Recherche

Michel Bitbol

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Michel Houellebecq

Révélé avec Extension du domaine de la lutte, publié en 1994 par les Éditions Maurice Nadeau, Michel Houellebecq, né Michel Thomas en 1956 ou 1958 selon ses propres dires, a cultivé le mystère tout au long de sa carrière : après ce premier roman remarqué, il publie Les Particules élémentaires (1998), puis Plateforme (2001), alors qu'il vient de s'exiler en Irlande.

ActuaLitté

Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Michel Houellebecq

Romancier, essayiste, poète, considéré par de nombreux critiques comme l’écrivain français le plus marquant de notre époque, il est lu dans le monde entier depuis Extension du domaine de la lutte (1994). Michel Houellebecq a reçu le prix Goncourt pour son roman La Carte et le territoire, en 2010.

ActuaLitté

Dossier

Désavoué par l'éditeur Albin Michel : le cas Éric Zemmour

Coup de tonnerre fin mai, la maison de la rue Huygens divorçait de son auteur star, le polémiste bien connu de CNews, et potentiellement candidat aux présidentielles de 2022. Eric Zemmour et Albin Michel, rejouaient la petite mélodie d’Hervé Villard, Capri, c’est fini. Caprice de l’éditeur devant la poule aux œufs d’or, différend politique plus que touchant à la politique éditoriale et finalement grand cas d’école : l’affaire Zemmour va de rebondissements en rebondissements.

ActuaLitté

Dossier

De Michel Glardon à Jean Richard : histoire des Éditions d'en bas

En raison de la crise sanitaire du Covid-19 et à la suite de la fermeture des librairies, sans oublier l’annulation des salons du livre, les Éditions d’en bas ont choisi la riposte. La maison, qui célèbre ses 45 ans, a souhaité partager son histoire, à travers des podcasts et des vidéos de leurs auteurs. Mais également faire découvrir des livres plus anciens à travers toutes ces années de publications.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Amélie Nothomb

Née le 9 juillet 1966 à Etterbeek, en Belgique, Amélie Nothomb fait son entrée dans le monde des lettres françaises avec la publication de son roman Hygiène de l'assassin par Albin Michel en 1992 : à partir de cette date, l'auteure livrera quasiment annuellement un nouveau livre à son éditeur, auquel elle est restée fidèle depuis ses débuts. 

ActuaLitté

Dossier

Le Prix Décembre

Créé en 1989 sous l’appellation Prix Novembre, le Prix Décembre a été pensé comme un anti-Goncourt, un de plus : la récompense entendait se démarquer de par sa sélection initiale, mais aussi son choix de lauréat. Pensé et doté, à l'origine, par Michel Dennery, il fut ensuite soutenu par Pierre Bergé, se nommant alors Prix Décembre.

Extraits

ActuaLitté

Histoire et Philosophiesophie

L'AVEUGLANTE PROXIMITE DU REEL. Anti-réalisme et quasi-réalisme en physique

Quel est le sens des théories physiques ? Il fut une époque où le débat entre réalistes et anti-réalistes ne souffrait guère de nuances. Le réalisme scientifique était vide parce qu'il renvoyait à un ailleurs ou à un futur indéfinis ; l'anti-réalisme était aveuglé parce qu'il privait la recherche de but et de direction. Aujourd'hui, bien des réalistes ont appris à se défaire des équivalences rigides entre l'objectivité et la réalité, entre l'objet visé et la " cause " des phénomènes, entre l'invariant et l'en-soi, entre la pratique structurée de la recherche et la préexistence des structures. Et les anti-réalistes, qui adhéraient à la surface des " faits ", des opérations et des interactions sociales, n'ignorent plus les projets, les engagements et les valeurs. Ni les uns ni les autres ne se satisfont désormais d'un strict dualisme entre le donné et le construit. La voie s'en trouve dégagée pour une réappréciation des " étrangetés " de la mécanique quantique : elles ne témoigneraient pas de la distance excessive qui nous sépare du réel ; elles ne nous contraindraient pas davantage à l'agnosticisme. Elles sont peut-être le signe ambigu mais récurrent de l'aveuglante proximité du réel. Reprenant en partie certains de ses propres travaux de recherche, Michel Bitbol appuie ces orientations sur des études de cas concernant l'atomisme, le " vide quantique ", le hasard, la naissance des théories physiques du XXe siècle et le concept d' " état relatif ".

04/1998

ActuaLitté

Histoire et Philosophiesophie

De l'intérieur du monde. Pour une philosophie et une science des relations

Michel Bitbol repense dans ce livre la théorie de la connaissance pour l'adapter aux découvertes de la science du XXe siècle. La physique contemporaine rend cette démarche nécessaire: elle porte de moins en moins sur des choses et de plus en plus sur des relations. Si bien que l'image baroque de relations flottant en l'air sans appui sur les choses, d'un "sourire de chat sans chat" pour paraphraser Lewis Carroll, se fait jour de manière insistante. Comment comprendre des relations qui préexistent aux objets ou aux propriétés qu'elles unissent? Une analogie est mobilisée pour élucider ce mystère: si la droite et la gauche se définissent par leur relation mutuelle, c'est que cette relation est orientée à son tour relativement à notre corps. Ici, comme en physique quantique, seul un supplément de philosophie relationnelle permet de résoudre les énigmes des relations. Seule la reconnaissance de notre situation à l'intérieur du réseau interconnecté du monde lève les paradoxes nés du rêve de le voir comme de l'extérieur. Le problème est qu'une résistance culturelle, dont le fil est retracé de Platon jusqu'à Russell, fait obstacle à l'indispensable radicalité de la pensée des relations. Une thérapie de cette résistance est cherchée dans la philosophie de Nâgârjuna, penseur indien du 11e siècle, auteur de référence de l'école bouddhique de la "voie moyenne". Car cette philosophie, loin de minimiser la corelativité des phénomènes et leur absence (ou vacuité) de nature propre, la prend pour prémisse de sa tension éthique vers une manière d'être ouverte et disponible. Une réflexion originale permettant de comprendre comment une épistémologie peut avoir partie liée avec la quête existentielle.

02/2010

ActuaLitté

Histoire et Philosophiesophie

Mécanique quantique. Une introduction philosophique

Il y a un paradoxe de la mécanique quantique : voilà une théorie considérable de la physique contemporaine dont on est bien en peine de dire sur quoi elle porte et ce qu'elle signifie, car cela même ne va pas de soi. Le but de ce livre est de tenter d'élucider ce paradoxe. Pour cela, il convient de refaire table rase. Dans un premier temps, l'auteur entend n'appuyer sa construction que sur les certitudes tacites et les normes qui conditionnent la vie, la communication, et le travail au laboratoire. Cette façon de reconduire l'œuvre théorique aux gestes élémentaires du chercheur doit cependant éviter de n'aboutir qu'à un " empirisme dénué de sens " (Einstein). L'ouvrage apporte deux sortes de réponses à une telle critique. D'une part, on s'aperçoit que la forme de la théorie, loin d'être conditionnée par la seule nécessité de " sauver les phénomènes ", reflète de manière contraignante les conditions de possibilités d'un certain mode très général d'anticipation et d'objectivation des résultats expérimentaux. La " quantification " et les effets ondulatoires apparaissent pouvoir découler de ces conditions. D'autre part, si la référence, l'acte de visée vers un au-delà des manipulations instrumentales, ont été bloqués d'abord, ce n'était que pour mieux dégager les critères du choix qui peut être effectué ensuite entre plusieurs représentations de l'objet supposé de la physique quantique.

05/2008

ActuaLitté

Histoire et Philosophiesophie

Physique et philosophie de l'esprit

Toute science, admet-on, commence par détacher un objet en le rendant indépendant des sujets et des situations. Mais cette conception étroite de la connaissance scientifique laisse subsister des zones d'ombre. La conscience n'est pas un objet. Elle est ce sans quoi rien ne pourrait être pris pour objet. La conscience n'est pas détachable des sujets, car elle s'identifie à ce qui est vécu par un sujet. De façon analogue, en physique quantique, un phénomène n'est pas dissociable de son contexte expérimental, car il s'identifie à ce qui se manifeste à grande échelle au laboratoire. Que faire pour ne pas laisser ces cas extrêmes de côté? Généraliser la méthode scientifique. Ne plus la borner à définir et à caractériser des objets, mais l'étendre à la coordination directe des expériences. Telle est la révolution de pensée qu'il faut accomplir pour résoudre, ou plutôt dissoudre, deux questions-limites de la science : le problème de l'origine de la conscience et le paradoxe du "chat de Schrödinger" en physique quantique.

10/2005

ActuaLitté

Philosophie

Maintenant la finitude. Peut-on penser l'absolu ?

Depuis plusieurs années, les "nouveaux réalismes" sont au coeur d'un vif débat philosophique. Ce livre y prend part en faisant la critique de l'une de leurs principales variétés, le " matérialisme spéculatif " de Quentin Meillassoux (auteur, en 2006, de Après la finitude). Il s'oppose à cette doctrine sur trois points. Loin d'être un "étrange savoir" de philosophes ignorant les sciences, l'idée que les connaissances sont relatives au langage, à l'action et à la situation — voire à ce que l'on vit à présent — est la clé pour comprendre les théories physiques. Loin de valoir "indépendamment des chercheurs", les faits "ancestraux" dont aucun être humain n'a pu être le témoin (comme le Big Bang) n'acquièrent leur sens que relativement à la recherche actuelle de leurs traces. Loin d'être pensable, l'absolu demeure dans l'angle mort du savoir rationnel. L'absolu n'a d'ailleurs pas besoin d'être pensé pour être envisagé ; il se manifeste comme un saisissement silencieux, comme le choc de percevoir à l'instant la souveraine contingence de ce qu'il y a. En voulant réfuter le constat kantien de la finitude humaine, le matérialisme spéculatif débouche ainsi, contre son gré, sur une finitude plus extrême encore : celle de l'expérience présente singulière. Par sa critique épistémologique, Michel Bitbol rétablit la réflexion philosophique contemporaine sur des bases sûres. Il montre que nulle spéculation, métaphysique ou post-métaphysique, ne peut prétendre à la connaissance. Et il confie l'absolu à l'ouverture contemplative.

02/2019

ActuaLitté

Philosophie de la physique et

Philosophie quantique. Le monde est-il extérieur ?

La mécanique quantique n'est pas seulement une théorie physique exceptionnellement féconde et efficace. Elle est claire et dénuée de difficulté conceptuelle. Pour lever ce qu'on prend habituellement pour ses "paradoxes" , il suffit de voir la mécanique quantique non plus comme la représentation d'une réalité extérieure, mais comme une théorie dans la réalité. Ce renversement soutenu par les plus récentes audaces de la pensée physique, de la théorie quantique de l'information jusqu'au QBism (Bayésianisme Quantique), est étendu à une philosophie de la connaissance et de notre situation inspirée de la phénoménologie de l'incarnation. Selon l'idée neuve de la connaissance, l'être ne se présente pas à nous comme un unique objet à voir ; ce sont au contraire nos multiples visions qui naissent du coeur de l'être. Et selon l'idée neuve de notre situation, nous ne sommes ni des contemplateurs ni des parties du monde ; nous sommes l'activité même par laquelle le monde s'autoobjective. Michel Bitbol est Directeur de recherche émérite au CNRS. Après avoir poursuivi des recherches scientifiques jusqu'en 1990, il s'est tourné vers la philosophie de la physique. Il a édité des textes d'Erwin Schrödinger et a élaboré une lecture néo-kantienne de la mécanique quantique qui lui a valu un prix de l'Académie des Sciences Morales et Politiques.

05/2023

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté