trente ans, ma mère m'a écrit chaque semaine, me racontant son ennui, ses maladies, ses malaises, c'est-à-dire son inquiétude, dont j'étais toujours l'objet. Je n'avais jamais remarqué que ma mère parlait avec cet accent paysan de l'Ouest. Parce que je l'avais perdu. Cette voix de ma mère, au téléphone, a été soudain le rappel d'un accent oublié, d'une autre langue, d'une autre culture. Remontant à mes sources, j'ai recherché mon identité ancestrale et culturelle et j'ai tenté de faire revivre cette mémoire du peuple, cette expression populaire, qui se trouvaient derrière l'accent de ma mère". Michel Ragon.

08/2020

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L'Accent de ma mère

"Pendant trente ans, ma mère m'a écrit chaque semaine, me racontant son ennui, ses maladies, ses malaises, c'està-dire son inquiétude, dont j'étais toujours l'objet. Je n'avais jamais remarqué que ma mère parlait avec cet accent paysan de l'Ouest. Parce que je l'avais perdu. Cette voix de ma mère, au téléphone, a été soudain le rappel d'un accent oublié, d'une autre langue, d'une autre culture. Remontant à mes sources, j'ai recherché mon identité ancestrale et culturelle et j'ai tenté de faire revivre cette mémoire du peuple, cette expression populaire, qui se trouvaient derrière l'accent de ma mère". "Un miracle. Quel beau, quel doux livre. Un bouleversant livre d'amour". Françoise Xenakis "Un degré de réussite rarement atteint, et qui vous emporte : la sincérité d'une vie qui vit et se souvient". Jean-Jacques Brochier "Très beau roman, dont le ton si peu homme de lettres m'a fait penser aux tableaux de Le Nain et de Chardin". Henri Queffélec

01/2007

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Les ateliers de Soulages

"Soulages aime se trouver absolument seul et dans une pièce en ordre, comme s'il faisait une peinture pour la première fois. Aussi, lorsque l'on pénètre dans un atelier de Soulages, est-on toujours frappé par le grand vide d'un espace où rien ne traîne. Toutes ses peintures sont cachées, sauf (et encore cela est exceptionnel), celle à laquelle il s'attaque. Jamais il n'étale ses peintures terminées, comme la plupart des artistes, mais les range hors de la vue. Homme de toutes les curiosités, homme de l'outil, Soulages s'est attaché à créer des objets porteurs d'émotions esthétiques, que ce soient de ces objets peints que l'on appelle des tableaux, ou de ces objets gravés que l'on appelle des estampes, ou des planches de ces gravures devenues bas-reliefs de bronze, ou de ces objets tissés que l'on appelle des tapisseries, ou de ces objets qui captent et émettent la lumière que l'on appelle des vitraux. Tous ces objets (il préfère dire : ces ''choses'') sont la composante d'une oeuvre unique, dont l'ampleur paraît de plus en plus évidente". Michel Ragon

10/2004

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