Recherche

Martin de La Soudière

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Game of Thrones, des livres de George R.R. Martin à la série HBO

Né en 1948 aux États-Unis, George R.R. Martin écrit au départ pour créer de nouvelles histoires mettant en scène les super-héros Marvel, puis pour tuer le temps, alors qu'il peine à trouver un emploi dans le secteur du journalisme. Petit à petit, il devient un auteur confirmé de nouvelles de science-fiction. Après avoir commencé une carrière comme scénariste de séries télévisées, il commence, au début des années 1990, à rédiger une saga de type fantasy, intitulée A Song of Ice and Fire et traduite en français sous le titre Le Trône de Fer.

ActuaLitté

Dossier

Le trône de fer : les livres de la saga A Song of Ice and Fire de George RR Martin

Le trône de fer est une immense saga d’héroïque fantasy qui s’inspire de la série des Rois maudits de Maurice Druon. C’est au début des années 1990 que Georges R.R. Martin commence à écrire Le trône de fer, le premier volume est publié en 1996. En 2007, la chaine de télévision HBO acquiert les droits d’adaptations. L’auteur lui-même participe à sa production et écrit le scénario d’un épisode par saison. 

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres d'Agnès Martin-Lugand

Agnès Martin-Lugand s’est imposée sur la scène littéraire française par sa plume délicate et la finesse psychologique de ses récits. Elle a construit en neuf romans unanimement salués par le public et la critique une œuvre singulière qui n’a pas son pareil pour questionner l’existence et l’âme humaine.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur George R.R. Martin

Né le 20 septembre 1948 dans le New Jersey, George R. R. Martin se destinait à devenir journaliste : faute d'un emploi, il se découvre une vocation d'auteur en signant des nouvelles de science-fiction, et se fait rapidement une bonne réputation dans le milieu. Quelques-unes de ses nouvelles sont même très remarquées, comme Les Rois des sables et Le Volcryn, qui sera bientôt adapté au cinéma, et, dans les années 2010, en série télévisée. 

ActuaLitté

Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

ActuaLitté

Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

La soupière

IL N'Y A RIEN de plus trompeur qu'une soupe ! Mixture faite d'éléments disparates qui, broyés, cuits et recuits, deviennent méconnaissables, il est rare qu'on parvienne à deviner tous les ingrédients qui la composent. C'est l'une des nourritures les plus ambiguës, les plus secrètes. Y compris dans ses effets : elle sustente et elle réchauffe, mais elle peut aussi dégoûter et brûler. Sans le vouloir et sans le savoir, pendant des années, Marie, la couturière, a nourri Bernard, le fils indésirable, de ses malheurs, de ses amertumes, de ses désirs - en somme, d'une soupe où la souffrance le disputait à la colère. En dépit de ses bonnes intentions, il y avait quelque chose de pourri dans le brouet. Il est probable qu'elle ait, en cours de cuisson, rajouté une pincée d'amour. Mais ça n'a fait que des grumeaux...

08/2002

ActuaLitté

Critique littéraire

Vincent La Soudière, la passion de l'abîme

Ecrivain secret et tourmenté, ami intime d'Henri Michaux et de Cioran, Vincent La Soudière (1939 - 1993) ne fit paraître qu'un mince volume, Chroniques antérieures (1978), qui ne pouvait laisser soupçonner l'ampleur de ses écrits. Cet " homme de la vie intérieure ", dont Michaux a dit qu'il " n'écrirait jamais rien de gratuit ", a laissé le témoignage saisissant d'une descente dans un abîme que sa parole a sondé, témoignage qui pourrait faire de lui un de ces aventuriers de l'esprit dont l'expérience représente un enseignement sur l'homme : car en même temps que l'humanité se défait en lui, elle se donne aussi à pressentir, telle qu'elle demanderait aujourd'hui à être repensée. Sylvia Massias retrace la vie et l'itinéraire intérieur de cet écrivain marginal à partir des nombreux écrits inédits qu'il a laissés et de la correspondance considérable adressée à son ami Didier sur près de trente ans. Ce livre est l'histoire d'une âme. Il raconte les tourments d'un être aux prises avec son désir et son refus de vivre, à travers la quête d'une réalisation intérieure en conflit avec les fausses lumières du monde et d'une civilisation moribonde, à travers aussi des amours impossibles, et qui aurait voulu donner un témoignage que ce livre finalement constitue : il en coordonne les éléments épars afin de transmettre cette expérience des confins de l'humanité aux hommes d'aujourd'hui, qui pourraient la recevoir comme la révélation d'une lumière invincible brillant au coeur de la plus sombre des nuits.

11/2015

ActuaLitté

Récits de montagne

Arpenter le paysage. Poètes, géographes et montagnards

Finaliste du prix Femina essais en 2019, ce vagabondage autobiographique de l'ethnologue Martin de La Soudière est une initiation à la campagne, à la montagne (les Pyrénées, en grande partie) et à la marche, tout en racontant ce que fut la nature pour les Gracq, Jacottet, André Dhôtel, et autre Pessoa. Une merveille.

02/2022

ActuaLitté

Ethnologie

L'hiver. A la recherche d'une morte-saison

Mais où sont les neiges d'antan ? Chaque année, l'hiver nous déçoit - il n'y a plus de saison ! - ou nous surprend par sa rudesse : les saisons ont toujours été capricieuses. L'auteur se livre ici à une défense et illustration de la plus mal-aimée d'entre elles, celle qu'on nomme morte-saison. Il nous invite à la découverte des hivers les plus rudes, en Auvergne, dans le Jura, dans les Alpes... mais aussi en ville, car les paysans ne sont pas les seuls gardiens des saisons. Chemin faisant, comme en hommage, se dessinent d'autres hivers, les Nords. Invitation à de nouveaux voyages et à la découverte d'autres hivers, au Canada, au Groenland, en Russie... De cette familiarité avec l'hiver, sous toutes les latitudes, naît une complicité qui s'exprime avec les mots, les gestes et les rites. Alors, les étapes du voyage se font plus douces pour se prolonger dans les chemins du rêve que nous ouvre la littérature.

10/1987

ActuaLitté

Récits de voyage

Par monts et par vaux

D'alpage en verger : l'ethnologue du dehors et arpenteur Martin de la Soudière, remarqué notamment pour son superbe Arpenter le paysage (2019), livre ici un abécédaire personnel et nourri de littérature des motifs paysagers. Avec l'approche qui lui propre, généreuse et joyeuse, à la fois personnelle et polyphonique, Martin de la Soudière a répertorié 22 motifs/topoï qui marquent en profondeur le territoire de la France et l'amoureux des paysages qu'il est. Ces motifs, tels que les paysagistes les définissent, sont aussi des lieux. Des lieux ordinaires, des lieux communs en commun, à savoir ce qui " fait " lieu, dans les territoires, rehaussés par leur seule géographie et non pas par une notoriété comme c'est le cas avec les hauts lieux, à l'inverse, eux, pourvus d'un nom propre et d'un toponyme local. Quoique souvent très clairement localisés géographiquement, ce ne sont pourtant pas, pour ne prendre que ces exemples, telle plaine ou telle montagne dont il est question, mais de la plaine et de la montagne dans leur généralité ; des motifs donc qui se retrouvent et se répliquent ailleurs, similaires, en de nombreux autres territoires. A la fois singuliers et emblématiques, ils nous appellent, nous interpellent, renvoyant ainsi plus largement à notre culture de l'espace et de la Nature. Cet abécédaire a pour ambition de donner envie de nous rendre sur place, pas comme un parcours fléché en suivant un guide, à la recherche du pittoresque, mais comme une simple promenade accompagnée dans la Nature ordinaire, manière de rafraîchir notre regard sur les lieux et les paysages, ce qui en la matière va de pair avec l'évolution de nos sensibilités collectives et individuelles, ce qu'on appelle l'air du temps. Pour chaque motif retenu, et parfois dans un ordre différent, le récit se déroule selon une triple approche, à la façon d'une géopoétique : géographique stricto sensu, avec l'évocation et la description précise de chacune des " unités paysagères " retenues ; du relief - l'orographie ; de la géologie ; de la végétation, etc. ; littéraire : le texte est scandé, et les motifs " habillés " et prolongés par des citations ou des références empruntées au roman, à l'essai ou à la poésie ; Enfin une approche toute personnelle où s'expriment, avec un ton très libre, la propre sensibilité de l'auteur et ses expériences de ces lieux et paysages.

08/2023

ActuaLitté

Histoire de France

Jours de guerre au village. Années noires, années vertes en Auvergne et Margeride, 1939-1950

Dans une très vaste forêt, le mont Mouchet contient et abrite deux lieux tout proches : les ruines d'une maison forestière, ultime réduit des maquis d'Auvergne en 1944, et à quelques encablures, le sous-bois fangeux où, le 19 juin 1767, dit-on, fut abattue la Bête du Gévaudan. La superposition géographique de ces deux drames a de quoi intriguer. Ici, à deux siècles de distance, la peur, la violence, la souffrance. La nature en folie (l'animal cannibale, incontrôlable), puis la société en folie (la barbarie guerrière). " A petits pneus prudents, me voici prenant de l'altitude, traversant de longs pâturages en pente douce, fils barbelés, montbéliardes, blocs de granit épars sur les landes. Quelques rares panneaux indiquent des noms de fermes : Le Gasquet, Tombevie... Je gagne le Mémorial. Juste à côté s'est installé un bar-restaurant : gardien de la mémoire des combattants ou de celle des victimes de la Bête ? Serpentant en forêt, une petite route circonscrit très exactement le mont Mouchet. A plusieurs croisements, des routes indiquent la direction de communes situées en contrebas, sinistrées par la guerre : Pinols, Paulhac-en-Margeride, Chanteloube - chantent mais mordent les loups ! Je le savais bien sûr, la réalité fut plus nuancée. Mais si la réalité fut autre que je la rêvais - sans être dupe -, elle ne fut pas tout autre. Et c'est à mettre très précisément l'accent sur la coexistence, la cohabitation, la brève rencontre des sauvés et des sauveurs, leurs perceptions réciproques, sur le vis-à-vis de deux cultures, que je m'emploierai. " Cette région a abrité des migrations enfantines, le séjour des petits Marseillais, par exemple. Ici on a aussi sauvé des Juifs. Et cette histoire, Martin de La Soudière l'écrit. Pour cela, " Il prend le temps d'aller à la rencontre des hameaux et des gens, conjuguant les techniques éprouvées de son métier d'ethnologue et une attention, une patience, une manière d'être là et de ne pas en être - intrus et familier à la fois -, qui donnent à son regard et à son écriture une marque immédiatement reconnaissable. " (Patrice Cabanel, postface). " Dans les pages de Martin de la Soudière, se déploie une histoire buissonnière, nouvelle, originale, aérée aux vents des montagnes, un long périple, temporel et spatial, qui vagabonde et rebondit de villages en hameaux, à travers ces espaces rudes et ruraux de la Haute-Loire, de la Lozère et du Cantal, mieux dénommés Margeride, Aubrac, Monts d'Auvergne ou Combraille. " (Eugène Martres, préface).

07/2011

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté